Chapitre 10

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Ils me regardaient tous, mettant leur tête à la gauche, puis à la droite machinalement. Que devrais je faire ?! Je fit marche arrière, toute tremblante, puis tous se mis à rire, rire de plus belle, mettant leur main à l'avant comme s'ils me réclamaient quelque chose.

Je me suis mis à courir une fois de plus et soudain

-AAAAAAAAAHHHHHHH

Je me suis retrouvée dans un trou, non c'était un tunnel mais pour aller où ?! Cette forêt me horrifia, je ne savais plus où j'allais et non plus où je m'étais  les pieds. J'alluma ma torche qui me faisait des siècles. Sa s'allumait, sa s'éteignait. J'en avais apporté près de trois avec moi, je voulu sortir l'une d'entre elle de mon sac quand apparut devant moi des yeux rouges. Oui c'était, je dirais des chauves-souris. Je levai la tête et elles étaient toutes là, penchées tête en bas, me fixant du regard. C'était d'abord une, deux, trois, puis tout devint rouges, car elles étaient en nombre tout au long du tunnel et me regardaient oui, elles me regardaient.

Je ne me suis pas rendue compte que les larmes me montaient aux yeux jusqu'à se dévaler sur mes joues. J'en avais marre de courir encore et encore. Maintenant qu'est-ce qui allait m'arriver ?? Je marchais lentement, doucement, avec des pincement au cœur, je pouvais comprendre le battement de mon cœur qui faisait un bam, bam bam, bam bam bam ce genre de son. Elles continuaient de me scruter du regard.

Soudain elles se mirent à s'envoler, toutes. Je ne voyais que rouge devant mes yeux. Je hurlais, criait, me mit à courir ce que je ne voulais pas. J'arrivais au fond du tunnel ou le chemin se divisait en 2 parties. Je pris celle de gauche, et j'ai continué ma course en pleurnichant tel un enfant. J'ai pris un peu d'air en arrêtant ma course. Je regardai l'heure et 10h venait de sonné.

Si tout ceci n'était qu'une imagination ?! Que les morts ne sont jamais venus me voir, ni me parler et que je suis venue dans ce calvaire inutilement.

- POURQUOI EST CE QUE TOUT CECI M'ARRIVE !!!!!? Hurlait je !!! J'en avais marre de tout ça.

- Ne réveille pas les morts !!

-qu...qui...à..dit ça ?? Je tremblais jusqu'au poumon. Grin..grinnn. Mes dents ne pouvaient s'empêcher de trembler. Qui venait de parler ?? Je me tourna et

-AAAAAAAAAAHHHHHHH

Un corps se trouva derrière moi, un corps qu'en courant je n'avais pas vu, mais qui subitement se trouvait derrière moi. Non est-ce que je n'ai pas vraiment vu ? Je me baissa pour prendre ma lampe qui était tombée et la lumière de celle-ci éclaira mes pieds oint de sang. Ont dirait que j'étais entré dans une Mare de sang, j'étais dépité !

J'étais à la recherche des cadavres. Avec les jambes et main tremblante, je m'approchais de ce corps avec mes mains sur la poitrine si sa pouvais éviter que j'ai un arrêt cardiaque.

-OO...OO...OOH..NON !!!!!

oui ce corps était bien parmi ceux que je cherchais. C'était celle de la fille avec le ventre ouverte !!! C'était dégueulasse. C'était horrible, son ventre était plein de microbes qui se nourrissait de ces entailles, et dire que moi Méora allait enfoncer un couteau dans son cœur !!! Mes larmes coulaient, j'espère que ça soit un horrible cauchemar celui que je n'ai jamais fait. Que ça ne soit pas vrai. Je voulais me réveiller, c'était de trop. Elle n'était pas comme quand elle était venue me voir, ici sa tête était fendue en deux, mais je ne sais comment j'ai pu la remarquer.

Je regardai l'heure qu'affiche ma montre et il était déjà 10h10 mins je sortit le couteau de la poche de mon pantalon, ferma les yeux et enfonça le couteau en plein cœur. Et un son de ppiaff se fit entendre, c'était son sang qui venait de s'asperger sur mon visage. Sans tarder le tonnerre gronda. non ça me réprimande, je n'arrivais pas à croire que tout ceci était vrai, que j'étais devenue meurtrière.

Je quitte les lieux en pleurs, le cœur lourd. C'était une nuit sombre et ténébreuse. Je prends de l'eau dans mon sac et larva mon visage ceci dit, je faisait pénétrer son sang dans ma peau.  Je marchais jusqu'à trouver une tente, non mais une tente en plein milieu d'une forêt !!!!!

La solitude était tout ce que je ressentais. La panique me rongeait. Mon cœur s'arrêta quand....

ELLE Où les histoires vivent. Découvrez maintenant