Sálvame si puedes

Chapitre 4

Je me réveille dans le lit d'Ana. Après ce qui s'est passée hier soir, je suis sortie de chez moi et je suis allée voir le coucher du soleil, sans lui.. Je ne pouvais pas rentrer chez moi, rien que cet idée me terrorisais.

Le coquart à mon œil a gonflée et Ana la vue. Elle est au courant de ce que mon père faisait subir à ma mère, et de ce qu'il s'est passée ce jour là..

J'ai énormément confiance en elle. Ana a toujours été là pour moi dans les pires, comme les meilleurs moment. Elle ne m'a jamais laissée. C'est le genre de fille à vous redonner le sourire quand plus rien de vas. Le jour où Ana est rentrée dans ma vie, elle y'a apporter une lumière spécial. Toujours elle a su quand je n'allais pas bien, en un regard. Ma meilleure amie, ma confidente constamment là pour me rappeler que je suis capable de faire tout ce que je désire même quand je suis certaine de ne rien valoir. Je suis énormément reconnaissante de l'avoir dans ma vie. Elle m'apporte la joie comme la bonne humeur. Ana est mon âme sœur, peut importe les obstacles, on restera meilleure amie à vie j'en suis certaine.

Après qu'on se soit préparée, Ana et moi, nous sortons de sa maison pour nous diriger vers le lycée.

Arrivée devant celui-ci certains regard se pose sur mon coquart mais sans plus. Lorsque nous entrons dans le lycée, une bande de fille que je reconnu directement, ce dirigea vers moi.

- bah tiens qui revoilà. Tu nous avais pas manquée. Déclare la blonde en face de moi, un sourire fier sur le visage comme si j'en n'avais quelque chose à faire.

- De même pour moi ne t'inquiète pas. Rétorquai-je. La blonde, Isabella est la fille qui m'harcelait aux collège. Autrefois, elle m'aurait fait peur voir même me blesser mais à l'heure actuelle rien ne touche surtout pas c'est parole. Isabella a toujours été jalouse de moi, enfin de mon couple avec Ezio. Il avait toute les filles à s'est pied et pourtant, il n'avait yeux que moi. Je vois que la situation d'aujourd'hui est similaire à la grande différence qu'à l'heure actuelle il me déteste.

- Maintenant que tu n'es plus avec Ezio, je me ferais un plaisir de l'avoir rien qu'à moi. Elle essaye de me rendre jalouse la ? Dire que sa ne me fait rien serait mentir mais il n'a jamais été attirée par elle et je doute qu'il le soit un jour.

- Et moi je me ferais un plaisir d'arracher  tes jolies cheveux blond si tu te retrouve encore sur mon chemin. Répliquai-je sourire sur le visage pour lui montrer que je n'avais plus peur d'elle.

- Ouhh je vois que Rosa sort c'est griffe. Dit une des copines d'Isabella en rigolant avec le reste du groupe.

- Laissez la tranquille, intervient une voix derrière moi, Ezio, il s'approcha de nous et pris la blonde par les épaules, elle n'en vaut pas la peine. Son regard se posa sur moi et puis il regarda mon coquart d'un air interrogatif. Sa mâchoire se contracta mais il partit avec Isabella.

Qu-quoi? Après tout ce qu'elle avait faire pour nous séparer ? L'harcèlement qu'elle m'a fait subir ? Il sort avec ? Trop de questions en même temps. Mon esprit est encombré par une multitude d'interrogations. J'arrive pas à y croire. Je sais qu'il me déteste mais au point de sortir avec elle ?

Mon rythme cardiaque commence à accélérer, ma respiration deviens rapide et superficiel et je ressens une sensation d'oppression dans ma poitrine. Je cours me mettre à l'arrière du lycée. Je commence à trembler et à ressentir des sueurs froides. Mon cœur bat frénétiquement dans ma cage thoracique comme si il voulait en sortir. Mes pensées tourbillonnantes envahissent mon esprit créant un chaos mental. Mes jambes devenaient faible et ne trouvant pas de moyen pour rester debout, je tombe à terre. Incapable de me calmer je me mise à pleurer. Lorsqu'une personne accourt pour m'aider.

- oh putain, Rosa, les deux bras du garçons enlacèrent mon petit corps tremblant et pris ma main pour la poser sur son cœur pour calmer ma respiration, je suis là. Dit il tout en caressant mes cheveux..

Je me concentre sur les battements du cœur de Thomas en prenant de profonde inspirations et expirations régulières pour apaiser mon rythme cardiaque. Petit à petit ma respiration se calme et la sensation d'oppression s'atténuent, laissant place à un sentiment de calme. Ma tête se repose sur le torse de Thomas quant à lui, il ne dit rien, il continue simplement de caresser mes cheveux.

...

Après ma crise d'angoisse, Thomas m'a raccompagnée chez moi. Heureusement, mon père dormais quand je suis rentrée.

Couchée dans mon lit, je suis plongée dans une mer de souvenirs, où chaque vague évoque un moment incroyable passée avec ma mère. Les rires, les câlins réconfortants, les aventures inoubliables. Chaque instants précieux passée à c'est cotée sont gravée dans ma mémoire. Elle était mon pilier et lorsqu'elle est partit c'est comme si tout mon monde c'était écroulée. Pendant c'est 2 années, elle était la seul à être la.

Je n'avais pas réussi à m'intégrer dans mon nouveau lycée et je n'avais donc pas d'amie mais elle était là. Toujours à m'écouter parler pendant des heures, à m'aider, c'était ma confidente. Me noyant dans mes souvenirs, mes émotions me submerge, tandis que les larmes coulent doucement sur mes joues. J'ai tellement besoin d'elle, mon retour ici est comme rentrée en enfer. Autrefois, je tenais grâce à elle et Ezio et mes deux meilleurs amis. À l'heure d'aujourd'hui, il me reste que Ewen et Ana.

Alors que mes yeux se fermait petit à petit de fatigue, un bruit assourdissant venant de la fenêtre me fis sursauter.