Magic bunny [RÉECRITURE EN COUR]

XXIV

Les vrais amis ne se jugent pas entre eux, ils jugent les autres, ensemble.

_________________ Samedi 27 septembre, 15h23.

♪─── Évangéline Feltcroft ────♪

Quel sensation enivrante ... Ses lèvres ont un goût de menthe est de café ... Ai-je remarqué tandis que nos lèvres se mouvaient l'une contre l'autre.

Je ne pourrait décrire exactement le ressenti que j'ai en ce moment même, la douceur de s'est lèvres, la chaleur de s'est mains sur le bas de mon dos, la sensation de s'est bras me serrant dans une étreinte passionnelle est intime. Archibalte étais un homme si gentil en réalité mais que la vie a obscurci et comprimé avec acharnement.

Cette réalité ne me faisait que l'aimée plus encore, tombée amoureuse en aussi peu de temps pourrez paraître fou, d'ailleurs cela l'étais, mais bizarrement, même si tous est rapide, cela ne me dérange pas car notre évolution vas avec notre rythme de vie, c'est à dire frénétique est chaotique malheureusement ...

La prise d'Archibalte sur ma personne ne fait que ce resserrer au file du baiser, nos lèvres non de cesse de ce dévorer l'une est l'autre s avec une ardeur et une passion presque suppliante, nous avions besoin de cela, de nous retrouver ...

Par manque d'oxygène, je me détache timidement du beau blond, le souffle saccadé et mon visage rougit par le feu ardent d'un doux désir naissant.

— T'es lèvres m'ont manqué .. Dit-il dans le même état que moi, Archibalte embrasse de nouveau mes lèvres de manière plus pudique. Tu as un goût de vanille bunny ...

— Et toi de menthe est de café .. Ai-je répondue faiblement avec un rictus admiratif. Tu est tous rouge ...

— Parle pour toi Bunny .. Me répond le blond en enfouissant son visage dans mon cou, embrassant la peau de se dernier avec amour. Je t'aime Évangéline ...

Aww il est adorable .. Songeai-je avec un grand sourire tous en restant dans cette position, câlinant Archibalte avec douceur.

Le temps semble passer avec une lenteur surdimensionner, nous sommes restés ainsi moi est Archibalte, attendant le retour de nos compagnons d'infortune, il étais désormais 21h.

Tsaritsa nous à allumer les lumières des guirlandes, plongeant la serre dans une atmosphère romantique digne d'un des nombreux roman d'amour que j'ai pu lire, notre position actuelle était confortable, moi lover dans les bras de Archibalte tandis que celui-ci caresser mon dos et mes cheveux d'un air rêveur.

La chaleur de nos corps respectifs nous suffisait, du moins, c'est ce que je croyait. Le maigre plaide qui entourait mon corp ne semble plus me donner le réconfort qu'il fallait car un léger éternuement m'échappe, inquiet par cela, Archibalte me serre d'avantage contre sa poitrine et frotte mon dos d'un geste vif en espérant me réchauffer.

— Merci c'est gentil ... Ai-je marmonner alors que le blondinet embrasse mon front a mainte reprise, je ricane et lui lance avec sarcasme. Tu n'as pas peur de te lasser à force de m'embrasser de partout ?