Une Illusion Ou Une Vérité

Chapitre 9

Warning

Drogue, alcool, pistolet, insulte, violence, stalkage, obsession

PDV: Kassian

             Je crois que nous avons un peu énerver ma cousine. C'est vrai que si nous on a refusé ce ne sera pas forcément le cas d'autre personne faisant partie de cette mafia. On ne voulait pas l'inquiéter, on l'a fait d'un bon sentiment, on avait vu qu'elle croulait sous le travail, on avait donc décider de s'en occuper nous-même, on a vérifié pendant un mois suivant ce courrier le comportement, les activités et messages de tous nos soldats, on en a bavé ce mois-là mais c'était nécessaire. 

           Personnellement je m'en veux un peu, je pense lui envoyer un message pour lui expliquer ce qu'on a fait, qu'elle ne refasse pas tous le travail inutilement. Je ne sais pas si les gars sont d'accord avec ma façon de penser,  même si je suis persuadé que Gleb est triste et énervé contre lui-même, il n'aime pas irriter Irina, en revanche je suis sur de moi quand je dis que Lev ne comprendra même pas pourquoi elle énervée. Lev et Gleb ne se ressemble pas du tout, même s'ils sont frères, ils ont une façon de penser complétement différente.

           L'un est très protecteur, un peu comme un gros nounours, tandis que l'autre est un gros conard, certes il a vécu beaucoup de chose compliquée, mais ça ne justifie pas toute ses actions et son état d'esprit, mais heureusement il se soucie de ses proches, moi, son frère, Hadriel, et Irina. 

            Après s'être fait jeter du bureau de ma cousine moi, et les gars on est partie dans le salon, tandis que l'italienne sexy et suicidaire est parti autre part. Je ne m'attendais pas à ce qu'elle ose lui répondre, mais ce qui m'a le plus étonné c'est que Irina n'a pas essayé de la tuer, nous si on lui aurait parler on serait déjà à l'hôpital. On est donc tous les quatre en un seul morceau dans le salon, moi en train de boire un verre de rhum, Lev qui monte et démonte son arme à feu, c'est sa passion, et Hadriel est assis sur les genoux de Gleb, ils n'arrêtent pas de flirter ensemble les deux. 

            Je crois que je suis chez les fous. Je comprends mieux l'exaspération de ma cousine quand on était dans son bureau. On est censé être ses soldats les plus efficaces mais pourtant on offre ce spectacle, heureusement que les autres soldats ne sont pas là, sinon elle nous aurait déjà jeter au bucher pour cette humiliation.  

                Alors que j'étais dans mes pensées, j'entendis du bruit à ma droite, à l'entré du salon, et en tournant la tête je vis l'italienne en tenue de sport, celle qu'elle avait tout à l'heure dans le bureau de Irina, je me demande ce qu'elle est partie faire si c'est pour au final venir nous rejoindre, surtout comment elle a fait pour nous retrouver si facilement. J'allais lui poser toutes ces questions quand elle croisa mon regard mais avant que je n'en ai eu le temps elle partit s'assoir sur un des siège de libre et celle-ci vola mon verre rempli d'alcool qui était poser sur la table basse, et le vida d'un trait. Lorsque cette fois-ci je pensais pouvoir démarrer la conversation, elle me coupa et commença à parler:

« Dites moi tous ce que vous savez sur Roberto Juan, ce n'est pas parce que votre chef est de mauvaise humeur que l'on ne peut pas continuer les recherches, surtout de ce que j'ai cru entendre vous connaissez deux trois trucs sur ce gros con.»

          En l'entendant parler tous ont arrêter de bouger, Lev laissa son flingue en paix et Hadriel et Gleb ont cessé de fricoter, tout ceux présents dans cette pièce s'étaient retourné en sa direction, pour être sur d'avoir bien entendu. Le passionné de flingue et le blond se mirent à rire, et avec étonnement le partenaire du blond ricana, lui qui est si peu expressif. Je ne m'attendais pas à cette réaction, j'ai l'impression qu'ils ont entendu une vanne que je n'aurai pas comprise. Sans que je n'ai le temps de comprendre Lev se mit à parler, je suis long à la détente aujourd'hui putain: