Mais c'est juste sa façon de m'exciter

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Tu es en danger quand iel te touche les parties intimes sans ton consentement

Je peux la sentir glisser sur moi, alors je la repousse doucement, l'enfermant entre mes deux mains. Mais il est plus fort que moi, et sa main reprend son ascension vers le haut de ma cuisse. Je lui fais les gros yeux, demandant silencieusement qu'il me laisse me concentrer sur le film.

Je suis au cinéma pour la première fois de ma vie, et je souhaite vivre l'expérience du mieux possible, mais cette main insistante ne cesse de vouloir me toucher. La salle est à moitié remplie, on est dans le fond. Alors je sais que personne ne peut nous voir, mais l'expérience me fascine tellement que je veux resté concentrer sur le film.

-Laisse moi te toucher.

Ce n'est pas une demande, mais un ordre. La bouche qui vient de chuchoter à mon oreille, s'en empare, et la mords. Puis, c'est mon cou qui subit le même sort.

-Harry s'il te plaît. Je veux regarder le film.

-Et j'ai dit que je voulais te toucher.

Sa main s'empare des miennes, alors que l'autre se glisse dans mon jean. Je tremble, je me mords la lèvre pour ne pas crier. Il continue de me toucher, me mordre, et me gronder si je ne prends pas assez de plaisir, jusqu'à ce qu'il m'arrache un couinement.

-Je savais que tu aimerais ça.

Avant même que je puisse réagir, je me retrouve sur ses genoux. On est dans l'un de ces cinémas où on peut avoir des sièges doubles, tant et si bien qu'aucun obstacle se dresse entre nous. Je soupsonne qu'il a tenu à faire tant de route pour cette raison bien précise.

-Harry. Non. Pas maintenant.

En réponse, il me mord le cou, et je sens du liquide couler sur mon tee-shirt.

-Harry, s'il te plaît...

Je soupire. Il doit prendre cela pour un signale de plaisir, parce qu'il se met à serrer mon pénis encore plus fort, m'arrachant un petit cri de douleur. Quelques personnes se retournent, mais personne semble voir ma détresse face à cette situation. Pourtant, je n'ose pas hurler ou me débattre. Il tient mes mains dans mon dos, contre son ventre. Je peux sentir son pénis dur contre mes fesses, et je crains un instant qu'il me pénètre, mais il se contente de me branler.

-Tu aimes ça hein ? Dans un cinema, avec autant de monde autour de toi. Tu devrais avoir honte.

Je ne réponds, et mords ma lèvre. La torture s'arrête finalement en même temps que le film. Il me relâche juste avant que les lumières ne se rallument.

-On rentre.

Il se lève, alors que je reste assis là, un peu tremblant.

-Tu ne voulais pas aller au restaurant ?

-Tu m'as excité comme un chien, maintenant tu assumes. On rentre.

Je me lève, et le suis docilement. On rentre à la maison.

Mais il m'aime [DRARRY - -18ans]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant