Harem et Ernest ( SUITE )

97 1 0
                                    

- Oh ! C'est simple dans le pommier a coté du pensionnat ! Tu sait le grand chêne ?

 Ernest lui fis signe que non. Il n'en savait rien ! Le jeune homme face a lui était surpris mais il se leva lui fessant signe de faire de même ! Ernest le regarda d'un regard morne mais se contenta de se levé aussi.

Suivant le jeune face a lui, ce dernier l'amené dans les détour les plus profonds du pensionnats, ils zigzaguer a travers les décompte des couloirs. L'air se refroidissais de plus en plus, et se pollué d'odeur de charbon ? De brulé ? De cendre ? Les couloirs se teinté de noir cendre, les murs n'avais plus le même papier peint qu'avant, le plancher était abimé et craquer plus.

Ernest avais compris il était dans les résidu de l'accident de l'année 1996. Quand qu'une partie du pensionnat avais brulé a cause de la cigarette d'un vieux surveillant. Le même surveillant qui avais fais deux mort avec une clope oui. Il c'était fais renvoyer directe après bien sur.

Mais ce que Ernest ne comprenais pas c'était comment le jeune Harem avait fais pour l'amener ici, habituellement il y'avait une barrière qui les empêcher de traverser cette zone dangereuse pour les jeunes intrépide. Ils avaient beaux avoir essayer de toute les manières même les plus discret n'était pas capable de ne pas se faire repéré par le garde de nuit dans cette zone, il avait des yeux de lynx.

Il regarda en arrière de lui, il n'y avait pas de barrière donc il n'était pas dans un lieu connu et les chambres ont dirait qu'ils n'y avait personne et ce n'était pas les mêmes portes que celle qu'il connaissais si bien... Mais que diable se passait t'il mais surtout où était t'il ?

Cette question lui brulait les lèvres mais il se contenta de garder ses lèvres closes, ne voulant pas détruire son statut de jeune muet, juste par curiosité. Pendant tout ses années au pensionnat il avait appris que la curiosité avait un prix et parfois très cher. Ce n'était pas toujours bon et de toute manière on finissais par avoir la réponse par sois même. Il devait attendre encore un peu et tout s'éclaircira. Bientôt oui ! Attendre encore un peu ! ... Malgré tout c'était inquiétant cette histoire.

L'air se refroidissais plus que ils s'enfoncé dans les entrailles d'un ancien lieu de catastrophe, et le vent se fessais entendre, sifflant a travers un trous, fessant siffler et claquer leurs pas sur le bois abimé et cendré.

Ils finnisèrent enfin a leurs destinations, Harem le mena a un cul de sac, finis les portes de bois verni avec d'ancien nom dessus, finis le papier peint au motif de papillon mauve. Finis les fenêtres de bois au vitre mal lavé. Ils était dans un cul de sac, les murs peints avait était comme griffer tout le long laissant de long pans pendre, comme si un animaux c'était battu pour une éventuelle liberté non promis. Et le bois dévoilé ainsi dénudé de tout habit mauve, était également griffer a des places, des ongles ? De long ongle avais égratigné cette peau cuivrée, et plus qu'on avancer le regarder plus qu'on voyais le graffigne tout le long d'un cadre de fenêtre.

L'élément clé du décors, une grande fenêtre au même cadre que tout les autres jusque cette fois les carreaux qui l'ornée n'était pas que sale, et noirci mais aussi concassé, il n'y avais que des bris de verres, et a travers les bris on pouvais voir des bouts rougeâtres et même des plumes, noir, gris et blanc pendre, on pouvais deviner ou tout les victimes de l'incendie de 1996 avais essayer de s'échapper a travers les fenêtres. Les carreaux était assez grand pour un oiseau. Bien sur leurs ailes devais bien être étroite a travers un si petit espace mais c'était possible de passé.

Sur cette pensée un claquement se fis entendre ébranlant tout la poussière qui jonché le sol et la fessant se soulevé devant les yeux incrédule de Ernest. Il inhala un peu de cette poussière, et comme aveuglé par cette poussière noire et nauséabonde il toussa cherchent l'air qu'il lui manquer. Mais il finis par se débattre avec de grand geste ses mains pour l'éloigner de ses jeunes narines. Les pauvres elles c'était manger une attaques a pleins nez, une bonne douche ne sera pas de refus pensa Ernest se sentant maintenant sale. Mais la poussière malgré tout continuer a se lever, comme si il n'y en avais encore a travers ce sol bien graisseux, malgré le gros lot qui s'était évaporé plus loin. Il sentis du vent a coté de lui et remarqua que Harem, avais déplié ses ailes et c'était envolé.

Les milles et un YAOI et BLOù les histoires vivent. Découvrez maintenant