Un cheick à épouser

chapitre 8

- Mademoiselle Willard comment vous sentez vous dans ce palais ?
Carla releva les yeux de son assiette pour regarder le cheikh.
Comment elle se sentait ?elle voulait tellement lui dire qu'elle désirait suivre une formation en cuisine mais c'était impossible d'abord parce qu'elle n'était pas instruite ,ensuite elle ne voulait pas abuser un peu trop de son hospitalité et enfin elle était appelé à quitté le palais un jour alors elle devrait songer à quoi faire de sa vie
- Euh pour tout vous dire votre Altesse je m'ennuie et j'aimerais faire quelque chose pour m'occuper svp.
Le cheikh éssuyait ses lèvres pour  lui donner toute son attention ce qui l'a déstabilisa un peu.
- Je vous écoute mademoiselle Willard dit t'il en le devisageant profondément.
- Je pourrais par exemple être la servante,la domestique ou n'importe quoi ,je pourrais même....
- Assez mademoiselle Willard Crit t'il en tapant brutalement la table à manger....
Mohammed Jetta un regard d'avertissement à la jeune femme et une sourde colère lui monta quand il se rendit compte que la jeune femme se limitait seulement à être une femme de ménage , n'avait t'elle pas de rêve ni de visions?
Après sa phrase elle braquait ses yeux de biche dans les siens prise de peur.
- Enfin mademoiselle Willard ,le ménage c'est tout ce que vous pouvez faire?le ménage?
Elle se leva nerveusement les larmes aux yeux avant de retorquer :
- Qu'est ce qu'une illétrée peux faire à part le ménage dites moi?je ne peux ni lire ni écrire,alors.
Pour la première fois dans sa vie Mohammed ressentait de la peine pour la jeune femme,si belle et jeune et elle était vraiment à bout à cause de tout les problèmes auxquels elle avait été fait face.
- Tôt ou tard on quittera ce pays ,je dois élevé mes filles ,leur assurer un avenir meilleure et pour cela j'ai besoin de travailler et de faire des économies je n'ai personne vers qui me tourner vous comprenez ?déclara t'elle en pleurant de plus belle.
Chacun de ses mots prononcés touchaient profondément le cheick,quand Hassan lui avait suggéré de demander la jeune femme  en  mariage il avait immédiatement refusé cette idée car la jeune femme ne méritait pas de l'épouser certes elle n'avait pas peur de lui mais il savait d'avance qu'elle allait refusé et il n'avait pas la moindre envie de l'a forcé .
Alors Mohammed admetta qu'après avoir règlé le compte de son ex mari il allait devoir les laisser partir même si ça lui coûtait mais avant il devrait faire quelque chose.
Les marchoires serrées et le corps tendu il se dirigeait vers elle et l'a prit par les épaules afin de l'inciter à s'asseoir.
- Calmer vous svp,je vais embaucher des professeurs qui vont vous donner des cours dans le palais,comme ça vous deviendrez instruite.
Elle releva ses beaux yeux qui se mirent à briller instinctivement dans les siens.
- Êtes vous sérieux votre Altesse ?
Il hochait la tête pour lui dire oui et elle afficha un beau sourire vers lui toute heureuse ce qui ne lui déplaisait pas .
La  voir sourire lui faisait plaisir et il mettra tout en œuvre pour qu'elle ai une bonne éducation avant qu'elle ne s'en aille.
- Alors on peux se tutoyer ?demanda t'elle timidement.
- Oui mademoiselle Willard, maintenant essayé de manger .
Ce qu'elle fit et lui de son côté regagna son siège tout en l'observant .
Deux jours plus tard....
Accompagné d'Hassan le cheikh El Mohammed se tenait debout en face de Franc qui était tout amoché.
Mohammed avait décidé de ne pas touché un seul de ses cheveux car il ne voulait pas se salir les mains ,en plus il considérait ses filles comme les siennes alors il n'avait pas envie de regarder ses filles et se rappelé qu'il avait tué leur père même si lui était prêt à les tuer .
- Que je suis heureux enfin de vous rencontrer mon cher Franc dit t'il avec hargne.
L'intéressé le regardait avec difficulté car il arrivait à peine à soulever la tête car il était presque mourrant.
- Vous me reconnaissez maintenant ?je suis le cheikh El  Mohammed  ,vous aviez contraint votre ex femme de venir voler mes bijoux ,vous vous en souvenez  je l'espère.
Le concerné se mit à rire de manière deraisonné,il était vraiment un malade se disait Mohammed.
Sa nature monstrueuse commençait peu à peu par  n'aitre en lui et son seul envie était de se jeter sur lui et de l'égorger comme il savait si bien le faire.
- Maintenant après avoir finir avec cette pute de Carla c'est mon tour ?
En une seconde Mohammed lui serrait le cou et le soulevait les yeux noirs.
- Répétez moi ça espèce de déréglé déclare t'il les dents serrées tout en augmentant la pression.
Franc commençait par écarquilla les yeux de douleurs et commençait par s'étouffer.
- Votre altesse svp ne vous abîmé par les mains.
Après cette phrase de son conseiller il se calma  petit à petit et le relâchait et il tomba lamentablement dans le fauteuil.
- Pour votre gouverne Carla et les jumelles sont en vie et en bonne santé .
Il affichait un regard de suprise et de haine ce qui le satisfaisait,tout portait à croire qu'il détestait Carla et ses propres enfants,ce qu'il n'arrivait pas à comprendre et ne voulait même pas comprendre.
- Ouvrez grand vos oreilles vous seriez dans quelques minutes six pieds sous terre et elles continueront à vivre.
Franc le fixait avec un regard de peur comme si c'était maintenant qu'il réalisait la gravité de la situation.
- Votre altesse ,vous commettez une grave erreur ,Carla n'est qu'une menteuse et profiteuse svp ne l'a croyez pas et je vous en supplie ne me tué pas.
- Qu'elle soit fausse ou pas c'est à moi d'en juger répondit t'il avec force.
Mohammed était plus que irrité ,cet homme lui donnait des envies de meurtre même en étant entre la vie et la mort il n'admettait pas et ne reconnaissait pas ses fautes.
- Vous faites une grave erreur en leur faisant confiance ,elle va vous détruire.
Sans lui répondre il Jetta un rapide coup d'œil à Hassan avant de lui jetter un dernier regard.
- Aller en enfer Franc s'enquit t'il en tournant le dos.
Une fois au dehors ses hommes mit le feu à la maison dans lequel il se trouvait.
Mohammed fixait les flammes satisfait de voir que cet irresponsable et ce phénomène était définitivement sortir de la vie des filles et de leur mère