chapitre 4

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2 semaines plus tard....
- Votre Altesse la prisonnière ne respire plus.
Mohammed releva la tête de son document et regardait son conseiller d'un regard incrédule.
- Hassan pour l'amour de Dieu explique moi bien.
Son conseiller prit une grande inspiration avant de dire.
- Tout à l'heure les gardes sont venus me voir pour m'annoncer la nouvelle et je viens vous en informer.
Elle ne respirait plus?pour la première fois Mohammed s'en voulait sans connaître la raison ,depuis deux semaines il ne l'avait plus jamais revu,et il avait ordonné à ses gardes de lui donner à manger.Il s'efforçait de ne par faire des recherches sur elle car il ne voulait pas croire qu'il l'avait peut être mal jugée.
- Hassan accompagne moi  et  appel le médecin dit t'il d'une voix implacable.
Mohammed se posait assez de questions sans réponses,une fois devant sa cellule il vit la jeune femme par terre qui ne ressemblait plus à rien.Il hâta alors les pas pour l'a rejoindre et toucha son poux qui battait faiblement.
À peine elle respirait ,il serra les mâchoires quand il vit que les repas qu'on lui avait servi ses deux dernières semaines ont été intact,elle n'y avait pas touché.
Sans réfléchis il l'a prit dans ses bras et l'amenait dans l'une des chambres des invités et constata que tout son corps était froid.
- Votre Altesse le docteur est là dit Hassan en le sortant de sa torpeur..
- Bonjour votre altesse dit le docteur en s'inclinant .
Il lui répondit de la tête et lui laissa la place afin qu'il puisse examiner la jeune femme.
Quelques minutes après le docteur retorquait :
- Elle est très faible votre altesse ,je lui ai prescrire les médicaments qu'il lui faut ,elle se réveillera d'un moment à l'autre.
- D'accord docteur merci,vous pouviez disposé répondit t'il en prenant l'ordonnance de ses mains.
Le docteur s'éclipsait le laissant seul avec la jeune femme qu'il commençait par fixé instantanément , c'était la première fois qu'il l'a regardait de près  comme ça et il l'a voyait comme un ange endormie ,ses traits fins montraient qu'elle était une femme innocente ,elle était vraiment belle se disait t'il intérieurement.
Quelques minutes après elle commençait par bouger sans ouvrir les yeux et dit:
- Mes enfants,svp sauver mes enfants dit t'elle en larmes .
Au même moment Hassan courrut vers lui un porte feuille à la main .
- Majesté je viens de voir son porte feuille dans la cellule ,il y a toutes les informations dessus.
Il lui prit de  la main  et ouvrir le portefeuille,en quelques secondes son visage se fissura quand il vit qu'elle avait effectivement la photo de deux petites filles qui l'a ressemblait trait pour trait.
Son coeur commença par battre de façon désordonné car il se rendit compte que   dès le début elle avait raison et il n'avait pas voulu l'a croire . Pour la première fois il avait mal jugée quelqu'un et maintenant il était sur que ses enfants étaient en danger.
- Hassan demande à Leila de prendre soin d'elle dès qu'elle se réveillera stp et rejoind moi dans mon bureau dit t'il la voix implacable.
- Majesté elle s'appelle Carla Willard américaine âgée de 27 ans mère de deux jumelles et divorcé de son ex mari depuis 5 ans ,elle est une femme de ménage .
Assise sur son bureau et en tournant son stylo à tout moment ,Mohamed n'avait pas décoloré depuis ,il ne pouvait s'empêcher de s'en vouloir,il aurait dû l'écouter et si quelque chose arrivait à ses enfants Jamais il ne se le pardonnera.
- Hassan je me suis trompé sur son compte,si je l'avais écouté plus tôt elle n'allait pas passer des semaines dans cette cellule et ses enfants auraient été déjà sauver déclara t'il avec amertume.
-Je vous comprend votre altesse mais pour l'heure nous devrions attendre qu'elle se réveille et nous aviserons.
Pour toute réponse il reprit place  dans son siège dépassé par la situation pour une fois.
Dans la soirée....
Carla avait été suprise de voir qu'elle était installée dans une belle chambre à son réveil,depuis deux semaines qu'elle était enfermée Comme une vulgaire marchandise,elle ne parvenait pas à avaler quelque chose dans le ventre ,elle pensait beaucoup trop à ses filles,elles lui manquaient énormément et elle n'arrêtait de pleurer comme une madeleine.
- Ma fille ,essaie de manger un peu stp.
Elle releva les yeux vers la vieille dame qui l'a regardait avec amour, dès son réveil elle avait pris soin d'elle , l'avait aidé à prendre une douche et l'avait habillée d'une robe simple.
- Je ne peux rien avaler madame,tout ce que je veux ceux sont mes enfants répondit t'elle en pleurant de plus belle.
Elle souffrait tellement qu'elle regrettait même d'être revenue en vie ,tout allait mal dans sa vie,elle n'avait jamais eu l'occasion d'être heureuse.
- Ma fille tu peux m'appeler maman,je comprends ce que tu dis ,et je suis sur que la majesté Mohammed Daharza fera tout pour vous les ramener.
À l'entente de ce prénom son rythme cardiaque s'accéléra,donc il s'appelait Mohammed ?elle remuait la tête afin de se calmer cet homme ne l'aidera jamais .
Sur le point de retorquer  elle vit une silhouette imposante faire son entrée dans la chambre et à son plus grand malheur c'était le cheikh en personne le regard toujours froid.
- Léïla laisse nous seul stp dit t'il d'une voix glaciale.
Le coeur battant elle se demandait ce qui l'avait rendu si désagréable et insensible.Il s'approcha du lit de toute sa hauteur et elle vit qu'elle n'était qu'une chose minuscule face à sa taille.
En le regardant d'aussi près sa cicatrice était plus visible et elle remarquait que presque tout son visage était brûlé mais ça ne le répugnait ni l'a repoussait car il était un être humain comme elle.
- Comment allez vous mademoiselle Willard ?
Elle releva la tête suprise qu'il puisse l'appeler par son nom peut être que son visage ne lui faisait pas peur mais son aura et sa froideur l'effrayait au plus haut point.
- Co..comment ...
-J'ai jetté un coup d'œil dans votre portefeuille ,et j'ai vu voss deux filles ,ce qui voudrait dire que dès le début vous aviez raison et que je vous ai mal jugée et maltraité ,je m'en excuse l'a coupa t'il comme ci ça lui coûtait de s'excuser.
Dieu merci il l'a croyait maintenant, peut être qu'il pourrait l'aider à présent tout en espérant que ses filles aillent bien.
- Aider moi svp ,sauvez les ,je ferai tout ce que vous voudriez dit t'elle fatiguée.
Sans aucune expression il retorquait :
- Raconter moi tout d'abord..
Elle éssuyait ses larmes et prit une grande inspiration avant de se jeter dans le récit.

Un cheick à épouser Où les histoires vivent. Découvrez maintenant