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Dans le silence de la nuit,
Je suis en proie à l'insomnie,
Les heures passent sans bruit,
Et je sombre dans la mélancolie.

Je me sens seule et abandonnée,
Dans cet instant de vide absolu,
La nuit est mon ennemie,
Et le sommeil ne vient jamais.

Le vent chante une mélodie lugubre,
Comme s'il avait capté ma tristesse,
Les feuilles des arbres frissonnent,
Et je me sens comme elles, sans cesse.

Les étoiles dans le ciel noir,
Sont les témoins de ma douleur,
Chacune a sa propre histoire,
Mais elles semblent toutes avoir peur.

La Lune est là elle aussi,
Elle brille dans la nuit,
Et elle a tout vu de ma vie,
Elle est témoin de mes peurs et mes cris.

Je suis seule avec mes pensées,
Et je me noie dans mes émotions,
Je suis impuissante face à mes soucis,
Et je me sens perdue dans cette obscurité profonde.

Le silence dans le vent me bouleverse,
Comme si chaque mouvement me disait quelque chose,
Je suis lasse de cette douleur qui me traverse,
Et j'aimerais pouvoir faire une pause.

Mes cauchemars sont mes compagnons,
Ils hantent mes nuits sans fin,
Ils m'emportent dans leur tourbillon,
Et je n'arrive pas à m'en sortir en vain.

La nuit est un paysage sombre,
Où les ombres dansent leur ballet,
Et je suis prisonnière dans cette chambre,
Sans pouvoir m'échapper.

Je suis épuisée de lutte,
Contre cette impuissance qui me tue,
Je voudrais trouver une issue,
Mais hélas, je suis toujours abattue.

Le vide en moi grandit chaque nuit,
Et je ne sais plus qui je suis,
Je me sens comme une corde tendue,
Qui risque de se briser à tout moment.

Mes larmes coulent en silence,
Et j'ai mal de cette souffrance,
Je suis en quête de sérénité,
Mais je suis face à une éternelle obscurité.

Les mots me manquent pour exprimer,
Tout ce que je ressens à cet instant,
Je suis fatiguée d'essayer,
Je n'ai plus la force de me battre autant.

Les heures passent sans bruit,
Et je suis toujours là, enfermée,
Sans pouvoir m'échapper de cette nuit,
Où je suis prisonnière, abandonnée.

Le silence dans la pièce est assourdissant,
Comme si la nuit m'enveloppait d'un voile,
Je me sens craintive et tremblante,
Comme si chaque bruit était une épreuve à la fois.

Je suis lasse de cette solitude,
Qui m'enveloppe chaque nuit avec constance,
Je voudrais trouver la plénitude,
Mais je suis face à cette absence.

Les heures s'écoulent lentement,
Et je suis toujours là, sans sommeil,
Je me sens comme dans un tourment,
Où je suis condamnée à souffrir sans pareil.

Je voudrais dormir un peu,
M'abandonner à mes rêves,
Mais je suis prisonnière de mes peurs,
Et je ne peux plus trouver de trêve.

Les ombres s'étirent sur les murs,
Et je suis fascinée par leur danse,
Je me sens comme une écorchure,
Qui saigne de toute sa souffrance.

Je voudrais chasser cette douleur,
Qui m'étreint chaque nuit de plus en plus fort,
Mais je suis face à un mur,
Où je suis condamnée à tort.

Je suis ici, dans l'obscurité,
À la recherche d'un peu de paix,
Mais je suis seule avec mes pensées,
Et je n'arrive pas à m'en sortir à tout jamais.

Je suis en quête de bonheur,
Mais chaque nuit est un combat,
Où je suis face à une peur,
Qui me tire vers le bas.

J'aimerais me libérer de cette torture,
Qui me poursuit nuit après nuit,
Je voudrais quitter cette désuétude,
Et partir loin de cette nuit interminable sans répit.

Je suis épuisée de souffrir,
Et de vivre dans cette solitude sans fin,
Je voudrais m'évader pour renaître,
Et trouver la paix dans un lendemain sain.

Mais pour l'instant, je suis là,
Dans cette chambre silencieuse,
À chercher le sommeil sans relâche,
Et à subir cette douleur ténébreuse.

•Prise De Note•Où les histoires vivent. Découvrez maintenant