byseyana✍🏽..Dans cette pièce sombre et glaciale, chaque souffle semble se transformer en nuage de vapeur dans l'air froid. Je frissonne alors que le froid pénètre mes vêtements et engourdit mes membres. Mes muscles se raidissent, mon souffle se fait court, et mes doigts deviennent engourdis. La sensation de froid semble s'infiltrer jusqu'à mes os, me laissant tremblante et impuissante.
Je scrute les murs nus et sombres de la chambre, cherchant désespérément un signe d'espoir ou de liberté, mais tout ce que je trouve, c'est l'obscurité oppressante qui semble se refermer sur moi. Chaque minute qui passe semble une éternité, et l'angoisse monte en moi alors que je réalise que je pourrais être coincée ici pour un temps indéterminé.
La pensée de ma famille me hante alors que je me demande si mon père se soucie même de ma disparition. La tristesse et la solitude s'emparent de moi alors que je me rends compte que je suis seule, abandonnée à mon sort dans cet endroit inhospitalier.
Pourtant, au milieu de cette obscurité et de cette froideur, une lueur d'espoir brille faiblement. Je refuse de me laisser abattre par la peur et le désespoir. Je m'accroche à l'idée que je trouverai un moyen de m'échapper, que je retrouverai ma liberté et que je retournerai auprès de ceux qui me sont chers.
Malgré tout, une question persiste dans mon esprit tourmenté : combien de temps pourrais-je résister à ce froid glacial avant de perdre espoir ?
La frustration et la détermination me poussent à m'élancer vers la porte, mes poings frappant avec force contre le bois solide. Chaque coup résonne dans la pièce silencieuse, mais la porte reste fermement close, refusant de céder à mes assauts.
Je sens la douleur sourdre dans mes poings alors que je continue de frapper, mes articulations devenant douloureuses sous l'impact répété. Mais je m'acharne, ignorant la douleur, car je sais que ma seule chance de survie réside dans ma capacité à m'échapper de cette chambre mortuaire.
Mes cris de frustration se perdent dans l'obscurité alors que je lutte contre la porte, mes muscles tendus et mes nerfs à vif. Chaque seconde qui passe semble une éternité, et pourtant, je refuse de me résigner à mon sort.
Je cherche frénétiquement d'autres moyens de m'échapper, mes mains tâtant les murs à la recherche d'une faiblesse, d'une fissure, de n'importe quoi qui pourrait me permettre de sortir de cet enfer glacé. Mais la pièce semble impénétrable, ses murs lisses et dépourvus de tout espoir de salut.
Malgré tout, je refuse d'abandonner. Je suis déterminée à trouver une issue, coûte que coûte. Car je sais que tant que je suis en vie, il y a toujours de l'espoir. Et je suis prête à tout pour retrouver ma liberté.
La douleur dans mes mains devient insupportable, chaque coup contre la porte s'accompagnant d'une sensation lancinante qui irradie dans mes paumes. Mes articulations me brûlent, mais je refuse de céder à la faiblesse. Je sens le sang ruisseler le long de mes doigts, maculant le bois de la porte dans une danse macabre.
Pourtant, malgré la douleur cuisante, aucune larme ne coule sur mes joues. Je refuse de donner à mes tortionnaires le plaisir de me voir faiblir. Je suis déterminée à rester forte, à défier l'adversité, peu importe les souffrances que je dois endurer.
Chaque coup devient un cri de défi, un défi à ceux qui pensent pouvoir me briser. Je refuse d'abandonner, de me laisser emporter par le désespoir. Car je sais qu'au fond de moi brûle une flamme d'espoir, une volonté indomptable qui refuse de s'éteindre.
Mes mains tremblantes continuent de frapper la porte, chaque coup résonnant dans la pièce comme un écho de ma détermination. Je ne reculerai pas. Je ne me rendrai pas. Car je suis Meredith.
La porte s'ouvre sur un homme qui m'est totalement inconnu , Dans un élan de rage et de désespoir, je frappe l'homme qui a osé entrer dans ma cellule, utilisant chaque once de force qui me reste. Mon poing heurte violemment son visage, et je sens un craquement sinistre sous mes doigts. L'homme chancelle sous le choc, la surprise peinte sur son visage avant de s'effondrer, inerte, sur le sol froid.
Sans perdre un instant, je saisis l'opportunité qui m'est offerte et je pousse l'homme inconscient à l'intérieur de la chambre froide, refermant la porte derrière moi avec un bruit sourd. La froideur de la pièce m'envahit immédiatement, mais je m'en moque. Ce n'est rien comparé à la chaleur de la liberté qui brûle dans mon cœur.
Je m'éloigne rapidement de la chambre, mes pas résonnant dans le silence oppressant de la maison. Chaque pièce que je traverse semble être un défi à surmonter, un obstacle sur le chemin de ma liberté. Mais je refuse de céder à la peur, je refuse de me laisser abattre.
Enfin, j'aperçois une fenêtre ouverte, un mince filet de lumière qui filtre à travers les voilages. C'est ma chance, et je la saisis sans hésitation. Mes mains se ferment autour du rebord de la fenêtre, mes muscles tendus par l'effort alors que je grimpe avec détermination.
Et puis, je saute.
Le vent siffle à mes oreilles, le sol se rapproche rapidement, mais je n'ai pas peur.
Mais au lieu de ressentir la terre froide sous mes pieds, une douleur fulgurante irradie soudainement de ma jambe. Un cri de surprise et de douleur m'échappe, tandis que je m'effondre au sol, mes forces m'abandonnant peu à peu.
Je sens le sang couler le long de ma jambe, une chaleur liquide qui m'envahit lentement. Malgré la douleur lancinante, je refuse de céder à la panique. Mes mains tremblantes se pressent contre la blessure, tentant vainement de contenir l'hémorragie.
Je franchis le portail, la douleur déchirant ma jambe à chaque pas.
Mais à peine ai-je passé le seuil que je me retrouve face au narcotrafiquant. Son regard glacial me transperce, et je sens mon cœur battre la chamade dans ma poitrine. Malgré la douleur et l'épuisement, une lueur de détermination brille dans mes yeuxJe le fixe, défiant, refusant de plier sous son regard impitoyable. Son arme pointée dans ma direction, il représente tout ce que je hais, tout ce contre quoi je me bats. Mais je ne flanche pas. Je refuse de lui montrer la moindre once de faiblesse.
Je me retrouve emprisonnée dans l'étau de sa poigne, sa force brutale me forçant à avancer malgré la douleur lancinante qui irradie de ma jambe blessée. Chaque pas est un supplice, mais je refuse de lui accorder la satisfaction d'entendre un seul cri de douleur s'échapper de mes lèvres
Le narcotrafiquant me fixe d'un regard impitoyable, son visage impassible trahissant peu d'émotion.
Narco - Tu penses que tu peux simplement partit comme ça ?crache-t-il, sa voix empreinte de froideur. Tu as désobéi, Meredith. Tu as tenté de t'échapper. Tu croyais vraiment que je te laisserais t'en sortir si facilement ?
Son ton est accusateur, et je sens mon cœur battre la chamade. Je me rends compte que ma tentative d'évasion n'a fait qu'empirer les choses.
Narco - Tu resteras ici jusqu'à ce que j'en décide autrement.
ajoute-t-il d'une voix tranchante, signifiant ainsi que ma liberté n'est plus qu'un rêve lointain.
byseyana✍🏽..