𝐂𝐡𝐚𝐩𝐢𝐭𝐫𝐞 1

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Point de vue de Mara

20h34

Accroupis sur ce sol remplit d'herbe et de branche cassés, j'observe depuis déjà une dizaine de minutes cet immense manoir sombre, seulement éclairé par la lumière de l'intérieure et la pleine lune dans cette forêt.

Une jumelle de ma main droite et mon toolkit walkie de ma main gauche.

Celui-ci émet un léger bruit.

- 2k635 ?

- Loris. Dit je dans un murmure en me massant le front.

- Quoi ?

- C'est la dernière fois de toute t'a putain de vie que tu m'appel avec des numéros, compris ?

- Oh, calme t'est nerf un peu, tu es armé ?

Je regarde le gros sac de sport vert foncé posé à côté de moi.

- Il me manque le lance flamme.

- Paul te le ramène, fait attention.

- T'en que je n'ai pas donner mon signal, vous ne bougez pas. Dit je en coupant le signal et je regarde ma montre, 3 minutes.

Un léger bruit de branche craqué me fait retourner instinctivement en pointant mon glock vers cet homme.

- Tu compter vraiment me tuer, princesse ?

- Un reflex, je ne t'avais pas reconnu, tu as le lance flamme ? Demandais je en rangent mon arme.

- Là.

Il sort derrière son dos un gros sac de sport et me le tend, je le prend, l'ouvre et trouve une roquette, plus un lance flamme.

- Prévient nous quand tu seras prête. Me dit-il en s'engouffrant dans la forêt ou je suis.

Je sors les arme de leur sac et les pose au sol.

Ce soir sera la dernière nuit de Alonzo, un homme d'affaire mais aussi mafieux qui se permet d'utiliser nos territoires, pour ensuite faire passer ces putains de poudre.

Ca fait déjà deux mois que je l'observe de partout. Je le suis peut être comme une chienne mais si ces pour après le tuer, je dit pas non.

Il as aussi essayer de détourner nos affaires pour succédée ma place.

Et jusqu'à maintenant, il n'a pas réussi !

Plus que 10 secondes, je pose mes jumelles et dit à travers le toolkit walkie posée sur le sol :

- Dans 5

- 4

Je positionne correctement la roquette sur mon épaule.

- 3

- 2

Je vise l'un des hommes poster devant le manoir.

- 1

Puis je tire et des coups de feu retentissent de partout.

Je tire sur chaque homme que je vois qui ne sont pas les miens, les hommes de devant son tous abattu et mes hommes rentrent discrètement tous armés.

Je ne pense pas que j'aurais besoins de mon lance flamme si on arrive à tuer tous ces hommes et a le neutraliser.

Je vise chaque hommes que je vois par les fenêtre, tout se fait entendre : des tirs, des cris d'hommes et de femmes, sûrement des captives ou des strip-teaseuses.

Je n'arrête pas de tirer jusqu'à que je ne vois personne, tous mes hommes sont à l'intérieure.

Mon toolkit walkie s'allume.

- Le champ est libre, Princesse.

Puis il s'éteint, c'était Paul.

Je me lève et range tous les armes dans leur sacs et les porte en me dirigeant vers nos voitures respectives où la moitié de mes hommes y sont, je leurs tend les sacs bien lourd et l'un deux me tend un glock chargé et je lui t'en le miens.

Je fais signe a 3 de mes hommes de me suivre et nous marchons sur ce graviers, direction ce manoir, mes bottes a talon en cuire claque sur ce gravier, je porte une combinaison pré du corp, simple et noir, une fermeture éclair ouverte d'où on peut voir la naissance de ma poitrine avec des gants noir qui ne cachent pas mes doigts, mes cheveux long, noir corbeau qui volent à chaque coup de vents.

Je monte ces marches d'escaliers ou sur chaque marches, il y a des corps qui se vide de leur sang.

A peine que je travers la porte que mes hommes, dans le hall de ce manoir s'incline, il sont ranger sur ma gauche et ma droite, alors j'avance avec mes trois hommes qui sont derrière moi et nous arrivons au salon, de ce que j'ai pu comprendre à cause des énormes canapé couleur crème.

Paul et Loris maintienne cette homme que j'essaye de traquer depuis déjà 2 mois.

Il est au sol, son crâne saigne, il est assis en position " homme-mort ".

A l'entente de mes botes qui claquent sur le carrelage, sa tête se lève et mon dieu, il est vraiment moche, comment sa femme de supporte cette gueule tous les jours, il n'a même pas trois poils sur le cailloux et est habillé seulement d'un peignoir en léopard légèrement ouvert sur son torse poilu, la définition de crasseux.

Et il souris de ces dents jaune.

- Dios mío, La rosa roja. ( Mon dieu, La rose rouge ).

- Alonzo, heureuse de te revoir. Dit je avec un faux sourire.

- Que tu es belle en vrai, on peut dire que tu ne tues jamais dans l'ombre, mio angelo.

Face à ce petit surnom, Paul frappe sur le crâne d'Alonzo avec la crosse de son arme.

- Ouvre encore t'a bouche pour dire un surnom pareille et je te pète la gueule.

Il cri en gigotant.

Je continue à le fixer avec haine, pendant que ces yeux parcours mon corp seulement envelopper d'une combinaison.

- Je vois que tuer t'on frère n'a pas suffi pour que tu arrêtes de fouiller dans les affaire de ma famille.

Un petit rire sortit de ma bouche pendant que je tourne autour de lui.

- et tu continues quand même d'avoir ce putain de caractère, tu sais que se mêler aux affaires des Martinez c'est signer sa mort, Alonzo ?

Et il rit à son tour.

- Je savais que personne n'était aussi douer que toi pour tirer a des dizaines de kilomètre.

Je me remet en face de lui.

Je sors mon glock et le pose sur son front, tout en souriant.

- Au revoir, mio angelo.

- Bienvenue en enfer, Alonzo.

Et je dire sur son torse, Loris et Paul lâche le fessant tomber au sol.

Géniale, ma combinaison est tâchée de petites gouttes de sang.

- On y vas. Dit je à voix haute en retournant dehors.

L'air frais de la nuit est vraiment quelques chose d'agréable dans ce monde où trône le sang, le pouvoir et les armes.

Je m'approche de ma moto pendant que tous mes hommes sort de ce manoir en prenant toute ces lisses de billets, ses drogues et ses armes.

- Attends !

Je m'arrête et me retourne vers Paul.

- Oncle Richard t'attends pour demain soir.

- Tu sais que c'est non. Dit je en enjambant ma moto et en mettant mon casque.

- Et tu sais que je ne te lâcherais pas t'en que tu n'accepteras pas.

- On verra. Dit je en démarrant et en partant le laissant seul, direction, le manoir des Martinez.

𝐌 𝐀 𝐑 𝐀Où les histoires vivent. Découvrez maintenant