Je suis assise en cours de mathématique à cotée d'un certain Thomas. Pour mon plus grand malheur Ezio est dans ma classe. Je ne peux m'arrêter de le fixer. Lui reste concentré comme si il ne voulait pas croisé mon regard, ce qui m'étonne absolument pas.
Quelque minute plus tard, mon voisin de banc me chuchote des âneries ce qui me fit rigoler.
- Que y'a t'il de drôle mademoiselle Cabrero ? Toute la classe ce retourna vers moi, même lui. Alors que j'allais répondre Thomas pris la parole.
- Excuser là monsieur, c'est moi qu'il l'est faite rire. Ça n'arrivera plus. Mon regard ce dirigea vers lui puis vers Ezio qui dévisageait Thomas. Je ne fis pas plus attention à cela et chuchota un remerciement à mon voisin de banc. Notre professeur nous regarda tout les deux ensuite se remis au travail.
La journée passe et viens la dernière sonneries. Nous sortions de la pièce lorsqu'un bras me pris et me dirigea vers un casier. C'était le bras de Ezio, mon bras frisonne à son toucher. Lorsqu'il s'arrête, il mit c'est bras des deux cotées de ma tête positionnée au casier, quant à moi, je suis emprisonné par c'est deux bras sacrément muscler.
- Écoute moi bien, je ne sais ni pourquoi tu es partis, ni pour quel raison tu es revenu. Mais je t'assure que si tu t'incrustes dans ma vie, je te ferais vivre un enfer. En attendant reste le plus loin possible de moi. Le ton de sa voix était tellement menaçante que sa me fis frissonner et son regard perçant me fit défaillir.
Alors que c'est bras était toujours positionné aux deux cotée de ma tête, je pris mon courage et lui tenu tête. Je releva les yeux vers lui et lui répondu sur un ton sur et confiant.
- Comme tu l'as dis tu ne sais rien du tout. Tu peux me détester autant que tu veux Ezio, mais crois moi je n'ai jamais demandée à ce que tout sa arrive. Après sa je me défais de ces bras et sors du lycée.
Je sens la crise d'angoisse arriver. Je me précipite pour rentrer chez moi. Enfin arriver, je rentre dans ma chambre et ferme la porte à clé. Ma respiration saccadée et mon corps tremblant, je tomba au sol et me mise à pleurer de toute mes force. Maman j'aimerais tellement que tu sois là..
Quelque minute plus tard, j'entends des pas monter les escaliers. Mon père. Je reconnais c'est pas. D'un coup ma porte se fracassa, il était là, son corps tremble sous l'effet de l'alcool. Il s'approcha dangereusement de moi pendant ce temps je reculais en rampant sur le sol. Je criais mais c'est comme si il ne m'entendait pas.
Je tremblais de peur, mes joues sont baignées de larmes qui dévalent mon visage. Sa main empoigne mes cheveux pour me relever, puis me balance sur le sol en me donnant un coup dans la jambe. Prise d'effroi, mon cœur bat la chamade. Mes yeux s'écarquillent de peur lorsque son poing rencontre ma joue.
- Papa arrête.. criai-je sans cesse, mais rien. Alors que son poing allait une seconde fois rencontré mon visage, quelqu'un toque à la porte d'entrée.
Il s'en va l'ouvrir. Dieu merci, je n'arrivais plus à pensée. Ezio m'avait promis de me faire vivre un enfer si je me mettais sur son chemin s'en savoir que je le vie déjà depuis qu'elle est partie.
Flashback
Je marche jusqu'à chez moi avec Ezio. Sur le chemin nous rigolons. Surtout lorsque je tribuche sur une bordure que je n'avais pas vu à cause du manque de lumière. Il me rattrapa et vérifie si je vais bien. Ensuite nous nous remettons sur le chemin de ma maison.
Enfin arrivée, il me prit dans ces bras. Mon cœur est tellement apaisée lorsque je suis avec lui. Je me sens en sécurité. Mon visage s'illumine d'un sourire radieux et mon corps tout entier se remplie de bonheur quand je suis avec lui. Il a juste à poser c'est yeux sur moi pour que tout mes problèmes disparaissent.
Il m'embrasse doucement et avec tendresse. Au moment où il allait s'en aller, un hurlement provenant de ma maison l'interpella. Oh Non, pas encore..
Ezio me fixe intensément, m'interrogeant du regard. Je dois trouvée une excuse au plus vite.
- C'est rien, elle s'est probablement faite mal, elle est très maladroite. C'est la seul excuse que j'ai trouvée. J'espère que c'est tout de même crédible.
- D'accord, à demain my princesa. Ce surnom me donne des frissons dans tout le corps lorsqu'il l'utilise. Après ça, il s'en alla.
Je n'avais pas envie de franchir le seuil de ma maison. Mais je n'avais pas le choix, maman avait peut être besoin de moi. Lorsque j'ouvre la porte, je vis le corps tremblant et remplis de bleue de ma génitrice. Mon cœur s'affola et je fonce la serrée dans mes bras. La haine que je ressens pour mon père s'intensifie un petit peut tout les jours. Comment peut-on faire subir sa a la femme qu'on aime ?
Je sens quelqu'un empoignée mes cheveux et me tirer en arrière. Mon regard se posa directement sur mon père.
- Comment peut tu avoir pitier d'une personne aussi faible et minable. Crache t'il en me regardant.
- Elle ne mérite pas sa, ce n'est pas de la pitier mais de l'amour. C'est ce que tu pourrais ressentir si tu avais un cœur. Criai-je tout en me relevant pour lui tenir tête. La seul personne dont j'ai pitier c'est toi, papa. La seul manière que t'a trouvée pour te sentir supérieur, c'est de battre la femme que tu es censé aimer. Sache que ça te rend plus minable que tu ne l'es. Je ne sais pas ce qui me prend, je lui crache toute la haine que je refoulais en moi depuis 5 ans.
Son regard rempli de haine se pose sur moi et ensuite vers ma mère abattu sur le sol noyée par les larmes qu'elle a versée. Ensuite, il quitte la maison en claquant la porte. J'accoure vers ma mère pour la monter dans mon lit, il est hors de question qu'elle dorme avec ce connard.
J'enroule mes bras autour de son corps tremblant et lui caresse les cheveux. La voir comme ça m'arrache le cœur. Je n'ai pas le pouvoir de la sauver ni la force de me battre contre mon père.
La porte de ma chambre s'ouvrit brusquement et ce que je vis me fis hurler.
...
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Sálvame si puedes
RomansAprès le décès de sa mère, Rosa n'a eu guère le choix de retourner dans son pays natal, l'Espagne. Là où elle avait laisser toute sa vie derrière elle, dont son père qu'elle n'avait plus vu depuis 2 ans. Tout avait changée à son retour, la maison...