Dans le stand d'Alpine, l'atmosphère était électrique. Les ingénieurs suivaient chaque mouvement de la monoplace d'Esteban, mais quelque chose semblait hors de propos. Le directeur d'Alpine, tenant fermement sa tablette, échangea un regard inquiet avec l'un de ses assistants.
Pendant ce temps, sur la piste, Pierre Gasly, concentré sur sa propre course, recevait des informations de son équipe radio. Mais ce qu'il entendit ensuite le surprit au plus haut point.
"Pierre, écoutez-moi attentivement," dit le directeur d'Alpine d'une voix pressante via la radio. "La personne dans la seconde monoplace n'est pas Esteban. C'est Lou."
Un moment de silence s'ensuivit. Pierre, tout en gérant sa monoplace à des vitesses vertigineuses, essaya de traiter l'information. Lou, la sœur de Max, et sa meilleur amis, était sur la même piste que lui, en compétition avec les meilleurs pilotes du monde.
"Quoi ? Comment est-ce possible ?" répondit finalement Pierre, sa voix trahissant sa surprise.
Le directeur soupira. "Longue histoire. Mais pour l'instant, concentrez-vous sur la course et assurez-vous que tout se passe bien."
Pierre jeta un coup d'œil dans ses rétroviseurs, cherchant la monoplace d'Alpine. Lorsqu'il la vit, il était étonné de voir à quel point Lou se débrouillait bien, tenant tête à certains des pilotes les plus expérimentés de la grille.
Bien que surpris, Pierre admirait le courage de Lou. Il savait à quel point il était difficile de piloter en Formule 1, et le fait qu'elle puisse le faire, surtout dans de telles circonstances, était impressionnant.
Toutefois, avec cette révélation, la dynamique de la course venait de changer. Pierre se demandait comment cela affecterait non seulement sa propre course, mais aussi les relations au sein du paddock une fois la course terminée.
Le circuit était envahi par une ambiance électrique, les moteurs ronronnaient encore et l'air était chargé d'émotions. Les voitures ralentissaient et se garaient dans leurs stands respectifs, libérant leurs pilotes après une session intense.
Lou, encore dans sa combinaison, retira son casque et s'échappa de la monoplace d'Alpine. Malgré la chaleur et la pression de la course, elle était euphorique. Elle avait démontré sa compétence, sa passion et sa résilience sur la piste, gagnant le respect de nombreux spectateurs et membres de l'équipe.
À quelques stands de là, Max Verstappen sauta hors de sa Red Bull, le visage rougi par l'effort et la concentration. Alors qu'il ajustait sa combinaison, il leva les yeux et croisa le regard de sa sœur. Un instant figé dans le temps, où le monde semblait s'arrêter de tourner.
Max cligna des yeux, incrédule. Son esprit luttait pour comprendre ce qu'il voyait. Lou ? Ici ? Sur la piste avec lui ? Leurs regards se croisèrent, et en un instant, des années de séparation, de souvenirs et d'émotions refoulées affluèrent.
Lou, avec une lueur d'espoir dans les yeux, s'approcha lentement de Max, tendant les bras pour l'étreindre. Max, submergé par l'émotion, répondit à l'étreinte, ses yeux se remplissant de larmes. Ils restèrent ainsi pendant ce qui semblait être une éternité, se rattrapant mutuellement le temps perdu.
Autour d'eux, le paddock était en émoi. Les caméras cliquetaient, les journalistes chuchotaient, et les fans murmuraient d'excitation. C'était un moment historique, un moment où la famille et la compétition se croisaient, rappelant à tous que, malgré la rivalité et la compétition, l'amour familial demeurait inébranlable.
Alors que les deux frère et sœur se séparaient enfin, une nouvelle réalité s'imposa : le monde de la Formule 1 ne serait plus jamais le même pour eux.
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"Elle n'aurait jamais dû partir, aujourd'hui elle aurait dû avoir 20 ans, mais toute sa vie est restée bloquée sur la piste. Elle aurait sûrement préféré qu'on parle d'elle de manière heureuse, mais là, je ne comprends pas comment ça a pu arriver... Je suis désolé, je ne peux pas continuer de parler d'elle."
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Do not look back - Lando Norris-
FanficLes lumières chatoyantes de Monaco scintillaient comme des étoiles dans la nuit. Les voitures de luxe glissaient silencieusement sur le pavé, et le murmure des conversations en plusieurs langues flottait dans l'air. C'était une soirée typique sur la...