Magic bunny [RÉECRITURE EN COUR]

XX

Aix momento, béni Aeternitas... Puisse le sort, leurs être favorable ...

________________ Vendredi 26 septembre, 20h53.

♪─── Archibalte Handerson ────♪

Camdem.

—  Merde mon téléphone j'ai presque plus de batterie .. Il m'a dit de tourner vers la rues de Amy Winehouse et après .. Putain il pouvait pas être plus clair ce connard ! Maugrée-je en m'aventurant parmi la foule de gens qui s'agglutinaient autour de moi.

Camdem était avant tous un quartier qui ne prenait vie qu'en début de soirée, je recherche le fameux « Valet de pique » du regard, il m'a donner rendez-vous non loin de l'avenue principal mais il fallait pouvoir y accéder...

Tous c'est gens m'étouffe, j'ai l'impression que le monde tourne autour de moi, je chancelle mais reprend mes esprits rapidement, à force ont vas finir par croire que je suis ivre si je n'arrive pas à me tenir correctement. Même si bon, ce ne serait pas inhabituel de voir une personne en état d'ébriété ici ... Je suis à Camdem après tous.

Évangéline .. Je t'en supplie ma bunny peu importe ce qu'il t'est arrivé .. Pitié attend moi .. J'arrive. Ai-je pensée le cœur lourd.

Je sent mes jambes se contracter sous mon poids. J'ai courut t'elle un diable pour arriver jusqu'ici alors mon corps semble avoir atteint sa limite, mais je ne dois pas m'arrêter là, Vivi a besoin de moi ..

Je sillonne les croisades et les tournant de rues pour finalement arriver au fameux point de rendez-vous, un homme mis attend, habillé d'un long manteau noir et d'une veste d'un sweat-shirt, mon sang bouillit dans mes veines et je lutte de toute mes forces pour ne pas lui sauter au visage et le tabassé, j'avoue que cela me ferait un bien fou.

— L'Arlequin, ravi de pouvoir vous rencontrer en chair est en os. Lance l'inconnu avec élégance.

— Abrège ou je t'abrège lupin de la plèbe. Où est-elle. Fit-je d'un ton froid et calme, luttant contre mes démons qui n'ont qu'une envie, le tuer.

D'un signe de la tête, l'homme qui ne pouvait qu'être le « valet de pique » me fait comprendre que ce n'est pas le lui adéquat pour en parler. Il m'entraîne dans une autres ruelles parsemé de graffitis en tous genre, d'ont un qui m'a fasciner, il était peint avec des feuilles d'or ... Nous tournons de nouveau pour une nouvelle ruelle mais avec un curieux décor, la faune sauvage semble avoir repris c'est droit car les immense mur de feuillages me confirme que personne ne viens jamais ici.

J'ai un mauvais pressentiment mais je me dois de rester calme et sur mes gardes pour le bien de Évangéline, ma seule crainte serait qu'elle sois grièvement blessé ou pire ...

— Où me conduisez vous ? Je n'est le droit qu'aux silence, ma patience a c'est limite alors je rattrape l'homme et lui serre l'épaule entre mes doigts. Répondez. Maintenant.

— Ôtez vôtre main de ma veste, je vous emmène la où je les laisser cela vous vas ? Répond l'homme avec empressement avant que nous n'arrivions face à une porte en bois. Laissez moi parlez. Dit-il avant de toquer trois coups vif et un coup lent avec son pied droit.