After the tears

45. Partir

Chapitre 45: Partir

Point de vue: El lobo.

- Vous aurez vos armes demain, ne vous inquiétez pas. Je n'ai qu'une parole. annonçais-je en me relevant.

Mes hommes ont prit plus de temps pour transmettre nos armes à un de nos cartel alié. Mais heureusement pour moi, mes hommes arriveront demain.

Donc il n'y a rien à craindre.

- Je vous fait confiance, sinon je vous déclarre la guerre. annonça -t-il en me tendant sa main.

Je croisai mes mains derrière mon dos et me mis à rigoler à travers ma cagoule. Était-il aveugle ? Ne voit-il pas, qui est présent devant lui ?

- N'oublie pas qui je suis, je suis El Lobo. Si je veux te détruire je n'ai qu'à le demander, et ton cartel sera réduit à néant aussi rapidement que ça  durée. dis-je en lui tendant finalement ma main.

Sa main était moite, même s'il essayait de le dissimuler. Sa main tremblait légèrement comme tout son corps d'ailleurs. Mais bon qui n'a pas peur de moi ? Tout le monde se méfie de moi, et il y'a de quoi.

Mon cartel est peut être discret, mais personne ne rivalise avec nous.

Je quittai la pièce en laissant, l'autre homme dans la pièce.

Quelque uns de mes hommes me suivèrent, je m'installai dans ma voiture. Et me dirigeais vers ma villa, ma casa.

J'avais hâte, la joie faisait trembler mon cur. Je souriais rien qu'en me rappelant son jolie visage, et ses beaux yeux verts Elle m'a drôlement manquée, ça fait un très long moment que je n'ai plu vu.

Mais malgré ça, son visage est resté gravé dans ma tete. Son visage est gravé sur mes paupières, son sourire, sa beauté, je n'ai rien oublié.

Le son de sa voix de son rire cristallin, rien qu'en y pensant les battements de mon coeur accélèrent. J'accélérais, je ne peux plus attendre. Je veux la voir, elle voudra sûrement plus me revoir. Mais je m'en fou, moi je veux la voir, après tout les moments passés avec elle, je dois la voir.

Il ne me reste que deux heures de routes, deux heures de souffrances émotionnels. Avant de voir mon antidote.

Point de vu: Bella.

Il faut que je me barre d'ici, le plus rapidement possible. El Lobo ne va pas t'arder à arriver, il me reste peu de temps, avant de revoir le diable.

Pendant qu'on m'avait ramené dans ma chambre, j'en avais profité pour prendre une feuille. Ça doit faire trentes minutes que je suis, dans ma cave. Il faut que j'agisse maintenant.

Je collai mon oreille à la porte, aucun bruit ne se faisait entendre. Alors je pliais la feuille plusieurs fois sur elle meme. Jusqu'à avoir un papier assez épai, et je le mis entre la serrure et le mur de la porte. Je commençais à faire des mouvements de hauts en bas avec le papier.

Je priais intérieurement, pour que ça marche, putain, ça ne veut pas ! Putain faut que ça marche ! C'est ma seul solution.

Après plusieurs minutes de stresses et de réflexions la porte s'ouvrit finalement.

Je criai intérieurement, je refermai la porte délicatement.

J'étais dans un tout petit couloir, étroit, si je vais à droite, ça va me mener vers le salon.

Et c'est bien trop risqué puis ce que des hommes doivent y être présent, vu le bruit que j'entends. Je me dirigeais alors vers la gauche.

- J'arrive deux secondes, merde ! cria une voix rauque.