Salut à toi ! Comment ça va ? Merki d'avoir cliqué sur mon histoire !
Résumé :
"Ce n'est plus qu'une question de temps, vos heures sont comptées.
Quatorze jours pour vous préparer,
Ou notre monde scintillant sombrera dans le chaos.
À vous d'en décid...
Il me faut du temps pour réguler les battements de mon cœur.
Lorsque je suis plus calme (si l'on peut qualifier mon état actuel de "calme"), j'ouvre l'enveloppe, brisant le sceau marqué lui aussi de cet horrible œil, d'une main tremblante.
Dans l'enveloppe, un papier. Sur ce papier, 5 petites lignes, écrites d'une belle calligraphie, toute en courbe et en fioritures.
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NDA : Désolée pour la médiocrité des rimes, je n'ai jamais été très douée avec les mots... N'hésitez pas à me faire des retours en coms de ce que vous en pensez. Allez je vous laisse avec la suite :)
Je me redresse, tremblant, sans y croire. Les Invisibles nous déclarent la guerre. Officiellement. C'est trop pour mon cerveau, qui décide d'appuyer sur OFF. Je tombe par terre, et m'évanouit.
Quelques minutes (ou heures je ne sais pas) plus tard, je me relève. Ma tête est douloureuse, et en tentant de me relever, j'ai des vertiges, et suis contraint de rester assis, la tête entre les mains.
Je réfléchis.
Et la seule idée qui me vient en tête, c'est d'héler Sophie. Sophie Foster, le Colibri, mon Colibri, qui a déjà subi tant d'épreuves, par ma faute. Si tu savais comment je regrette de t'infliger tout ça. Mais tu es tellement habituée à frôler la mort, que cela ne t'étonne même plus.
Pauvre Colibri. Je regrette, non pas ton existence, mais toutes tes souffrances. Mais j'ai foi en toi petit oiseau, je sais que tu es assez forte pour accomplir l'héritage qui es le tien.
Alors je prends mon courage, et mon transmetteur par la même occasion, et je murmure son nom.
Hèle Sophie Foster
Son visage, marqué par l'inquiétude, apparaît sur le carré d'argent.
-Monsieur Forkle ? Que se passe t'il ?
-Sophie, je dois t'annoncer quelque chose, à toi, tes amis, vos parents, vos gardes du corps. Pourrais tu les rassembler à Havenfield s'il te plaît ?
Je ne parle pas très fort, je ne sais même pas si elle m'entend. Mais si, mes paroles sont parvenues à ses oreilles, je le vois à son visage, qui se décompose.
-Entendu, je les hèle. Quand arrivez vous ?
-Lorsque tu as eu tous tes amis, hèle moi, je viendrai.
-D'accord, à tout à l'heure.
Et elle raccroche. La dernière image que j'ai d'elle est son air grave, et inquiet. Je m'effondre une deuxième fois au sol, et fixe celui ci, sans vraiment le voir.
