Magic bunny [RÉECRITURE EN COUR]

XVII

À tous les fumeurs qui lirons ce petit message, allez vous empoisonnez ailleurs que devant ma gueule, cordialement.

__________________Lundi 22 septembre, 8h15.

♪─── Archibalte Handerson ────♪

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C'est quoi ton nom ? ...

Évangéline Feltcroft, est toi bel Arlequin ? ..

Archibalte Handerson ..

Tu crois au coup de foudre Archibalte ?

Je ne sais pas, peut-être, et toi Évangéline .. Tu crois au coup de foudre ? Dis-je en me mettant au dessus d'elle.

Avant non, mais maintenant que je suis là avec toi oui ... Dit-elle avant d'embrassée mes lèvres avec une douceur angélique.

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Je me réveille en sursautent légèrement, un grognement de mécontentement échappas à mes lèvres tandis que je regarde brièvement l'heure sur mon horloge murale voyant qu'il était relativement tôt, je décide de ne pas me lever pour le moment, sentant encore la présence de ma douce est tendre brune contre mon torse, je décide de profité de l'instant pour continué à la câliné.

On dirai une peluche .. Toute petite est douce .. Ma bunny .. Cette pensée fait fondre mon cœur et j'enfouie mon visage dans sa longue chevelure brunâtre, elle sent mon parfum, mon odeur ... La menthe lui vas si bien, même si je préfère sa senteur vanille habituelle.

—  Mhm .. Ronchonne ma bunny avant de gigotée de gauche à droite pour tentée de trouvait une position plus confortable.

— Ont a du mal à ce réveillée .. Bunny ? Ai-je susurré-je au creux de son oreille, une moue des plus adorable ce forme sur son visage tandis je la vois entrouvrir les yeux. Bonjour toi ...

—  Encore cinq minutes ... A-t-elle demandée, je ricane gentiment et lui caresse affectueusement les cheveux. Mmh ...

—  Est-ce qu'un petit déjeuner au lit te ferait plaisir ? Je vois Vivi acquiescé vivement à ma proposition, je m'écarte pour rompre notre étreinte à contre cœur et me relève. Je reviens, repose toi en attendant ...

Évangéline se roule en boule sur le lit, son visage enfouie dans l'oreiller ou je reposé précédemment, un sourire aux lèvres je quitte ma chambre pour me diriger vers mon réfrigérateur et constater que ... Je n'avait pas grand chose.

— Merde, j'ai rien ... Ah la boulangerie peut-être. Je regarde l'heure, il est 8h28, ça devrait le faire.

Je retourne dans la chambre pour prendre mon portable et mon porte monnaie, puis voyant Évangéline me dévisager de manière curieuse je ricane, m'asseyant sur le rebord du lit, je vois ma jolie brune se redressée pour me parler avec sa petite voix éraillé.