Chapitre 7

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Points de vue de Rosa :

Après le lycée, Ana m'a invitée à passer la nuit chez elle étant donnée ce qui se passe chez moi.

Nous sommes toutes les deux assises dans sont lit, je lui raconte tout ce qu'il s'est passée avec Ezio.

- Je te l'ai dis, il a changée depuis ton départ. Mais j'aurais jamais pensée qu'il irait jusqu'à utilisée Isabella. Surtout qu'avant que tu revienne il continuait de la recaler. Après avoir dis cela, mon amie me regarde d'une manière rempli de sous entendu.

- Pourquoi tu me regarde avec cet air là ? M'exprimai je ne comprenant pas à quoi elle veut en venir.

- Ton cerveau est restée en France ou quoi? C'est pourtant clair, il veut te rendre jalouse. Déclare telle en s'amusant à lever c'est sourcil, ce qui me fit subitement rire.

- Tu dis n'importe quoi, m'arrêtant d'un coup dans mon fou rire, il est passée à autre chose. Je ne suis plus qu'un souvenir parmi une multitude d'autre.

- Dit moi ? Tu devrais pas aller consulter chez un opticien, il faut avoir des sacrées problème de vu pour ne pas remarquée à quel point il te dévore du regard. Après cet remarque je lève les yeux au ciel et nous continuons de discuter de tout et de rien jusqu'à tombé dans les bras de Morphée.

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Je me réveille pour aller à l'école, je me prépare et me dirige vers celle-ci. Un beau soleil éclairais les jolies champs de fleur autour de moi. Mon sourire éclatant sur le visage. J'entre dans l'école toujours aussi souriante.

La journée passe. C'était super, je me suis bien amusée. On a dû fabriquer des bouquets de fleur à base de rouleau essuies tout. J'en n'ai fais un super jolie, je l'aurais bien donnée à ma maman mais Isabella, une fille de ma classe l'a déchirée et l'a mis à la poubelle. Malheureusement, Ezio n'étais pas bien aujourd'hui, il n'était pas la pour me protéger d'elle. Isabella ne m'aime pas je crois. Elle aime Ezio, je le vois mais moi aussi je l'aime. Est ce que c'est mal de l'aimer alors qu'elle aussi ? Je suis une mauvaise personne ? C'est sans doute pour sa qu'elle ne m'apprécie pas.

Arrivée devant chez moi, le soleil c'était couchée. Je pris un grand souffle avant de pénétré dans ma maison. Lorsque je passe le seuil de la maison, un cri sort de ma bouche. Elle était là sur le sol, un liquide rouge coulait de sa tête, de la peinture ?

Son regard se leva difficilement sur moi, elle ne vas pas bien. Je fonce dans s'est bras et essaye de la relever. Mais mon petit corps n'y arrive pas. Des larmes coulent de c'est yeux.

Le corps imposant de mon géniteur arrive dans mon champs de vision.

- Tu n'arrive même pas à l'aider, déclare t'il un rictus sur le coin des lèvres, tu ne peux rien faire à part la regardée mourir de jour en jour. Tu es une mauvaise personne Rosa. Il s'approcha de moi et me pris par le bras, il poussa mon corps contre un mur.

- Rosa ? Rosa, mon chat réveille toi, Je me réveille en sursaut les joues trempée de mes douces souffrances qui perlaient délicatement sur ma peau. Je vi Ana me tendre un vers d'eau et se placer à mes cotée afin de me prendre dans c'est bras, tu es en sécurité ici, je suis là. S'exclame telle tout en resserrant c'est bras autour de mon petit corps tremblotant.

Étant dans l'incapacité de répondre, je me blottis dans c'est bras. Nous nous endormons à nouveau.

Le réveille d'Ana se mis à sonner. Nous nous réveillons toute les deux et elle et moi, nous nous préparons pour aller au lycée.

- Tu devrais lui dire ce qui s'est vraiment passée se soir là Rosa. Je suis sûr qu'il comprendra, il t'aime encore ça crève les yeux et puis un amour comme le vôtre ne s'oublie pas. Nous avions rejoint Ewen à l'endroit où nous avions l'habitude de se poser tout les 5. Ana et moi lui avons tout expliqué et ils s'amusaient tout les deux à me pousser vers lui.

- Bien sûr que je l'aime toujours, je le garderais à jamais dans mon cœur, répondais je à leur absurdité. Jamais je ne pourrais l'oublier, Ezio est telle une mélodie gravée dans mon âme, Lui est passée à autre chose, même si je sais que je n'y arriverais jamais. Je vais devoir songer à tourner la page et commencer un nouveau chapitre.

- Dit moi Ana, quand elle est devenu aussi idiote ?

- Je ne sais pas, à mon avis Ezio l'a tellement dévorer des yeux que sa a engendrée son cerveau. Déclare les deux idiots en face de moi. Lorsque je lève les yeux au ciel, tout deux se mis à rire. Même si j'étais fatiguée par leur idiotie, un rictus se forma au coins de ma lèvre. Voir mes deux amis aussi souriant me réchauffa le cœur.

Je vis au loin Thomas s'approcher de nous, lorsque qu'il arrive à notre hauteur, je me lève et lui dis bonjour, l'invitant à s'asseoir avec nous. Le regard de mes deux amis changea directement. Ils n'ont pas l'air de l'apprécier. Pourtant, Thomas est très gentil.

En regardant un peu autour de moi, le regard noir d'Ezio au loin me fis frissonner. Ce n'était pas moi qu'il regarde, mais Thomas.

Son corps se dirigea vers nous. C'est yeux rencontre les miens et son regard changea instantanément, passant par plusieurs émotion. Puis se re concentra sur le beau brun à mes cotées.

- Dégage de la, on un match important à jouer, au lieu de glander tu ferais mieux de t'entraîner. Ezio pris un ton aussi menaçant que flippant.

- Je dois te rappeler que je suis le deuxième meilleur de notre équipe Lucchese ?

- Justement, tu es seulement à la deuxième place, donc maintenant bouge toi et va t'entraîner. Ce sera pas compliquée de te trouver un remplaçant dans l'équipe.

- Tu te prend pour le meilleur, Thomas se leva pour se placer en face d'Ezio, la seul manière que tu trouve pour te sentir supérieur est de rabaisser le monde autour de toi. Mais tu n'es rien qu'un étudiant plus que banale. Les mots de Thomas était cru, une grimace s'affiche sur mon visage sachant pertinemment qu'il ne va pas s'en tirer comme ça, connaissant mon meilleur ami d'enfance.

Ezio ne perd pas de temps pour l'attraper par le col, il enchaîne les coups de points. Après quelques minutes, il se relève.

- La prochaine fois, ne dit pas de telle idiotie, je suis supérieur à toi Jimenez. Lui crache t'il avant de s'en aller.

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