C'est vraiment arrivé ? ce moment magique je ne l'ai pas rêvé ? En même temps je ne suis pas le genre de fille à rêver du grand amour, mais voilà que les étoiles m'ont fait le cadeau de m'envoyer mon âme-sœur, je le sais maintenant car ce moment avec Sig était le plus doux, le plus tendre et le plus fantastique de toute ma vie. Et quand je me réveille entre ses bras dans la nuit, je constate qu'effectivement, ce n'était pas un rêve... Je me tourne vers lui, passe ma main sur son visage, en caresse le contour, puis j'embrasse sa belle bouche, puis chacun de ses yeux endormis, puis sa joue qui n'est pas sur l'oreiller, et son petit nez légèrement retroussé, et... Je me suis fait gauler par deux grands yeux verts grands ouverts...
- Continue, j'adore !
- Non, c'est moins drôle si tu me regarde...
- Tu te sens bien ?
- Plus que bien mon amour...
Putain, de nouveau je sens cette chaleur brûler au creux de mon ventre... Je ne me lasserais jamais de mon homme ? Pendant que je l'embrasse dans le cou, je respire son odeur de burger... Ses mains viennent attraper mes fesses et je crois qu'on est sur la même longueur d'onde quand je sens son érection contre mon ventre. Je ne réfléchis pas plus et je grimpe à califourchon sur lui, mais il paraît inquiet :
- Chérie, attends, tu es prête ?
- Prête ? euh oui ?
Il glisse une main entre mes cuisses et caresse ma féminité, ah prête dans ce sens-là ? oups...
- T'es trempée ma chérie...
- Parce que j'ai une envie folle de mon homme...
Alors il me laisse faire, se rallongeant sur son oreiller et me laissant profiter de son corps. Comme si elle connaissait le chemin par cœur, sa virilité se glisse d'elle-même en moi, me coupant le souffle de plaisir. Mais Sig, toujours aux petits soins se redresse :
- Ça va ma chérie ?
- Sig, mon amour, je suis pas en sucre même si je sens le cookie. Ok tu es très... grand et gros mais ça va... eh je suis une guerrière ! rappelle-toi !
- Oh oui, et une bien jolie guerrière ma chérie.
Toujours assis, moi à califourchon sur lui, il dévore mes seins pendant que je monte et descend sur lui. Ma tête me tourne tellement c'est bon, je me sens tellement bien, c'est un sentiment de liberté, comme si je pouvais voler. Puis d'un coup, arrivant presque à l'explosion, d'un coup je me sens forte et sauvage, mon âme grogne de plaisir sous ma peau, mon corps gronde et d'un coup, mes crocs sortent et marquent Sig dans son cou.
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Quand je pense qu'il va s'énerver, il sort également ses crocs et me marque également... Ensemble on explose de plaisir dans un chœur de grognements sauvages et bruyants... Puis redescendant sur terre, je reste cachée dans le cou ensanglanté de Sig. Il tire doucement sur mes cheveux pour m'obliger à le regarder et sans bouger ses lèvres, j'entends :
