𝓑𝓵𝓮𝓻𝓲𝓷𝓭𝓪19:50,
Au quartier général.Je suis enfin arrivée. Je me trouve juste devant cet immense demeure que détient William Marshall.
C'est une grande maison blanche de cinq étages, avec des colonnes élégantes, de grandes fenêtres lumineuses et un intérieur luxueux et raffiné.
Sans vous mentir, cette maison est sublime. Mais les personnes qui y habitent à l'intérieur sont tout l'inverse.
Je marche sur le chemin en béton qui m'emmène directement à l'immense porte d'entrée.
Devant celle-ci se trouve deux gardes du corps en costume noir pour se changer de la protection de l'entrée.
Quand j'arrive à leur hauteur. Ils me saluent avec un haussement de tête que je leur rends en retour. Après ça, les gardes m'ouvrent les deux grandes portes en métal noirs pour me laisser rentrer à l'intérieur de la majestueuse maison.
Je marche jusqu'à atteindre les escaliers en marbre que je monte un par un.
Arrivée au deuxième étages, la porte de mon patron se trouve tout au bout du couloir.
Mes talons claquent sur le sol, créant une mélodie rythmée qui accompagne chacun de mes pas avec une note d'assurance.
J'étais impatiente à l'idée de savoir ma prochaine mission.
Je frappe délicatement trois coups à la porte, le son résonnant dans le couloir vide.
À travers la porte, j'entends la voix de William me dire :
— Entre, la porte est ouverte. Je t'attendais.
J'entre dans le bureau de Monsieur Marshall en poussant la porte, révélant un espace empreint d'autorité, avec des étagères soigneusement alignées de dossiers bien organisés, témoignant de sa rigueur professionnelle.
William paraît gentil malgré sa richesse et son âge, mais en réalité, il cache une méchanceté profonde sous cette façade amicale.
— Viens t'asseoir sur cette chaise qui est juste devant mon bureau, je t'en prie, m'invita-t-il en pointant la chaise en cuir qui est positionné devant son grand bureau en bois.
Je m'avance et m'assois dessus en attendant impatiemment ma mission.
— Alors, comment va notre merveilleuse Blerinda Johnson ? Me demande-t-il.
Je lève les yeux au ciel. Je n'ai toujours pas oubliée ce qu'il m'avait fait la dernière fois que je suis venu ici.
Pour tout vous dire, il m'avait demandé de venir ici pour qu'on puisse parler du trafic d'arme que fait Luca, Uun des hommes du gang, pour que j'aille l'aider ou je ne sais quoi.
Mais au lieu de ça, il m'avait attaché à la chaise pour ensuite essayer d'enlever un de mes vêtements..
Ça lui arrive très souvent de me faire des commentaires sur mon habillement, etc.. mais là, on est jamais allé aussi loin. J'étais beaucoup trop affaiblie après tout les entraînements intenses qu'il m'avait fait subir tout le long de la journée.
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Est-ce vraiment ton choix ?
Любовные романыJ'étais contrainte de le faire, je devais fuir cet endroit où chaque respiration semblait m'étouffer. Rester une seconde de plus était impossible, alors j'ai pris la décision de partir. Partir loin de cette maison, loin de ces cauchemars et traumati...