KALISTEN I et II [TERMINEE]

04 - L'amour

                                        Lara

TW: Certaines scènes à caractère sexuel ou violentes peuvent heurter la sensibilité de certains. Je vous demande donc d'en prendre considération avant de commencer votre lecture.
(suicides, viols, drogues, violences,sang)

Le soleil tapait sur mon visage. J'ouvre difficilement les yeux mais Kal n'était plus là. J'entendais du bruit dans le salon, il était au téléphone. Je me lève du lit et je m'approche tout doucement du salon. Kaki était posée juste à côté du mercenaire.

— Non mais tu devrais te reposer Naika, on fêtera mon anniversaire un autre jour et puis même je n'ai pas la tête à faire la fête

C'était son anniversaire aujourd'hui ?

— Non mais arrête de me le souhaiter en avance, sa porte malheur, tu me le souhaitera demain.. oui tu devrais venir.. je pense que ça lui ferait du bien de parler avec toi.. vous avez vécue les mêmes traumatismes donc .. oui à demain.

Il raccroche puis il se tourne vers moi.

— Tu as bien dormis princesse ?

Je m'approche tout doucement de Kaki et de Kal.

— Mhh mais j'ai un peu froid

J'étais en culotte et t-shirt dans le salon, c'est normal que j'avais froid aussi.
Il me lance un sourire et il retire son pull puis il me le donne.

— Mets-le tu auras plus chaud avec.

Je prends son pull et je l'enfile. Il me fait un petit signe de venir sur ses genoux et comme à notre habitude je m'installe sur ses genoux et je me retourne vers lui.

— Demain c'est ton anniversaire ?

Il se met à rire puis il reprend son sérieux.

— N'y pense même pas Madame Länder, je n'aime pas les fêtes, je n'aime pas les cadeaux ni même les gâteaux.

Je le regarde puis je me mets à rire. Je ne pouvais plus voir l'action faire des gâteaux normalement, pas depuis qu'Eden a fait croire à Kiki que baiser voulait dire faire de gâteaux. C'était tellement hilarant que je ne m'arrêtais pas de rire sur les genoux de Kalisten mais il ne comprenait rien, il se contentait de me fixer et de sourire. J'adorais son sourire.

— Non mais c'est que depuis qu'Eden a fait croire à Kiki que baiser voulait dire faire des gâteaux je ne peux pas m'empêcher de penser à ça.

Il se met à rire puis il m'approche encore plus de lui. On ne riait plus, on se fixait, non, on se dévorait des yeux.

— Finalement je veux bien un gâteau Madame Länder

Il plaque ses lèvres sur les miennes puis il entoure ma taille de ses bras. Je pose mes mains sur son torse et je lui rends se baisers.

— Tu veux bien Madame Länder ?

J'hoche positivement la tête.

Je pouvais sentir son sexe se durcir contre moi, je mets mes bras autour de son cou tout en rendant ses baisers puis j'entreprends de faire des vas et viens avec mon bassin. J'aimais le provoquer, j'aimais lui faire perdre ses moyens et surtout j'aimais quand nos corps se désiraient de cette façon.

Il saisit mes hanches encore plus fort et je continuais à faire des vas et viens. Il retire mon pull et mon t-shirt très rapidement puis il dépose des baisers sur mon ventre et tout autour de mes seins. Il aimait voir chacune de mes réactions lorsque sa langue venait toucher timidement mes seins. Je retire son t-shirt à mon tour en lui déposant des baisers tout au long de son cou.
Il me porte jusqu'au plan de travail puis il me pose sur celui-ci.