Ma thérapie 2/8

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L'ambiance était propice au célébration, et le soju étais le plus bon que je n'avais jamais goûté. J'avais les papilles en feu et les yeux si pétillants que je ne pouvais compter le nombre de verre que je m'étais servi et refais servir par des fans.

La seule chose que je savais c'étais que quand je tendais mon verre au serveur il le remplissais à flot automatiquement. C'étais tellement satisfaisant, c'étais tellement bon, ma gorge en brulait de satisfaction !

Ça me faisais sentir bien, bien et heureux, mais se n'étais pas le plus incroyable c'étais surtout que je ressente enfin quelque chose en se moment même ! « Quelque chose » Ça faisais vraiment longtemps que je n'avais pas pu dire cette phrase. Sentir quelque chose était tant incroyable pour moi autant que pour quelqu'un d'autre cela pouvait être normal.

L'alcool et la bonne compagnie me faisait vivre ! Elle rallumait une étincelle en moi, quelque chose que j'avais perdu depuis bien longtemps. Tellement longtemps qu'il faudrait que je relève ce point au rapport médical de l'année prochaine.

Mais bon pour l'instant il n'y avait pas que ça qu'il avait a relevé. Mais ma libido extrême de gouter à la liberté et à la délivrance. Et surtout, de toucher au filles. Quelque chose que je n'avais pas pu me permettre depuis un bout de temps, depuis trop longtemps même.

Alors, c'était peut-être l'effet de l'alcool ou simplement parce que ma vue tanguait de haut en bas. Mais je m'étais levé de mon siège bien rapidement et j'avais quitté la table de mon groupe, pour me retrouver sur la piste de danse enflammé de jeunes japonais et japonaises qui faisaient la fête. Entouré ainsi de gens saoul j'y étais dans mon élément et totalement ivre de joie en cette fin de soirée tardive.

Les femmes virevoltées autour de moi et dans mes bras. Je ne pouvais compter combien de baisers j'avais donné, et ma langue fatiguais à force de danser dans la bouche de mes charmantes prétendantes. Mais malgré tout, ma vue continuer de bouger et trembler délibérément et les femmes elles continuaient de s'enchaînées sans que je remarque vraiment leurs visages. De toute façon j'étais tellement saoul que je n'étais plus en état de reconnaître personnes parmi tous ses visages flous.

Tout était flou et tout bourdonner et vibré autour de moi sans produire un son clair.

Tout sauf quand je tournas la tête et que je vis cette femme aux cheveux court ondulé noir, aux yeux en amande, aux longs cils, aux lèvres si attirantes.. Si pulpeuses mais petites à la fois. Son visage. Son regard. Il n'y avait pas de mot face à l'émotion que je ressentais quand ses yeux croisés enfin les miens .Elle avais deux de ses gourmandes tâches de naissances sur les coins de son oeil et de sa bouche.

Elle avait un visage si ordinaire. Mais si magnifique et extraordinaire à la fois. Son charme au naturel et banal à la fois avait envoûté ma tête et mes yeux.

Tout pourtant était encore flou autour de moi sauf l'idée de garder cette femme pour moi seul, hors de cette foule bouillante d'ivres en chaleur. Cette idée, cette pensée, ce désir vibrais en moi. Maintenant dans chaque vibration de mes veines et dans les moindres particules de sang alcoolisés qui circulait en moi.

Je la voulait. Et je l'aurais.

C'était la seule pensée qui avait traversé, et avait resté imprégnée dans mon esprit embrumé et illogique. Je n'entendais plus ma propre conscience, seule une phrase résonnée et se répéter.

Je dû bien vite repousser tout le monde, car mes mains et mon entourage qui étais plein était maintenant vide en à peine quelques secondes, comme si ma tête et mon et mon corps ne faisait plus qu'un et qu'ils me disaient d'y allais, de courtiser cette femme si attirante.

Je finis bien vite par me rendre proche de la jeune dame assez proche pour l'aborder.

Elle, dans toute sa splendeur était entourée de garçons, trois, mais ça devait être ces amis. Malgré le fait que c'était des hommes elle faisait presque entièrement leurs tailles.

Elle dépassait le garçon à sa droite, au vêtement d'un blanc pur avec une queue de cheval dépeint en un blond médiocre probablement faite dans un salon de coiffure bas de gamme ou fais maison, il souriait exagérément et semblai avoir oublié qu'il dansait entouré de gens, car il piller sur les pieds de certains mécontents.

L'homme derrière elle, avait probablement la trentaine enfin si ce n'étais pas le cas il devait avoir besoin de plusieurs nuits de sommeils vu les cernes qu'il trainait et les rides d'insomnies qui s'étaient creusé dans sa peau. Malgré tout, il faisait respirer la jeunesse avec ses longs cheveux blonds de gauche à droite qu'il secouait d'un air détaché comme s'il ne voulais pas être là.

Enfin le dernier homme à la gauche de la jolie dame, avait un grand sourire et ses cheveux bicolores suivais les courbes de sa tête qu'il secouait avec ses vêtements scintillants, il avait l'air d'être sorti d'un film d'halloween plutôt que dans une boite branchée avec sa veste argentée. Ma prétendante dépassée celui ci d'une bonne tête.

Elle flottait parmi eux d'une façon différente je dirais même envoutante. Fessant onduler ces courts cheveux noirs de jais comme personne d'autre ne savais le faire. Elle dansais d'une façon maladroite, mais à la fois assurée.

Elle me donnais l'impression d'attendre parmi tous ces étrangers. Attendre seulement mon arrivée pour me sourire de sa bouche en cœur.

Mon cœur battait fort à l'intérieur de ma cage thoracique. Mon sang bouillonnais. Ma tête tournai et tournai, je me sentais bien, heureux et léger. Tellement léger que j'avais l'impression de flottait dans l'espace temps. Flottais jusqu'à cette belle dame qui captivait mon regard.

Je m'étais approcher de plus en plus d'elle. Jusqu'au point ou je pus me penché à son oreille en parlant assez fort pour couvrir la musique simplement composé de Bass tonitruantes du bar, son parfum avait rapidement trouvé un chemin jusqu'à mes narines envoutant le petit espace entre nous deux. Elle sentait bonne, une odeur indescriptible tellement quelle était mélangé et unique.

Sa voix était le seul son que mes oreilles pouvaient entendre clairement dans le brouillard que créer l'alcool à mes sens. Elle était si douce et singulière. La banalité vibré dans le son et la portée de ses mots. Sa voix avait une teinte de gravité pour une femme qui pouvait la rendre encore plus distinguée des autres mises à part la beauté de son visage. Elle était encore plus belle de près.

Je ne saurai dire de quoi nous avions parlé dans ses quelques minutes à peine, mais je savais que j'étais totalement accroché à ses lèvres. Et encore plus quand elle riait de mes blagues de son rire magnifique semblant cristallisait le temps.

Elle avait un sourire d'ailleurs magnifique, il était si banale et ordinaire, mais il me chaviré de l'intérieur et me créais des sensations autant physiques que mentales.

Je n'avais pas l'impression d'avoir des papillons dans le ventre, mais surtout un nid d'abeilles furieuses. Ma peau était devenue tellement sensibles, sentant le moindre frottement, la moindre chaleur qui émanait d'elle. Mon cœur tambourinais à chaque geste qu'elle faisait vers moi, j'avais l'impression de ramollir de l'intérieur. Des sensations que je n'avais que rarement vécu et encore moins autant intensément.

Même si mon attention était totalement dédiée et concentré sur elle, mon esprit resté brumeux et incertain et je n'entendais qu'a moitié se que je lui disais, la musique bourdonnait dans mes oreilles et mon cœur vibrait dans ma poitrine.

Les milles et un YAOI et BLOù les histoires vivent. Découvrez maintenant