Chapitre 8

6 0 0
                                    


Dans la chambre...

Je ne veux plus le parler ni le voir. Je savais qu'il allait perdre les pédales et dire des choses qu'il ne fallait pas. Il ne s'en prend qu'à lui même, j'ai passer le cap déjà.

Ça fessait déjà un bon moment qu'il n'avait pas péter un câble, j'attendais juste ce moment. Un moment il crie pour rien en disant des choses blessante, puis le lendemain il ne me parle plus et quelques jours après, il fait comme si de rien était et se comporte comme un père. J'ai u l'habitude de ses changements d'humeur.

Tout ça parce que j'ai rendu visite a Elisa. Parfois même, je suis obliger de mentir sur où je vais pour pas qu'il m'interdit de sortir. Il ne veut pas que je la vois mais a un compte rendu de son état toutes les semaines.

Le culot en personne.

Je sors de la douche, sèche mon corp et fait mes soins puis, j'enfile une nuisette et mon peignoir en satin vert émeraude. Je sors de la salle de bain et m'arrête devant la porte.

Daniel et Julio sont confortablement installés dans mon lit, Paul est adossé au mur et Loris, assis sur le fauteuil de ma coiffeuse. Je les ai même pas entendu entrer.

Je ferme bien mon peignoir et me dirige vers mon lit.

- Comment ça c'est passer ? Demande Paul.

- Il a rien trouver de mieux que de parler d'eux.

Il hoche simplement la tête pendant que je m'allonge a coter de Julio, ses bras m'enveloppe et ma tête se pose sur son torse recouvert de son t-shirt. Il tire la couverture sur moi et caresse mes cheveux.

J'aimerais tellement pleurer, je ne sais pas pourquoi de simple mots peuvent me faire autant mal, je n'ai rien demander appart respect et la seul chose que tu trouve a faire, c'est de me balancer un sujet de conversation que je n'ai pas encore guérie. Je savais que l'humain était mauvais, je le savais... Ne pas être indifférent est une faiblesse. C'est Tio lui même qui l'a dit. Mais je me persuadais que ça allait changer, résultat, je suis celle qui a rien demander mais souffre quand même.

- C'est vraiment un batard ! Soupire Loris a l'autre bout de la pièce.

Ils n'aiment me voir dans cette état et je le comprend. A chaque fois où ça n'allait pas, ils étaient là, tous, uns a uns. C'est eux ma vrai famille et il n'y a aucun doute la dessus.

- Ne dit pas ça. Dit je dans un murmure.

- Il est même pas capable de se comporter comme un homme.

- C'est quand même ton patron.

Il me regarde stupéfait que je prenne la défense de mon oncle.

- Tu rigole j'espère ? Patron ou pas, y a des choses qu'il ne peux pas dire.

Loris est énervé et ça se voit.

- Sans oublier qu'il te parle comme si c'est grâce a lui même qu'il est dans les haut rand de la hiérarchie de cette mafia. Dit Julio dans un murmure au dessus de ma tête.

Encore une fois, je ne veux pas repasser ma vie a zéro pour les prouvaient que c'est grâce a moi qu'il q ce statut et que je me suis autant sacrifier que lui mon ma mafia, c'est seulement grâce a moi qu'il a tout ça mais je préfère de taire, je ne veux pas pleurer devant mes hommes. Déjà qu'il sont l'habitude de scouater ma chambre et me faire des câlin.

- Elisa vous passe le bonjour, elle attends toujours votre visites.

- Elle vas bien ? Me demande Julio.

Je lève la tête et explique comment ça c'est passer, le teste, l'événement et le nouveau titre d'Armando. Suite a mes explication, Daniel se retourne et demande les sourcils froncer :

𝐌 𝐀 𝐑 𝐀Où les histoires vivent. Découvrez maintenant