Des chaînes rouillées accrochées à un viel arbre mort.
Le poison cours dans mes veines.
La corde se tend sur mon cou lâche.
Un doux frisson parcours ma cage.
J'observe tourner le disque du ciel jouant merveilleusement cette horrible musique sur un ton carmin.
Mes doigts se serrent autour d'une larme bien trop aiguisée.
Ma peu se recouvre d'un doux liquide sucré qui rougit mes yeux, noircit mon âme, empli mon cœur.
Je le sens parcourir chaque cellule de mon corps, la douleur qui en découle est plus élevée que nulle autre, mais ce poison me drogue, coupe mes sensation, coupe mon espritR. C.