Sálvame si puedes

Chapitre 6

Points de vue de Ezio.

Lorsque je l'ai revu pour la première fois devant le lycée, ce fut un saisi d'un émerveillement indicible, 2 ans sans l'avoir vu, sans la moindre nouvelle. Quand nos regard se sont croisée, et dans cet instant fugace, le temps c'est suspendu. Nos deux âmes se sont effleurées,révélant un magnifique océan d'émotions. Mes la réalité prit partie sur ma joie de la revoir, elle m'a abandonnée. Elle était tout mon monde. Et lorsque je suis allée chez Rosa mais qu'elle n'y était plus, j'ai sentie mon cœur tombée entre les ruines qu'elle avait laissée derrière elle. Cet magnifique femme avait fait fleurir dans mon cœur un incroyable par terre de fleur qu'elle a laissé fané.

J'ai tous expliquée à Hadriel, lui est persuadé que je devrais lui redonner une chance. Je ne peux songer à une idée aussi stupide, si Rosa était partie 2 ans plus tôt sans m'avoir donnée de nouvelle c'est qu'elle ne voulait plus de moi.

Pourtant lorsque nos regards se croisent, je nous revois lorsque nous étions amoureux l'un de l'autre. Elle m'avait fait une promesse et ne l'a pas tenu. Je ne pourrais jamais lui pardonner.

La porte de ma chambre s'ouvrit en grand me ramenant à la réalité.

- Je viens t'apporter tes médicaments. Profère la maman de mon meilleur ami.

- Merci beaucoup Liz. La remerciai-je alors.

Depuis deux ans, j'ai de gros maux de tête et une sensibilité à la lumière aux bruits. Ça ne m'inquiétait pas plus que sa, mais Hadriel lui était sûr que je devrais aller chez un médecin et je ne compte pas l'écouter.

Je m'allongea doucement dans mon lit, tant dis que mes pensées se déployaient en une danse poétique, remplissant mon esprit d'un tourbillon de pensée désagréable qui envahi mon âme.

Je n'oserais jamais l'avouer mais elle me manque. L'amour que nous partagions l'un pour l'autre, tout les souvenirs aussi fabuleux les uns que les autres survolaient mon esprit tel des papillons dans un champs de rose noir. Depuis que mes parents sont décédée elle était la seul à me faire sentir vivant. Ce jour là, elle a tuer l'homme qu'elle a elle même créer pour laisser place à celui que je voulais enfuir au plus profond de mon âme.

Je ressent un profond dégoût envers la personne que je suis devenu depuis le départ de ma bien aimée. Mon âme est plongée dans les abysses de la tristesse et de la désolation.

Sur c'est dernière pensée mon esprit se mit en veille pour laisser place à un noir aussi apaisant que angoissant.

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Nous marchions main dans la main pour aller s'asseoir au bord du lac où nous allons tout les soirs pour y voir les couchées du soleil.

Enfin arrivée nous prenons place sur le jolie par terre fleurie de pâquerette.

Je l'admirais, c'est beaux yeux bleu fixait le ciel en face de nous. Cette jeune femme me fascine. Depuis son sourire éclatant jusqu'à la façon dont elle illuminait chaque pièce dans laquelle elle entrait. Mes yeux brillaient d'admiration à chaque fois que mes yeux rencontre sa personne et mon cœur se mit à battre de plus en plus fort à chaque fois que nos regard se croisa. Je suis captivée par son charmes et sa grâce. Rosa est ma muse, mon admiration et je suis prête à tout pour lui apporter tout le bonheur que ce bout de femme mérite.

Sa main se dépose sur la mienne et je ressentis comme si mon cœur éclatait de bonheur et je sentis des papillons survolée tout la surface de mon estomac. Son touchée me procura des frissons de joie. Mon visage s'illumina d'un radieux sourire. Ce moment est magique comme si le monde autour de moi s'arrêtait. Ça n'est peut être qu'un simple toucher, mais j'aimerais que se moment dur une éternité.

Lorsque le soleil fut couchée, nous nous levions pour rentrer. Comme à notre habitude je la raccompagne sur le seuil de sa porte. C'est quand même étrange qu'elle ne me laisse jamais rentré chez elle. J'y ai jamais mis les pieds.

De légère goutte de pluie tomba sur nos deux corps, j'enlève mon pull pour lui tendre. Après cela nous nous remettons en marche.

Nous rigolions tout le long du chemin. Le plus drôle c'est quand elle s'est prit les pieds dans une bordure. Je les directement rattrapé puis nous avons exploser de rire.

Arrivée devant sa demeure, je la prend dans mes bras, lorsque son petit corps se retrouve collée au miens un sentiment d'apaisement me submerge. Dans mes bras, je savais qu'elle est en sécurité.

Avant qu'elle s'en aille, je l'embrasse tendrement et puis me retourne pour m'en aller lorsqu'un hurlement venant de la maison de Rosa me fit me retourne. Mon regard posée dans c'est beaux yeux bleu pour l'interroger.

- C'est rien, elle s'est probablement faite mal, elle est très maladroite. Prononce t'elle d'une voix douce.

Je ne la croyais pas.

- D'accord, à demain my princesa. Après avoir prononcée c'est mots, je me retourne pour rentrée chez moi.

Enfin arrivée devant la maison d'Hadriel, ma maison, enfin je crois.. je me rendis compte que j'avais laissé mon portable dans la poche de mon sweat que j'ai prêter à Rosa 30 minutes plus tôt.

Je fis demi tour, lorsque j'arrive devant sa maison, des cries se font entendre, je n'ai eu guère le temps d'entendre se qu'ils se disaient que la porte s'ouvrit en grand.

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Mes yeux s'ouvrit petit à petit, c'est toujours le même rêve et toujours la même fin. C'est tout ce dont je me rappel. Ensuite, je me suis réveillé dans mon lit et j'ai foncée voir Rosa qui n'était plus chez elle.

J'essaye de me rappelé ce qui s'est passée mes en vains. Peut être que ce souvenir était la clé à mes questions ? Peut être que le pourquoi que je me pose depuis maintenant 2 ans était la quelque part. Que c'était il réellement passé?

Je n'ai eu guère le temps de me poser d'autre question, que mon réveil se mit à sonner. Je l'éteint et après m'être préparer pour le lycée, je sortis de la maison pour me diriger vers celui-ci.

Autre fois, je faisais se chemin main dans la main avec my princesa. Je l'appelais comme sa car elle avait de long cheveux ondulée brun ce qui me faisait pensée à une princesse. Ce surnom n'avait pas l'air de lui déplaire.

Arrivée au lycée, je vis Rosa avec Thomas assise tout deux sur un banc. De tout les garçons moche du lycée, il fallait qu'elle choisisse celui que je déteste, mon rival. Nous étions en compétions lui et moi. Je ressentais une pointe d'irritation en voyant cela. Même si une vague de colère monte en moi, je fis comme si ça ne me faisait rien. Ce n'étais pas compliquée, c'est ce que je fais depuis qu'elle est revenue.