Une Illusion Ou Une Vérité

Chapitre 4

Warning:

fléchette tranquillisante, insulte

PDV: Aurora

       Cela faisait depuis déjà une vingtaine de minutes que j'attendais le médecin promis de la part de Irina après notre deal. Je commençais légèrement à perdre patience. Si elle ne respecte pas notre accord alors je me vengerai et de la meilleure des manières. Je prendrai en captivité tous ses proches et je les tuerai jusqu'au dernier devant elle, en attendant qu'elle me supplie de m'arrêter. J'étais en pleine extase rien qu'en y pensant.

        J'entendis enfin le bruit de la porte qui s'ouvrit sur Irina. Celle-ci entra en compagnie d'un vieil homme habillé d'une blouse blanche:

«Tu viens ma voleuse, je vais te montrer tes appartements.

—Tu vois bien que je ne peux pas vraiment me lever.

—Ah oui c'est vrai excuse moi.»

Elle vint à mes côtés et en cherchant à détaché elle vit qu'ils étaient déjà dénouer:

«Cette fois-ci c'est à moi de m'excuser, je m'ennuyais toute seule pendant plus de vingt minutes.»

Je me levais de ma chaise en m'appuyant sur Irina et détendis  tous mes membres un à un:

«Ne m'en veut pas mais j'ai légèrement les membres engourdis.

—Je t'en pris ma chère après tous, cela me rappelle notre magnifique séance de sport.»

       Après cette réplique, nous sortions de cette salle et ma reine me conduisit dans la villa où s'était passé la précédente réception qui à ce que je vis s'était terminée depuis déjà un long moment. Je ne l'avais pas vu mais en entrant il y avait des tableaux en tous genres, des paysages, des animaux, mais surtout des coquelicots recouverts de sang ou alors enflammé :

«Tu as des tableaux bien étonnant sur tes murs, mais ils sont tout de même magnifique, qui les a peint?

—Je t'en remercie, c'est moi la peintre qui ai créé ces chefs-d'œuvre.»

       Après notre contemplation nous commençâmes à monter des escaliers en colimaçon, celle-ci étant devant moi, je décidai d'entamer un petite conversation:

«Je ne sais pas si tu es au courant mais depuis tout a l'heure j'ai une magnifique vue sur ton fessier. »

Je la vis s'arrêter quelques secondes pour par la suite se retourner en ma direction :

«Tu n'est pas mal non plus, elle me fis un clin d'œil. Tu crois que je n'ai pas profité de la vu quand je te torturait ?»

           Elle se remit en place et mes joues se mirent à chauffer. Je l'aime bien celle-là, c'est la première à me résister si longtemps, je me mis à jubiler, et opérait un demi-tour sur moi-même pour regarder derrière moi à la recherche du médecin, mais celui-ci avait mystérieusement disparu.

«Je ne sais pas si vous avez remarqué mais le médecin s'est volatilisé.

—Oui je suis au courant, je l'ai congédié. Je m'occuperai de tes délicieuses blessures moi-même, elle se passa la langue sur sa lèvre inférieure et continua, j'aime bien quand tu me vouvoie.

          On se remit en route et montions de magnifiques escaliers en colimaçon, pour nous rendre au 1er étage qui je suppose être le niveau des appartements privés. Nous marchions jusqu'à la fin du couloir, et ma geôlière ouvrit la porte, me montrant la vision d'une chambre spacieuse qui possède des meubles uniquement peint en noirs ou alors en bleu indigo la couleur de ses yeux. Cette pièce avait comme seule point de lumière celle du soleil levant s'introduisant par les grandes baies vitrées. Au fond de la chambre j'aperçus une porte qui je présume mène dans un dressing ou une salle de bain. Je m'avançais lentement dans la pièce en essayant de trouver différents repères.