chapitre 17

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Une semaine plus tard...
Une semaine déjà que la média de Khazban n'avait pas de répit.Depuis l'annonce du cheikh concernant la statut de la jeune femme et de la nouvelle loi adoptée par le souverain la presse était tout le temps devant le palais royal juste pour voir les jumelles.
Depuis  le balcon Carla observait discrètement la longue file des journalistes devant le palais,elle se rappelait encore de la choc qu'elle avait reçue quand le cheikh lui avait annoncé que les conseillers n'avait pas facilement accepté sa décision surtout qu'elle avait des enfants.
Ils s'étaient posés assez de questions comme par exemple :Si elle était digne de confiance ?
Ne serait t'elle pas une matérialiste qui était après son argent et son statut ?
La situation était devenue critique surtout quand ils avaient su par le biais de Nina que c'est parce qu'elle était entrain de voler dans le bureau du cheikh qu'il l'avait ramener à Khazban.
Le cheikh avait dû usé de beaucoup de diplomatie et était obligé de leur raconter son passé avant qu'ils ne comprennent mais n'empêche qu'ils étaient toujours méfiant l'a concernant .
- Combien de fois vais je te dis de ne pas rester là Carla ?
Prise de peur elle se retournait brusquement vers le cheikh et il s'en ai fallu de peu pour qu'elle ne trébuche pas.
- Doucement ,je suis là ce n'est que moi.
Elle repris lentement sa respiration le coeur toujours battant , depuis une semaines elle n'arrivait plus à dormir car elle avait peur qu'à tout moment la population débarque et l'a mette dehors,elle savait que c'était débile mais c'était ce qu'elle pensait.
- J'ai eu tellement peur répondit t'elle la voix tremblante.
Il l'a devisageait en silence et sans rien lui dire l'entraînait à l'intérieur.Une fois sur le canapé il fit appel à une servante et lui ordonnait de l'a servir.
- Tu m'a l'air pâle ,depuis quand tu n'a plus rien avaler ?
Sa voix était remplir de colère et Carla savait d'avance qu'elle allait passer un mauvais cardeur.
- Depuis deux jours répondit t'elle la voix basse.
Il se leva brusquement les mains serrées et le visage tout sévère.
- Moi qui pensait célébré mon mariage avec une femme en forme,je me suis totalement planté on dirait.
Carla baissa la tête car elle avait merdé,ce n'était pas de sa faute car elle avait une boule à l'intérieur de sa gorge ce qui l'empêchait de manger.
- Excuse moi Mohammed ,mais je suis tellement nerveuse que je n'arrive pas à avaler quoi que ce soit.
Il Jetait un coup oeil furtif vers elle et revenait sur ses pas avec un regard moins sévère.Il lui prit ses deux mains entre les siennes et lui carressait les lèvres avec beaucoup de sensualité ce qui lui faisait un bien fou.
- Habibti pourquoi tu t'inquiètes ?t'ai je déjà donner une raison de le l'être,?
Elle remuait la tête pour lui dit non ,alors il continuait.
- Tout est sous contrôle,je fais ce qu'il faut pour que notre mariage se passe bien.
- Tu est sur que le peuple donnera une réponse positive ?
Il lui souriait légèrement et lui donnait un léger baisé avant de lui répondre.
- Mes filles sont les meilleures ,en une seconde elles arrivent à conquis n'importe quelle personne déclarait t'il avec humour.
Ce qui lui arrachait un large sourire ,il avait parfaitement raison ses filles étaient beaucoup trop adorable,il n'y a pas de raison pour que la population ne les aime pas.
- Ce soir je vais les présenté publiquement au peuple ,tu n'a pas à t'inquiéter.
Pour toute réponse elle alla se blottir contre lui tout en priant intérieurement que tout aille pour le mieux.
Mohammed regardait ses jumelles avec des yeux pétillants,elles étaient plus que belle,leur mère les avait habillées d'une robe longue identiques et avait bouclé leur cheveux tout en les laissant à l'air libre.
Elles étaient tellement contente et couraient dans tout les coins du palais,tout les gardes ainsi que les servantes étaient gagas d'elles .
- Papa nous sommes jolies non?
Il s'abaissait à leur niveau ,leur firent des bisous un  peu partout avant de retorquer.
- Vous êtes la prunelle  de mes yeux et vous êtes trop mignonnes répondit t'il en tirant leur joues.
Elles commençaient par rire en coeur tout en se regardant de temps en temps.Tellement elles se ressemblaient qu'il n'arrivait pas à faire la différence et elles en profitait parfois pour lui jouer des tours.
Pour l'occasion lui même état habillé d'un Quamis de couleur noir et avec ses jumelles ils attendaient patiemment leur mère surtout que toute la population était déjà présente.
Quelques minutes après il entendit des claquements de talons et dès qu'il se retournait il  fit choqué par ce qu'il voyait.
Carla était fière d'elle quand elle vit les yeux du cheikh brillés de stupéfaction et de désir,elle se sentait vivante et unique.
Pour l'occasion elle s'était vêtu d'une robe traditionnelle longue avec des escarpins noirs,elle avait attaché ses longs cheveux dans un chignon serré et s'était maquillé légèrement.
Elle se rapprochait de sa famille avec assurance et le sourire aux lèvres,à voir son futur mari et ses enfants ils étaient dignes d'une famille royale.
- Désolée pour le retard mon cheikh dit t'elle en lui donnant un baisé sur la joue.
Automatiquement ses jumelles lui sautait dans les bras tout en l'a complimentant.
Elles étaient magnifiques et tellement elles étaient heureuse qu'une larme lui échappa.
- C'est bon les filles ,tout le monde nous attend déclarait le cheikh en lui essuyant le visage.
Mains dans la main ils atteignirent le seuil du palais et elle faillit s'evanouir face à tant de monde.
À leur vit la population se mura dans un silence qui lui faisait peur,elle redoutait tellement ce instant.
Le cheikh se déplaçait pour se mettre en face de son peuple et commençait par leur parler dans leur langue.
Carla faisait tout pour cacher son angoisse,tout ce qu'elle voulait était que le peuple les accepte car elle commençait déjà par s'habituer à sa nouvelle vie et surtout elle commençait déjà par nourrir des sentiments pour le cheikh.
Quelques minutes après elle entendit des cris provenant de la population ce qui l'a ramenait sur terre.
Subitement elle vit ses jumelles qui passait dans les mains de la plupart des gens qui riaient avec elles,elle ne comprenait pas ce qu'ils leur disait mais tout portait à croire qu'ils étaient entrain de les complimentée.
Son regard se dirigeait vers le cheikh et elle vit un sourire de triomphe s'affichait sur ses lèvres et pour en avoir le coeur net elle lui posa la question qui lui brûlait les lèvres.
- Mohammed que se passe t'il?
Il l'a regardait avec un regard qui en disait long avant de retorquer :
- Nous pouvons nous marier maintenant en paix et avec toutes les bénédictions qui soient....

Un cheick à épouser Où les histoires vivent. Découvrez maintenant