Ce chapitre comporte une scène à caractère sexuel qui ne convient pas au plus jeune lectorat.
Ce symbole 🌓 vous annonce le passage en question.
Je vous rappelle que je suis responsable de ce que j'écris et non de ce que vous lisez.
Bonne lecture mes Gaufrettes
🌔
Je sors du sommeil au son du pépiement d'un rougequeue noir, haut perché non loin du rocher.
Le jour va donc se lever.
La tête posée sur le torse chaud d'Asbjørn, bercée par les battements réguliers de son cœur, je me sens apaisée. Je prends une profonde inspiration et aussitôt, son odeur musquée et boisée envahit mes narines, puis des réminiscences de cette nuit m'assaillent.
Je me souviens du désir qui faisait flamboyer son regard, de la langueur de ses baisers, ainsi que de la douceur de son toucher. À ces souvenirs, mes sens s'éveillent, à l'image de mon corps pourtant quelque peu endolori par la force et la passion de nos étreintes.Soudain, son bras se resserre autour de moi, avant qu'il ne relève mon visage vers le sien de sa main libre. Il en trace le contour du bout des doigts alors qu'il me détaille avec minutie au travers de ses yeux mi-clos et encore ensommeillés. Puis il m'interroge, la voix rauque :
Asbjørn - Comment te sens-tu ma Lune?
Azilis - Bien...et toi?
Asbjørn - Complet.Puis il incline légèrement ma tête sur le côté afin de vérifier la cicatrisation de sa morsure. Une lueur de satisfaction s'allume aussitôt dans son regard qui vire au rouge, avant qu'il ne passe un coup de langue sur ma marque, m'envoyant ainsi une vague de chaleur dans tout le corps.
🌓
D'un mouvement rapide, il se place au-dessus de moi et plaque sa bouche contre la mienne, me tirant un gémissement. Son corps étroitement collé contre le mien, je sens son désir contre mon bas-ventre, éveillant en moi une forte excitation. Ses mains glissent avec douceur et caressent chaque parcelle de peau, laissant une trainée de frissons et enflammant d'autant plus mon épiderme.
Mon antre s'humidifie rapidement alors que mes tétons pointent presque douloureusement, et lorsque sa verge dure et tendue frotte contre mon intimité, un autre gémissement m'échappe, et se transforme en cri lorsqu'il me pénètre d'un puissant coup de reins.
La tête calée dans mon cou, Asbjørn ne bouge pas pendant plusieurs longues secondes, avant d'entamer de lents va-et-vient. Mes bras enlacent sa nuque, alors qu'il ne cesse de mordiller et lécher la preuve de notre union, tout en accélérant les mouvements de son bassin.Lorsqu'il me sent proche de la jouissance, il se redresse et saisit mes cuisses qu'il écarte largement, et fixe aussitôt son regard sur son sexe allant et venant de plus en plus vite entre mes lèvres intimes. Sa lèvre inférieure coincée entre ses dents, ses grognements deviennent plus gutturaux à mesure que ses coups de butoirs accélèrent. La boule de chaleur dans le creux de mon ventre s'enflamme, se propage, je sens les muscles de mes cuisses se contracter, mes orteils se recroquevillent et lorsque, après un coup de reins plus profond, son pouce câline mon bourgeon, j'explose dans un cri lascif.
Les mâchoires serrées, il se défait lentement et me tourne sur le ventre. Réhaussant mon bassin d'un bras passé sous mon ventre, il me pénètre de nouveau et m'octroie des coups de butoirs plus profond les uns que les autres. Ses jambes encadrant les miennes, sa bouche contre ma nuque où sa respiration erratique s'échoue chaudement, il va et vient à un rythme effréné entre mes cuisses, enflammant d'autant plus mon corps. Puis une fois encore, il passe sa langue sur ma marque avant de l'aspirer entre ses lèvres, et à nouveau, mon corps exulte de plaisir et de satisfaction, et cette fois, je l'entraîne avec moi dans la jouissance.
VOUS LISEZ
Azilis Et Asbjørn, L'Union Des Cinq Royaumes
FantasyL'union sera toujours une force contre l'adversité. L'amour, une puissance que la haine ne saurait détruire. Certains passages de cette histoire ne conviennent pas au jeune lectorat, y figurent des scènes de violences et de sexe explicite. Je suis r...