Magic bunny [RÉECRITURE EN COUR]

XI

Pourquoi tu m'appelle à chaque fois que t'es défoncé ..? Parce que l'alcool nous ramène toujours à la source du problème connard-.

__________ Jeudi 18 septembre, 19h30.

♪──── Évangéline Feltcroft ────♪

— Tu dit n'avoir rien trouvé ? Conrad, rassure moi ta quand même réussi à me dénicher une entrevue avec lui, je t'en supplie ... Dis-je en rassemblant des morceaux de papier pour les mettre sur mon tableau d'enquête.

Depuis les événements de la semaine dernière, je n'avait pas dormit que très peu la nuit, repassant en boucle l'incarcération de Archibalte, j'ai du prévenir son meilleur ami qui m'a directement interrogé sur comment je le savait, Conrad est venue me chercher avec sa vielle Mercedes des années 80, héritage de feue son père, il étais tous comme moi bouleversé par les événements. Certes moi est Archibalte ne somme pas très proche, mais le noiraud m'avait supplier pour que je l'aide, et aux fond de moi ma petite voix me disait d'aidé ce foutu Arlequin — je pense être schizo sur les bords —.

Évidemment j'ai du expliquer les grande lignes à Conrad, ne mentionnant pas mon « aventure » avec Archibalte et lui expliquant simplement qu'il était mon professeur et que nous ne voulions pas crée de malaise l'autrefois. Compréhensif, Conrad m'a tous de suite soutenu est ma remercier de l'aider à éclaircir la situation totalement improbable qui était entrain de ce passer.

Je soupire en me massant les tempes alors que j'étais entrain de retracer le « quotidien » du blondinet, grâce à Conrad j'ai réussi à retracer une bonne partie de s'est habitudes, ses connaissances, sont emploie du temps après c'est « travailles ».

— Évangéline Éther Feltcroft. Fit Conrad me sortant de ma réflexion, il soupire et me secoue doucement les épaules pour que je me ressaisisse. Vivi, tu dois te calmer, je t'es demandée de l'aide. Mais te voir te bousiller les neurones ça me fout encore plus en rogne, repose toi, je vais tenter d'appeler quelqu'uns de mes anciens contacts au sein de la criminelle, je vais faire tous ce que je peu pour le sortir de la Vivi, mais toi. Tu dois te reposer ... Appelle Britney où Clay .. Arrête de te prendre la tête avec cette histoire ... Je te recontacterai quand j'aurai du nouveau, d'accord .. ? Me dit mon ami dans un soupire d'inquiétude, je le comprend, mais je ne peu pas m'imaginer continuer ainsi alors que je sais que je vais trouver quelque chose, il le faut.

—    D'accord, je vais faire ça. Je vais rentrée à pied cela vaudrait mieux, ont ce dit demain après-midi ? Mes cours sont suspendus le temps que la directrice trouve un remplaçant pour .. Archibalte.

—    Oui, appelle moi quand tu est bien arrivé, repose toi Vivi, et ne t'en fait pas pour Archi. C'est un dure.

—    Je n'en doute pas, à demain Conrad ... Dis-je après m'être diriger vers la porte d'entrée.

Je lance un dernier regard à Conrad est ce dernier me gratifie d'un jolie sourire amical, je soupire et enfile ma veste noirâtre ainsi que la capuche de mon sweat-shirt couleur crème où était brodée sur la poitrine le mot « off », un léger rictus prend part sur mes lèvres gercées tandis que je m'aventure seule contre le monde dans les rues de ce vieux Londres.

Mes pensées affluent à foison alors que la journée prend à peine fin, j'essaye de resté de marbre face à la situation, pourtant mon cœur n'a de cesse de ce serrée lorsque je repense aux derniers mots que Archibalte ma dit avant d'être emmené par les force de l'ordre.