Je me suis toujours dit que Jacob avait vraiment pas de chance dans l'histoire. alors je propose de mettre mon grain de sel. Au départ je pensais a une histoire hétéro mais après j'ai hésité pour l'originalité à faire un homme et vous m'avez suggéré...
Jacob était allongé dans son lit avec Thomas à ses cotés qui avait été soigné. Le jeune garçon ouvris ses yeux et regardait le loup qui l'observais entrain de dormir.
- Bonjour petit louveteau
- Bonjour Jacob, maintenant je comprend pourquoi tu m'appel comme ça
Thomas sourit et Jacob s'approche pour l'embrasser longuement. L'humain romps le baiser.
- Tu vas pas me sauter dessus...si ?
- Mmmh....je suis pas en chaleur mais...ça me dérangerais pas de te faire l'amour toute la matinée
Thomas ris et embrasse Jacob qui commença à se mettre sur lui doucement et à caresser son corps mais ses frères frappait à la porte de la chambre pour leur dire que le petit déjeuner était près. Jacob soupire et se lève. Thomas souris et prend la parole.
- Une autre fois peut être ? Au fait...merci de m'avoir sauver...en plus vous êtes venus me sauver en famille, tes frères m'accepte du coup ?
- En quelque sorte, de toute façon ils ont pas vraiment le choix. et puis il y avais pas que ma famille, il y avais aussi les Cullens. Ce sont des Sang Froids, des vampires, nos ennemis en quelque sorte. C'est de leur faute si tu était en danger...
- Je vois...Mais je suis vivant et puis ils t'ont aider alors...oublions tout ça d'accord ?...j'aimerais juste qu'on profite enfin de nos moments à deux.
- Mh ? ça veux dire que tu m'accepte officiellement comme ton loup de compagnie ?
Thomas souris et se lève, il viens dans les bras de Jacob.
- Je suis ton petit mâle comme tu dis.
Jacob sourit et porte Thomas en princesse, comme au bal de l'autre fois.
- Tu es ma princesse de la nuit, mon louveteau
Il sourit, Thomas déteste se faire porter comme ça et Jacob le savais, il le faisait pour l'embêter. Il le porta jusqu'à la table et le posa. Les deux s'installent pour manger en famille. Thomas regarde le frère qui le déteste mais qui l'a quand même sauver.
- Merci de m'avoir sauvé, je sais que tu étais pas obligé.
- Bah, que je le veuille ou non, tu fais parti de la famille maintenant, et même si je te déteste, je te protégerais comme je le fait avec mes frères.
Thomas sourit, c'est le plus gros compliment qu'il peux lui faire alors il se contente de ça. il regarde la femme avec la cicatrice au visage, elle prend la parole.
- Oh ne t'inquiète pas, je sais que ça surprend mais...maintenant il se calme...et Jacob n'est pas comme ça, il ne lèvera jamais la main sur toi j'en suis sur.
Thomas regarde Jacob, celui ci l'embrasse devant tout le monde.
- Elle à raison, par contre celui qui lève la main sur toi, je le déchiquetterais. Compris ?
Il avais dit ça en regardant le frère en question.
- Ouais ouais, mais y'a des chambre pour ça. Vous me donner envie de gerber.
Thomas souris et il termine son petit déjeuner. Après ce moment en famille, Jacob et Thomas vont au lycée à nouveau à moto. Ils arrivent en classe et s'assoit l'un à coté de l'autre, ses amis les remarques.
- Dit donc, c'est quoi ces sourires ?
Thomas sourit à Jacob qui sourit en retour et regarde son ami
- Quoi ? De quel sourire tu parle ?
- Oh !! La ! Vous l'avez refait ! ça y'es j'ai compris vous sortez enfin ensemble !!! J'en était sur !! Jacob arrêtaient pas de te mater c'était évident !
- Quoi ?
Thomas rigole et il regarde Jacob qui est gêner. Et c'était bien la première fois qu'il était gêner comme ça.
- Aller prouvez nous le ! Embrassez vous !
- ça va pas, pas devant tout le monde !
Thomas est autant gêner que Jacob, Mais Jacob pris les devant, il attrapa le visage de Thomas et il l'embrassa langoureusement devant tout le monde.
Son ami et sa copine se lève de la table et hurle en frappant des mains, Thomas est rouge de gêne et il riait de l'exagération de ses amis. Le professeur entre en voyant la scène.
- Et bien je vois que c'est la fête ici, bien, rasseyez vous et ouvrez votre livre page 69.
Thomas, Jacob et ses amis se regardent avant de rire à nouveau.
Le professeur soupire et leur fis signe de sortir de la classe, les quatre zigotto se lèvent en ayant un fou rire totalement stupide tout en sortant de la classe.
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Fin. J'espère que ça vous à plus, dites votre avis en commentaire.