chapitre 30

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Blottir dans les bras de son mari  Carla regrettait leur départ du désert mais ils n'avaient pas le choix,ils avaient beaucoup de choses en suspend au palais car c'était maintenant que les choses sérieuses allaient commencer.
Cette lune de miel était la meilleure de toute sa vie ,certes ils n'avaient pas fait de voyage mais leur moment passé dans le désert était magique et riche en émotions.
Une fois sur le cheval elle ressentait  une liberté inouï et un bonheur par possible, tout était tellement parfait qu'elle avait peur que tout s'effondre et elle priait de toute ses forces pour que le bonheur règne toujours au milieu d'eux.
Une fois devant le palais il l'aida à descendre du cheval avant d'amener ce dernier au ranch, pendant ce temps sans l'attendre elle se précipita dans le palais pour voir ses jumelles car elles les avait beaucoup manquées .
Depuis le seuil du palais elle entendait déjà leur fous rires qui se propageait dans tout le palais,ce qui l'a fit rire.
Une fois au salon elle les virent entrain de courir un peu partout toutes mignonne et discrètement elle  pris place dans le canapé , les observait  sans qu'elles ne l'a voir, quelques minutes après son mari fit son entrée dans le salon et avec les mains elle lui fit signe de le rejoindre sur le canapé sans faire de bruit .
Les filles étaient tellement concentré qu'elles n'avaient rien remarqué mais au bout de quelques minutes l'une des jumelles les vit et sans crier gare commençait par sauté  de joie ce qui interpella sa seconde.
- Papa,maman crient t'elles en jubilant jusqu'à eux.
Carla et son mari les accueillir à bras ouvert en les couvrant de bisous.
- Oh mes amours que vous m'aviez manqué dit t'elle en les serrant très fort dans ses bras.
- Toi aussi maman beaucoup beaucoup s'exclamaient t'elles.
Le cheikh se leva et les fit tournoyer en l'air ce qui avait redoubler leur joies,elle aimait ça,elle aimait la complicité qu'il avait entre ses filles et son mari.
À les voir si soudés on n'aurait dit qu'ils étaient du même sang ce qui était vraiment rare à trouver chez un homme.
Alors Carla se sentait chanceuse d'avoir un homme qui acceptait ses filles comme ses propres enfants et elle n'arrêterai Jamais de remercier Dieu pour ça.
- Papa tu nous a amené beaucoup de cadeaux ?
Il lui jetait rapidement un coup d'œil à elle et lui fit un clin d'œil avant de se tourner vers  elles.
- Ça c'est la première des choses que j'ai fait voyons,mes princesses aiment tellement les cadeaux que je n'ai pas oublié déclare t'il en leur tirant les joues.
Carla remuait la tête car elle savait dans son fort intérieur qu'il n'y avait aucun cadeau,alors il venait de flatter ses petites.
- Maintenant aller voir grande mère Leila pour prendre vos cadeaux.
Elles répondirent en coeur et sortit en trombe du salon pour aller rejoindre Leila ,oh si seulement elles savaient.
- Tu viens tout juste de mentir à tes filles capricieuse dit t'elle sur un ton taquin.
Le cheikh se rapprochait d'elle tout doucement avec ses yeux aiguisés qui l'a rendait toute chose.
- Hum rectificatif je les ai fait croire et non mentir répondit t'il en l'a tenant par la taille .
Elle se mit à rire avant  d'enrouler ses mains autour de son cou et s'en suivit un exercice de langue.
Au bout de quelques minutes il   mit fin au baisé et colla son front au sien tout en plongeant son regard dans le sien.
- Va te reposer ma belle moi j'ai des choses à faire ,toutes tes affaires sont déjà dans notre chambre.
Pour toute réponse elle lui donnait un dernier baisé et le laissa partir .Elle avait l'intention de prendre une douche avant d'aller rendre visite aux villageois et non se reposer.
- Monsieur je viens d'apprendre que la reine s'est rendu au marché qui est non loin du palais afin de discuter un peu avec les villageois.
Mohammed leva la tête vers son conseiller sans être supris,il avait pris le temps de connaître sa femme.
Il l'a connaissais comme un livre ouvert et ce matin avant de l'a quitté il était conscient qu'elle n'avait pas l'intention de se reposer mais jamais il n'avait imaginé qu'elle allait poser cet acte.
- Hassan  elle est avec le chauffeur ?
Son conseiller lui souriait en remuant la tête ce qu'il ne comprenait pas.
- Votre altesse elle a marchée,et en ce moment elle est entrain d'aidé certains villageois à vendre, d'autres à cueillir des fruits etc...
Mohammed se leva et faire face à la fenêtre de son bureau,sa reine n'arrêtera jamais de le suprendre ,il ne pouvait Jamais imaginer que dans ce soleil ardent elle allait utiliser son temps et son énergie pour aider son peuple.
Ça aurait été d'autres femmes qui avaient ce statut de reine elles n'allaient jamais manqué de l'utilisé ou de faire en sorte que tout le monde sache ce qu'elles sont.
- Je suis dépassé par son humilité Hassan déclare t'il abasourdir tout en prenant place dans son siège.
- Le peuple l'apprécie vraiment et il est fier d'avoir une reine comme elle,elle est reine mais elle agit tout comme si elle était une personne banale.
Mohammed affichait un léger sourire et se rendit encore une fois compte de la chance qu'il avait de l'avoir comme femme.
Il se rappelait en même temps de son lourd secret qu'il avait gardé depuis des années,car si il devrait en parler à sa femme il avait besoin des conseils de son ami qui était plus sage que lui.
Du coup il avait besoin de se confesser.
- Hassan prend place ,j'ai quelques chose de très importante à te confier s'enquit t'il d'un air grave.
Son conseiller s'exécuta promptement.
- Je suis toute oui votre Altesse.
Mohammed prit une grande inspiration et souffla plusieurs fois avant de prendre la parole.
- Te souviens tu de l'époque où mon frère et moi étions aller faire des examens de fertilité pour savoir qui pourrait être susceptible de donner des progénitures une fois que cette personne deviendra roi parmis nous?
Son conseiller hochait la tête pour lui dire oui.
- Eh tu m'avais demandé à cette époque mes résultats car tu trouvait louche que j'ai pu laisser ma place à mon frère alors que c'était à moi de diriger.
- Effectivement votre Altesse ,vous m'aviez dit à cette époque que c'était votre choix tout simplement.
- Eh bien je t'avais mentir Hassan ce n'était pas la vraie raison.
- Alors c'était quoi votre Altesse ?
Il se leva et lui tournait le dos tout nerveux et incapable de garder la colère qui le consumait avant de déclarer.
- La vraie raison était que mes résultats avaient révélé que j'étais infertile
Hassan,je ne peux jamais être papa

Un cheick à épouser Où les histoires vivent. Découvrez maintenant