Chapitre 5

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Le métro arriva à Lausanne Flon. Je sortis et couru en direction du camps. L'entré se trouvait dans un magasin portugais. Le Bessa. Ce qui m'allait bien vu que j'étais portugaise. J'entra et une serveur au yeux bleu éclair m'accueilla en souriant. Il me dirigea vers une porte ou on entreposait les ustensiles d'entretien. Je lui demanda tout de même en portugais si j'étais au bonne endroit. Il hocha la tête et m'indiqua de nouveau la porte. J'entra et mes yeux s'agrandirent en forme de soucoupe quand je vis toute cette vie et ses diverses couleurs qui était auparavant cachée par la porte de service. Étourdie, je m'assied sur le sol et une autre personne m'accueilli. Je me leva tant bien que mal pour reluquer l'arrivante. Cette personne me ressemblait. Elle était grande, dans les 15 ans, les cheveux brun clair et les yeux bleu outremer. Dès qu'elle me vit ses trais s'adoucirent. Elle se présenta.
-Je m'appelle Lyla Aube Prétrice de la légion, Fille de Jupiter. Et toi quel est ton nom?
-Je m'appelle Elina Pagony, je suis une fille de Jupiter. Déclarai-je confiante.
La prétrice me sourit et déclara à la foule qui venait de ce créer :
-Bien, j'aurais quelques questions à posé à notre nouvelle recrue, je vous ordonne de l'accueillir normalement par la suite. Retournez à vos activités maintenant!
La foule partit elle s'adressa à moi.
-Suis moi. Et ne vole pas pour aller plus vite, tu risques de te faire foudroyer par notre cher père.
Je la suivi sans penser à fuir. J'étais chez moi après tout.

Nous nous fofilâmes entres les batîments pour arriver à la place central ou trônait un petit batiment en forme de rond. Elle entra et je la suivi. A l'intérieur se trouvait une table, deux chaises, une face à l'autre et même une chambre qui était composé de rideaux. Elle s'assied dans la chaise qui fesait face à la porte et m'invita a m'assoire dans la seconde chaise. Sîtot assis, Lyla me donna une carte du camps, tellement détaillé que j'entrepris de le lire plusieurs fois.
Lyla elle, se contentait de m'observer attentivement. Sentant son regard braqué sur moi je la regarda dans les yeux. J'eus l'impression de me voir depuis ses yeux, une enfant avec les mêmes yeux que moi et les mêmes cheveux, qui me ressemblait et.... J'écarquilla les yeux. J'avais en face de moi une autre enfant de Junon! La Prétrice eu un hochement de tête compréhensif. Puis elle éclata de rire. Quand a moi, j'étais de plus en plus perdu.
Est-ce-que je devais rire ou pleuré, hurler ou courir hors du batiment de toute urgenge. Reprenant contenance, Lyla sourit néanmois en analysant mon expression facial.
Puis elle ajoutait d'une voix douce:
-J'imagine que Jupiter est autant ton père que moi, n'est-ce-pas?
-Je ne sais pas de quoi tu parles! Je suis un enfant de Jupiter point. m'exclamai-je en paniquant. Lyla se retenais visiblement à grand peine de rigoler. N'y tenant plus, je me leva de ma chaise pour bouger, ça m'aidais à refléchir de bouger. La Prétrice hochait de nouveau la tête et poursuivit la conversation.
-Je parie que Maman t'a dit de ne jamais révéler ton identité. Ce que tu fais parfaitement, bravo. Moi j'ai manqué de me faire trahir à mon arrivée, heureusement que le précédent Préteur était un abruti et qu'il n'a rien compris. Mais bon, est-ce que maman t'a parlé de moi? Lyla avait brusquement pris un ton sérieux en me posant la dernière question.

Je soupirais et décidait qu'elle méritait de savoir la vérité.
-Non. Mais quand j'ai demandé si j'étais bien son seul enfant, elle est soudain devenu triste et elle ma dis que je le serais plus tard.
-C'est bien Junon ça, de réveler les choses à moitié. ricana la Prétrice. Elle enchaînait néanmoins de penser à voix basse.
Mais si elle t'a dit de ne révélé à personne que tu es sa fille, cela pourrait dire que la seule personne à part toi qui sait la vérité à mon sujet me trahira ou m'a déjà trahis. Elle pourrait m'avoir laisser un indice par le bias de votre discussion. Ça alors sa craint! Je t'accompagne pour ta cérémonie d'entré au camps! déclara ma demi soeur en se levant de sa chaise, soudaint paniqué.
Je dois te protéger de cette personne! Mais avant je dois te demander, comme le veux la coutume, si tu as une lettre de recommandation?
Je fouilla précipitament dans le sac et lui donna la lettre. Son regard effleura rapidement la lettre. Puis son attention passa sur moi. Elle rangea la lettre dans un tiroir et me chuchota gravement:
-C'est bien ce que je pensais, il m'a trahi, je vais t'emmener auprès de lui pour qu'il puisse analysé ton futur comme le veux la coutume et je m'occuperai de lui plus tard. Elle me pris la main et nous sortîmes du batiment.

Elina et les ProphétiesOù les histoires vivent. Découvrez maintenant