La force vitale

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Klaus est en train de peindre comme à son habitude et moi je fais mes ongles. Stefan entra dans la pièce.

Isabella : bonjour, mon frère.
Stefan : bonjour, Isa.

Stefan regarde le tableau de Klaus.

Stefan : on dirait un flocon de neige géant.
Klaus : je préfère le voir comme une expression postmoderne. C'est ma contribution à la fête des merveilles de l'hiver.

Adrian, je crois, Arriva dans la pièce.

Adrian : une urgence ?
Klaus : oui. Livre ça immédiatement au Mystic Grill.
Adrian : je suis coursier, maintenant ?
Isabella : tu fais ce qu'on te dit et sans faire cette tête.

Adrian me regarda et alla vers le tableau. Il le prit.

Klaus : et attention, la peinture est fraîche.

Adrian partit.

Stefan : Abraham Lincoln a libéré les esclaves.
Klaus : à quoi bon avoir des hybrides asservis si je ne profite pas au max d'une main d'oeuvre gratuite. Que fais-tu ici ?
Stefan : Elena est asservie à Damon.
Klaus : je sais, Isis me l'a dit.
Stefan : d'où l'importance de trouver ce remède, et toi, tu fais des flocons de neige postmodernes et toi.

Il me regarda.

Stefan : tu fais tes ongles.
Klaus : on a fait notre part. On a l'épée du chasseur qui permettra de déchiffrer la carte sur la marque du chasseur. C'est toi qui est censé trouver le chasseur et sa marque.
Stefan : Jeremy est chasseur. Pour compléter la marque, il doit tuer des vampires, mais on ne sait pas comment l'empêcher de nous tuer.
Klaus : c'est une sacrée tâche, et donc ma contribution à la fête me semble parfaitement justifié.
Stefan : vous mentez peut-être au sujet de l'épée.
Isabella : pourquoi mentirons-nous, Stefan ? On est ensemble sur ce coup.

Klaus sortit de la pièce et alla vers le coffre fort de la pièce d'à côté. Stefan et moi, on le suivit. Il ouvrit le coffre et sortit l'épée.

Klaus : le code sur la poignée permettra d'interpréter le tatouage de Jeremy quand il aura tué assez de vampires pour le compléter.

Klaus posa l'épée sur la table, Stefan la prit dans ses mains.

Klaus : il paraît que tu as déménagé. Tu joues au martyr ?
Stefan : je ne viens pas faire ami-ami.

Stefan reposa l'épée.

Klaus : au contraire. Je crois que je suis ton meilleur ami, en ce moment.

Stefan partit. Je rangea. Klaus se leva.

Klaus : habille-toi Isis, on sors.
Isabella : où ça ?
Klaus : en ville.

Je partis me préparer.

On sortis de la maison

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On sortis de la maison.

On arriva au Grill. J'alla vers son œuvre. Caroline arriva vers moi.

Isabella : que veux-tu Caroline ?
Caroline : rien. Je viens regarder l'œuvre. En passant, joli flocon de neige.
Isabella : c'est à Klaus qui faut le dire.
Caroline : quand je le regarde, je vois de la solitude.
Isabella : c'est censé être un compliment ? Bref, tu veux du champagne ?
Caroline : je ne peux pas. Trop de regards indiscrets. Je suis censé être jeune et ne pas boire.
Isabella : alors heureusement que tes années lycée sont bientôt fini.
Caroline : tu as de la chance, sa doit faire un moment que tu n'as pas était au lycée. Tu sais quoi, prenons un verre.
Isabella : c'est le début d'une amitié ?
Caroline : on était déjà amies, avant qu'on apprenne pour ta mémoire et ton passé.
Isabella : tu permets ?

Je partis rejoindre Klaus.

Klaus : pas de meurtre.
Isabella : j'essaie d'être gentille mais ça passe toujours pas avec elle.
Klaus : alors laisse tomber.

On parlait de tout et de rien quand d'un coup j'ai un mauvais pressentiment. Je regarda autour de moi mais rien.

Klaus : sa va Isis ?
Isabella : j'ai un mauvais pressentiment.

On sortit et Hayley arriva, elle nous expliqua un truc et partit.

Isabella : je te l'ai dit. J'ai un pressentiment de merde.

Stefan arriva.

Isabella : elle ne nous aimes pas beaucoup. Où étais-tu passé, mon frère ?
Stefan : j'étais là.
Isabella : je n'aime pas les caprices. Tu es bizarre, Caroline essaie de jouer la gentille parce qu'elle veut détourner notre attention. As-tu quelque chose à nous dire ou Klaus va te l'arracher par l'envoûtement.
Stefan : j'ai ouvert votre coffre pour prendre l'épée.
Klaus : pourquoi ?
Stefan : je ne vous fais pas confiance.
Klaus : je t'ai montré l'épée. Je t'en ai expliqué la valeur. On a toujours été de ton côté. Qu'est-ce que tu veux ? une poignée de main fraternelle ?
Stefan : j'ai trouvé les lettres. Tu as eu quelques correspondants au cours des siècles.
Klaus : garder les lettres de ses victimes, est-ce si différent que décrire leur nom sur un mur, comme tu as fait le boucher ?

Je vu Adrian derrière Stefan. On se regarda avec Klaus. On commença à partir mais Klaus se retourna.

Klaus : la solitude, Stefan. C'est pour ça que toi, moi et Isis nous commémorons nos morts. Cet instant fugitif au cours duquel leur vie est entre nos mains, puis on l'a leur arrache... il ne nous reste rien. Réunir leurs lettres, écrire leur nom sur un mur ou faire des tatouages nous rappelle qu'au bout du compte, nous restons infiniment seuls.

Je regarda Klaus. On partit rejoindre Adrian. On le suivit. On arriva à la cave des Lockwood. Tous les hybrides de Klaus sont là.

Adrian : Kim.

Klaus lui arracha le cœur.

Kim : Non !

Klaus sortit l'épée. Je sortit mes veines apparurent. J'arriva devant deux hybrides et leur arracha le cœur. Klaus trancha la tête de trois hybrides. J'arriva devant deux autres hybrides. Je lui arracha à eux aussi le cœur. Klaus en tua trois autres. J'arriva devant Kim et lui arracha le cœur à son tour. On regarda les corps de tout le monde. Un est pas mort. Il descendit dans la cave. J'arriva derrière lui.

Isabella : où est Tyler Lockwood ? Tu as intérêt à me répondre, trésor.

Je m'approcha de lui.

Isabella : où est-il ?
Hybride : je ne sais pas.
Isabella : mauvaise réponse.

Je lui arracha le cœur. Je remonta voir Klaus.

Isabella : rentre te doucher, Nik.
Klaus : où vas-tu ?
Isabella : donner une bonne leçon à Tyler.
_____________

J'écouta la conversation de Carol.

Carol : Tyler, chéri, tu devais me ramener à la maison. Je crois que j'ai trop bu.

Elle raccrocha. J'arriva vers elle.

Isabella : bonsoir, Carol. Vous cherchez Tyler ? Moi aussi, je dois lui parler.
Carol : Isabella, je t'en prie. Ne lui fais pas de mal. C'est mon fils. Je n'ai que lui.
Isabella : et lui, il n'a que vous.

Elle arrêta de sourire.

Isabella : c'est une belle symétrie, tu ne trouves pas ?

Je pris Carol par le cou et lui plongea la tête dans la fontaine. Elle se débattu de toutes ses forces. Après quelques secondes, elle arrêta de bouger. Elle est morte. Je la lâcha et partis, laissant son corps dans la fontaine.

Le remède au vampirisme Où les histoires vivent. Découvrez maintenant