Bakugo Katsuki [one shot]

Vampire?

Spécial PDV Bakugo.

Son cou me fait de l'oeil depuis que le médecin a fait des analyses sur notre relation, il nous propose de faire un test dans une chambre, son profil et ses pupilles qui se dilatent à chaque mot que prononce le professionnel l'a rends pourpre, le docteur propose que l'on essaye des produits, à une certaine température de mon corps, il demandera par téléphone si tout va bien et si par malheur on ne répond pas, il réactivera la camera pour voir si je ne l'ai pas croquer.

Les frissons qui l'a traversent me rends anxieux, pas un seul mot n'est sortie d'entre ses lèvres, et on est déjà dans la chambre, l'assistant du médecin lance un appelle pour communiquer entre les deux chambres, désactivant donc la camera et le micro.

Elle tremblote, ma copine, une humaine, alors que je suis un putain de vampire, comment elle arrive à se dire qu'elle est en sécurité avec moi ? Elle tremble parce qu'elle est anxieuse qu'on se tripote avec quelqu'un de l'autre coté du mur, elle est tellement timide qu'à chaque fois que son regard croise le mien, elle cherche instinctivement un moyen d'échapper à nos échanges visuels.

L'assistant se casse en fermant la porte, prenant le soin de la sceller avec un sort pour que seul lui puisse l'ouvrir en cas de besoin.

Désormais seules, elle ouvre le sachet et me montre les objets qu'elle en sort, des protèges griffes, des menottes et une muselière, sérieux ?

— Si tu veux on ne mets pas ça. Elle m'indique la muselière du doigt.

— Si je l'a mets je te mordrais pas. Son visage s'adoucit, mes muscles se bandent sur son sourire se voulant rassurant.

— Même sans, tu ne le feras pas. J'essaye de l'a contredire mais elle me devance, me mettant les menottes et les protèges griffes. Je peux voir la cicatrice dont tu m'avais parler ?

Son doux visage me rends fou, je lève mon haut montrant ma cicatrice descendant de mon pectoraux droit à ma hanche gauche, le sorcier ne m'avait franchement pas rater à l'époque.

Ses mains se lèvent, se dirigeant vers mon torse, se rendant compte de son acte, elle laisse ses mains en suspens, s'arrêtant.

— Désolée ! J'ai faillit toucher sans ton autorisation.. Elle panique et c'est tellement adorable.

— Tu l'as.

— De quoi ? Surprise de mes paroles, elle laisse tomber ses mains.

— T'as mon autorisation, pour me toucher.

Ses rougeurs refont surfaces, ses yeux se remplissaient d'un désir enivrant, sa main se pose sur mes abdominaux, traçant lentement la cicatrice de ses doigts, je veux la sentir plus proche.

Je passe lentement mes bras par dessus sa tête pour l'emprisonner contre mon torse entre mes mains.

Sa main se posent sur ma cuisse à cause de mon geste brusque, ses doigts sont trop proches de ma bite.

— Katsuki ?

Sa voix est trop aiguë, elle doit rougir sous notre contact, je passe mes mains sous son haut, dégrafant son sous-vêtements, j'ai chaud, tellement chaud.

je l'a laisse tomber sur le lit, mes lèvres se scellent aux siennes, un hoquet de surprise échappe de sa bouche, ma langue se laisse aller contre la sienne.

Je veux la toucher, encore et encore.

Ma jambe se retrouve entre les siennes, je sens que mes crocs sortent, je me transforme malgré moi.

— Vous allez bien ? Nous demande le médecin à travers l'écran. Si vous ne répondez pas nous allons allumez la camera.

Cette phrase m'empêche de la déshabiller, de rentrer et sortir d'elle, de la marquée de mes crocs, de mes mains et de mes lèvres.

— Ça va. J'aboie malgré moi.

— Tout va bien.. Elle réponds timidement, ses joues sont encore roses, je l'ai excité, je sens sa mouille à travers ses vêtements.

— Très bien, nous allons arrêter là l'expérience, on est heureux de savoir que vous vous êtes bien retenues Bakugo.

J'ai envie d'arracher ses vêtements et de la baiser jusqu'à ce qu'elle me supplie de lui faire des gosses, cette femme je veux qu'elle soit mienne, que je l'a marque, qu'elle se rappelle de moi comme toute ses premières fois si un jour elle s'enfuie.

Sa bouche est close depuis qu'ils sont rentrés dans la salle, je me sens coupable, j'lui ait même pas demander si ce baiser était consentant et je me rends compte de ma bêtise.

Je sors de la salle sans en dire plus, elle doit être dégoûtée de moi jusqu'aux os.

Plus tard, j'les entends boire le thé, je me suis enfermé dans ma chambre, Aizawa insiste pour que je sorte mais je suis terrifiée à l'idée de voir son expression de dégoût, la distance qu'elle va installer entre nous.

J'ai carrément enlevé son soutif sans lui avoir demander, j'ai volé son premier baiser sans lui avoir demander.

— Katsuki ? Sa voix frêle à travers la porte m'interpelle, elle a l'air inquiète.

— Tu sais.. Si j'ai fais quelques choses de mal ou qui ne t'as pas plu durant le test, tu peux me le dire.

Quoi ?

— Je t'ai pas demandé si t'étais consentante. Elle ne répond pas tout de suite.

— Je l'étais, j'aurais même aimer continuer pour tout t'avouer. La fin de sa phrase n'est qu'un murmure, heureusement que je me suis rapprochée pour entendre sa voix plus clairement, ma bite n'a jamais durcit aussi vite.

J'ouvre la porte et elle paraît surprise mais j'en ai rien a foutre, j'ai besoin de ressentir ses lèvres sur les miennes.

Mes crocs sont encore sorties, ses doigts se mêlent entre mes cheveux, ma langue voyage dans sa bouche, elle a un goût exquis.

— On le fera quand tu seras menottées et attaché d'accord ? Elle me dit comme une promesse, ses yeux scintillent de plaisir, mes muscles se bandent, si je pourrais je l'a prendrais tout de suite.

— Oui, bien sûre, tout pour toi. Ses joues se rosissent, j'adore ce pouvoir que j'ai sur elle.

Ses mains glissent sur ma nuque, me faisant replonger sur ses lèvres, me rendant accro à son toucher.

Comment fait-elle pour aimer un meurtrier comme moi ?

☝️

Une très longue absence.. Désolée, j'avais du mal avec ma santé mentale ❤️