𝐂𝐡𝐚𝐩𝐢𝐭𝐫𝐞 2

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Point de vue de Mara

00h24

Dans cette nuit sombre, je rentre a l'intérieure de la propriété des Martinez, la mienne.

En me voyant, mes hommes m'ouvrent le portail et je rentre avec ma moto et la range dans l'énorme parking souterrain du manoir.

Le moteur coupé, je me redresse et descends pour ensuite enlever mon casque en fessant valser mes cheveux.

Epuiser et fatigué, je coince mon casque entre mon bras et mes cotes et marche vers la porte de l'intérieure, ma main se pose sur la poignet doucement et celle ci émet un léger grincement, tout en fessant attention, je pénètre dans le manoir et lâche un petit soupir de soulagement quand je remarque que la maison est entièrement plonger dans le noir total sauf nos bai vitrée qui éclaire la moitié du salon.

Je pose délicatement mon casque sur le meuble de l'entrée.

Je m'approche lentement des escaliers en fessant attention de ne pas claquer mes talons au sol mais peine perdu.

Seulement a la troisième marche, les lumière du salon s'allume soudainement, un râle s'échappe de ma bouche réalisant se qui vas se passer durant les 5 prochaine minutes.

- Pas si vite, tu pensais vraiment pouvoir m'y échapper cette fois-ci ?

Je me retourne lentement en descendant les marches que j'avais a peine entamer et m'assois sur le canapé, juste en face de son fauteuil en le regardant droit dans les yeux et en croisant mes jambes.

Il est habillé d'un pyjama simple, noir, avec la chemise et le pantalon, ses yeux d'un bleu azur comme les miennes continue a me fixer, ses trait son légèrement adoucie par la vieillesse.

- Oncle Richard je-

- Stop ! Pas cette fois Isabella, nous irons a se bal que sa te plaisent ou non.

- Mais Tio, je ne veux pas y aller, touts ces riches qui boivent leur champagne de merde, des musique de merde et...

- Laisse moi deviner, de la bouffe de merde ? Dit il avec un léger sourire.

- C'est pas de notre faute, le bal qui est passait y a deux mois était horrible, et leur nourritures, Loris et moi avions failli mourir a cause de leur amuse bouche en plastique.

Et un rire franc s'échappa de nos deux bouche.

Il se lève et viens s'assoir a coté de moi, j'en profite pour me tourner vers lui alors qu'il prit mes mains entre les siennes.

- Comment était cette mission ?

- Un jeux d'enfant, c'était vraiment facile.

De ses yeux bleu azur, il continua a me détailler, avec ce même sourire paternel que j'ai toujours aimer avoir pour de vrai.

- Mara Isabella Martinez, tu as tellement grandis, tu est devenu plus belle, courageuse et forte, ma fille, n'oublie pas t'a responsabilité, c'est toi qui a le pouvoir des Martinez, tu sais que t'est ancêtres on prit énormément de temps pour arriver au même niveau que toi, ne me dés sois pas, s'il te plait ?

- Je peux savoir pourquoi je suis sencé venir.

- Ce bal sera l'uns des plus important, mi nina, touts les grand cartel du Portugal et d'Espagne seront là, chaque cartel et mafia sera représenter par leur chefs.

- Donc...je n'ai pas le choix, pas vrai ? Dit je en le fixant.

- Oui, mais cette fois, je ne veux pas de bêtises. Dit il en pointant son index vers moi d'un air sérieux.

Alors qu'un rire m'échappa, je hoche la tête de haut en bas.

Et il lâcha mes mains pour s'appuyer sur les cotés du canapé en se levant, il se retourne vers moi et prend ma tête pour y déposer un doux baiser sur le haut de mon crâne.

Il se dirigea vers les escaliers alors que je le suis du regard.

- Bonne nuit, mi nina.

- Bonne nuit, Tio.

Désormais seul dans le salon, dans un soupir de fatigue, je retire mes botes en les posant au sol laissant mes pieds nu sur le tapis couleur crème.

La porte d'entrée principale s'ouvrit en grand sur Paul, Loris, Julio et Daniel en riant de leurs voix grave.

- Chut, Tio est partit dormir ! Dit je en les fusillant du regard.

Ils se tut tous et viennent s'installer dans le salon.

- Alors, tu viens ? Me demande Paolo.

- Malheureusement, oui. Laissais je échapper dans un soupir.

Voilà pourquoi je ne voulais pas croiser Tio cette nuit, car je savais qu'il allait me faire céder, il est bien le seul ici a me faire changer d'avis pour quel qu'onques situation, et pour celle là, il a réussi.

Il a réussi en quelques minutes a me faire changer d'avis alors que Paul essaye depuis déjà deux semaines pour me faire changer d'avis aussi.

- Je savais qu'il allait réussir. Souffla Julio qui vient a peine de commencer sa clope.

- En plus je sais même pas comment m'habiller. Dit je en bayant.

Je suis tellement épuisée que ma tête se pose sur l'épaule de Loris alors que mon corp s'allonge petit à petit le long du canapé.

- T'a l'air fatiguée. Dit Daniel.

- C'est normal, avant qu'on attaque, pendant toutes la nuit je l'espionner.

- Et t'a pas u le temps de dormir ? Me demanda Julio.

- Seulement 4 heures.

Ils étarquèrent tous les yeux en entendant ma phrase.

- Concernant le thème du bal, il faut venir en vert, que pour certaine personne comme les hommes des mafieux.

Je me lève brusquement en me tournant vers Loris.

- Vert ! mais c'est moche.

- Tu trouve, même moi, ils auraient pus mettre noir ou rouge mais vert, eurk ! Dit il avec une grimace.

Et je ris face a sa mime qu'il fait, c'est vrai que la plupart d'entre nous préfère des couleurs sombres comme le noir ou le rouge sang.

- En tout cas Loris, tu n'a même pas intérêt a sortir ta cravate verte. Dit Paul d'une voix ferme en recrachant la fumée de sa clope par sa bouche.

- Mais pourquoi, elle est jolie ! Répond le concerner.

- Elle a la même couleur que le caca de Julio quand il était constipé. Dit il en riant.

Et sans m'en empêcher, sous le regard choqué de Julio, j'éclate de rire me rappelant de ces moments où il était constipé.

Il était tellement malade qu'il n'avait pas fait caca pendant deux semaine.

- Ah ah, très drôle les gars mais en attendant, ce n'est pas moi qui a fait pipi au lit l'année dernière en regardant Annabelle. Dit il en montant les escaliers alors que Daniel le suis a son tour.

- Eh ! S'écrit Loris.

Mais, c'est la soirée des révélations aujourd'hui !

- Pourquoi tu pars ? M'adressais je a Daniel.

- Pour que ça sort des dingueries sur moi, non merci. Dit il en dépassant Julio en entrant dans sa chambre.

Julio fait de même en nous souhaitant bonne nuit.

Toujours allongée sur l'épaule de Loris, je me sens soudainement soulever, Loris me portent alors que mes paupières sont trop lourdes pour moi, arrivée dans ma chambre, il me dépose tendrement sur le drap et me recouvre de ma couverture avant de déposer ses lèvres sur mon front.

- Bonne nuit, princesa.

Et il s'en vas, en fermant délicatement la porte alors que je sombrais au sommeil peu à peu.



𝐌 𝐀 𝐑 𝐀Où les histoires vivent. Découvrez maintenant