Les larmes que je vois dans ses yeux me font autant de peine qu’elles ravissent mon cœur, ma louve solitaire veut finalement des enfants… Pas maintenant mais elle en veut un jour alors je m’empresse de la rassurer :
- Non c’est temporaire chérie ! tant que je prends deux gouttes par jour. Quand j’arrêterais je serais de nouveau fertile.
Putain le soulagement qu’elle pousse dans un soupir est le plus beau son que j’ai entendu, juste après ses gémissements d’extases…
- Mais je comprends pas pourquoi ?
- Comme ça plus de prise de bec quand on fait un câlin… Mais tu vois que finalement au fond de toi tu veux des enfants un jour.
- Je n’en avais même pas conscience. Je pense que perdre quelque chose nous permet de nous rendre compte qu’on le voulait vraiment… Mais ça ne va pas…
- Oui ?
- Enfin je veux dire…
- Je t’écoute ?
J’entends ses pensées :
« Il n’y a pas d’incidence sur ta virilité ? sur ta libido ? »
- Tu n’as qu’à vérifier ma chérie…
Le regard langoureux que je lui lance l’invite à faire toutes sortes d’expériences concernant ma virilité, et le petit sourire coquin qu’elle affiche m’indique qu’elle va prendre ces vérifications avec beaucoup de sérieux. On commence à se chauffer sur le canapé, on se déshabille mutuellement et la température monte très vite. Rien à voir avec le feu de cheminée, c’est plutôt ma chérie qui me met le feu partout avec ses baisers. Une fois nue et à califourchon sur moi, elle m’embrasse langoureusement, puis descend dans mon cou, elle sait que ça me rend dingue. Elle en profite pour lécher la marque qu’elle m’a faite et je le ressens jusqu’en bas de ma colonne vertébrale. Puis dans un mouvement fluide, elle glisse de mes jambes pour se retrouver à genoux entre mes cuisses, embrassant et léchant mes abdos. Putain, elle me fait perdre pied. Soupirant de bien-être je pose ma nuque sur le dossier du canapé, mais je la relève d’un coup quand je sens ma délicieuse femme me prendre en bouche ! Alors ça putain, je ne m’y attendais pas, ma petite Maxine est bien hardie ce soir… Je m’agrippe à ses doux cheveux d’ébène, pendant qu’elle me prodigue la plus délicieuse des caresses buccales. Elle s’applique, me lèche et m’aspire avec gourmandise. Sentant les prémices de l’orgasme dans mes reins, je la relève et la reprend sur mes genoux, me glissant doucement dans son fourreau bouillant et trempé… Notre câlin ne durera pas longtemps grâce à ces merveilleux préliminaires, alors je passe une main entre nous pour caresser son petit bourgeon gonflé, et ma chérie explose entre mes bras, me faisant exploser en même temps.
- Putain qu’est-ce que je t’aime ma chérie…
- Je t’aime aussi mon cœur…
Je nous relève et la porte jusqu’à notre lit.
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La Fille de l'Alpha
WerewolfMaxine a grandit, elle évolue au sein de la garde de l'Alpha en tant qu'officier. Elle fait la fierté de son père et de son oncle le Zêta.