Chapitre 9

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- Qu'est ce qui ce passe ?

Ma tête se lève vers Rigo qui a les sourcils froncés, le téléphone en main, je me retourne en m'engage dans le couloir.

- JE REVIENS, SI VOUS ENTENDEZ DES TIRS, METTEZ LE FEU ET DÉGAGEZ !

Et en un rien de, je me retrouve dehors. Je range mon téléphone sans lâcher du regards la voiture dans laquelle j'ai laisser Daniel. Putain ! Quel genre de conneries a t'il pus lui arriver. De là où je suis, la voiture a l'aire normal, aucune sources de lumière a travers les vitres, je prend mon arme et m'approche, sans plus attendre, j'ouvre l'une des portières arrières. Daniel est bien là, mais ses mains son attacher a l'aide d'une corde et sa bouche, scotcher.

Avant même que je ne dise quelques choses, le canon d'un revolver se pose sur mon crâne.

- Comme on se retrouve la rosa roja.

Je reconnus directement la voix de Fabio, ce fils de pute veut clairement pas me lâcher. Je me retourne lentement pendant qu'il s'éloigne l'arme toujours pointé sur moi. Fabio, un homme d'une quarantaine d'années, qui travail pour mon Oncle, même si il ne dirige plus pour lui, il dirige certains trucs dans les livraison d'armes ou de drogue d'autres pays et des ventes au enchères de bijoux rares voler. Il n'a clairement pas changer depuis qu'il travail a distance pour mon Oncle, quelques poil appariassent sur son menton.

- On est plus des gamins pour jouer à ce genre de conneries. Crachais je fatigué qu'il me fais perdre mon temps sans arrêt.

Je détache Daniel qui est toujours en train de sourire, il n'a plus l'aire étonné par...ça encore une fois, et quand j'enlève le scotche sur ça bouche il rit. C'est une putain de blague ?

- Désolé mais t'aurais vue t'a tête ! Dit il avant de partir en fou rire et que Fabio le rejoint.

Je me retourne a bout de nerf et pointe mon arme prête de sa jambe, il n'a pas l'aire de tout de suite comprendre mais au bout d'un moment, il arrête de rire et me fixe en perdant son sourire, sans plus attendre, je tir et son cri résonne comme un éco dans cette zone désertique.

- MAIS T'EST COMPLETEMENT MALADE !

- La prochaine fois, je te raterais pas, plus jamais de toute t'a vie tu me fais ce genre de coup, je suis ici pour le boulot pas pour jouer a t'est jeux stupide !

- Oh, on se calme mi bella. 

Sans discuter, Daniel sort du véhicule et se dirige vers le coffre, il y sort les caisses lourdes.

Point de vue d'Elias

- Comment allez vous monsieur ?

Je regarde Esmeralda et ne pus m'empêcher de sourire, la seul personne qui m'a manquer pendant ce voyage.

- Bien, Esme mais je t'ai déjà dit de m'appeler par mon nom.

- Vous savez que je n'ai pas encore l'habitude. Dit elle en repartant dans la cuisine, sûrement en train de cuisiner. 

Épuisé, je m'affale sur le canapé.

- LOLA ! Un petit sourire se dessine sur mes lèvres quand j'entends ses petits pieds descendre rapidement les escaliers.

Et deux petit bras s'accroche a mon coup. Elle dépose ses lèvres sur mon cou alors avec le peu de force qu'il me reste, je la soulève et la pose sur mes cuisses. Son rire retentit dans tout le salon et putain, qu'est ce que ça fait du bien.

𝐌 𝐀 𝐑 𝐀Où les histoires vivent. Découvrez maintenant