Chapitre 42

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En quittant l'entreprise Brown, il était dans une sorte d'extase et sans plus attendre il a rejoint le siège social du Groupe Higgins pour faire part de la nouvelle à son père. Quand il est arrivé une demi heure plutard, son père tenait une réunion mais a mis une pause afin de s'entretenir avec lui.

_ Alors ?

Dit-il d'un air enjoué.

_ C'est bon je l'ai !

_ Brave homme ; je savais que tu allais gérer cela comme un vrai homme. Je suis si fier de toi. Margaret de là où elle se trouve peut désormais reposer en paix.

_ J'ai fait ce qu'il fallait papa !

_ Oui et je suis si fier de toi, il te reste maintenant ton épouse. Débarrasse toi d'elle. Elle ne nous sert plus à rien maintenant.

_ Papa...

_ Tu connais le deal mieux que quiconque. Fais ce qu'il faut !

_ Je l'aime..

_ Le soucis c'est que les hommes comme nous n'avons pas de coeur. L'amour ne fait pas partie de notre vocabulaire.

Mark est devenu soudainement triste.

_ J'ai compris !

_ Voilà, j'aime mieux ça !

Il lui a donné une tape à l'épaule avant de s'emparer du document.

_ Bon boulot !

_ ...

Mark n'a pas répondu, il a quitté l'entreprise juste après avec la rage dans le coeur. Quand il a prit place dans son véhicule, il a donné l'adresse de l'appartement de Monique à son chauffeur. Tout ce stress qu'il venait de recevoir, il devait l'évacuer de peur de devenir fou.

"Tuer Maryline !"

Se dit-il intérieurement en serrant les poings.

C'est de la pure folie. Il savait qu'elle était son talon d'Achille mais les sentiments qu'il éprouvait pour elle l'empêchait de raisonner convenablement quand il s'agissait d'elle.

À son arrivée une vingtaine de minutes plutard, il est entré.

_ Tu ne m'as pas dit que tu allais venir.

_ Devrais-je te le dire ?

Dit-il d'un ton féroce.

_ Je suis indisposée, je ne peux pas...

Il l'a interrompu.

_ Ne t'inquiète pas, ta bouche saura me satisfaire.

Elle n'a su quoi dire en retour, en l'observant elle a remarqué les ténèbres qui habitaient ses yeux.

" Il a dû se passer quelque chose ! C'est pourquoi il a besoin de ça, il a besoin d'avoir ce contrôle, que je me soumette à sa volonté. Ce qui me surprend, c'est de voir à quel point j'en ai envie moi aussi."

Se dit-elle intérieurement.

Elle voulait calmer sa tempête et s'y perdre en même temps. La seconde qui suit, elle a passé sa main par-dessus son épaule et l'a posé sur sa joue. Sur le coup, il s'est raidit, puis s'est détendu et s'est laissé aller à sa main.

La chaleur qu'elle a vu, le désir qu'il avait pour elle a fait galoper son cœur. Elle a réprimé un petit halètement lorsqu'il a pincé à nouveau sa poitrine.

_ Tu es la seule qui sait me satisfaire !

Elle a souri quand elle a entendu cela.

_ Je suis ton plus grand délice !

Dit-elle d'une voix sensuelle.

Il a abaissé sa bouche sur son cou, raclant ses dents sur sa peau. Une décharge électrique l'a secoué. Elle s'est sentie vivante. Plus vivante qu'elle ne l'avait été depuis bien longtemps.
Au-delà du fait qu'il dise ces choses, elle avait la ferme conviction que ce qu'il pensait était sincère.

Il l'a attrapé par le bras et l'a retourné face à lui. Il l'a fait reculer jusqu'à ce que ses fesses heurtent la table.

_ À terre, agenouille-toi pour moi.

Il a appuyé légèrement sur ses épaules et elle s'est laissée tomber sur le sol pour lui. Agenouillée à ses pieds, elle l'a regardé, en se demandant ce qu'il attendait d'elle, parce qu'elle avait envie de le lui donner. Elle voulait lui faire plaisir. Lui faire oublier son stress.

Il a fait courir son pouce sur sa lèvre inférieure.

_ Quelle jolie bouche. Je me demande à quel point tu seras jolie avec ma bite enfoncée à l'intérieur.

Dit-il d'un air salace.

Son autre main a ouvert sa ceinture et il a baissé son pantalon jusqu'à ce que sa bite soit libérée complètement. Elle a essayé de reculer, mais n'avait nulle part où aller. Tout en se tenant la tête, il l'a plaqué contre la table. Elle était prise au piège.

_ Ouvre pour moi !

Il a saisi sa bite d'une main et a approché son gland de ses lèvres. Il y'avait une goutte de liquide qui était trop tentante pour ne pas être léchée.

Il a sifflé comme si elle lui avait fait mal en passant sa langue sur sa queue.

_ Ouvre.

Cet ordre était plus sévère.

Ses doigts se sont resserrés dans ses cheveux. Elle a remonté sa main, prête à l'enrouler autour de sa verge, mais il l'a repoussé.

_ Non. Mets tes mains sur tes genoux. Je veux juste ta bouche. Je vais la baiser, et la baiser à fond.

Elle a ouvert la bouche et s'est préparée à ce qu'il allait lui faire. C'était son moment. Il pouvait lui faire mal, mais elle ne serait pas en danger. Il n'avait pas besoin de le lui dire ou de lui expliquer cela.

_ Putain.

Une vibration s'est faite entendre et il a sorti son téléphone de la poche de son pantalon, puis l'a posé sur la table sans le regarder. Sans la prévenir, il s'est enfoncé dans sa bouche et le bout de son sexe a touché le fond de sa gorge. Elle l'a avalé en produisant des gargouillis. Par la suite, elle a essayé de reprendre son souffle, mais Mark n'était pas tendre. Il n'avait jamais promis de l'être.

Elle a enfoncé ses ongles dans ses cuisses, encaissant la baise qu'il lui infligeait. Encore une fois, il a enfoncé son sexe dans sa gorge. Elle a avalé, mais ça ne servait à rien. Elle était entrain de s'étouffer. Il s'est retiré suffisamment pour qu'elle puisse respirer, mais c'était tout. À peine elle a repris son souffle qu'il s'est enfoncé à nouveau dans sa gorge.

_Ta petite bouche remplie par ma bite. murmure-t-il au-dessus d'elle en poussant à nouveau.

_ Ahhhh....... putain... Ses mots se sont évanouis en un gémissement.

L'instant d'après, il a retiré sa bite et l'a hissé sur ses pieds.

"Ai-je fait quelque chose de mal ?"

S'est-elle demandée en voyant l'expression ténébreuse qu'il arborait.

Enfin Divorcée Où les histoires vivent. Découvrez maintenant