Écouter : I Ben on Losing Dogs - Mitski
La musique va bien avec le chapitre.——————————
Comme l'a dit quelqu'un un jour : toute bonne chose a une fin. J'aurais aimé que cette phrase ne s'applique pas sur nous, malheureusement nous étions pas l'exception. Ça va faire une semaine que je suis revenue, tout a changer. Ma vie n'est plus la même, elle est devenu plus sombre et plus triste. En arrivant ici, j'ai pensée que mon sourire reviendrais, malgré Ewen et Ana qui cesse d'essayer de me remonter le moral, tout le reste ne fait que m'enfoncer.
Je pourrais pensée que mon monde c'est effondré à la mort de ma maman, pourtant je sais qu'il s'est arrêté lorsqu'on a quittée l'Espagne, lorsque j'ai abandonnée mes amis, mon premier amour et mon père.
Je pourrais sortir, m'amuser un minimum mais il est plus plaisant que je reste ici à m'apitoyer sur mon sort.
Des larmes silencieuse s'écoule de mes joues, mon envie irrésistible de recommencer envahi mes pensées, pourtant j'ai promis à maman d'arrêter. Elle est là, dans ma boîte sous mon oreiller. Je pourrais succomber à son appel, donner à mon corps se qu'il mérite. Que faire ? Souffrir ou évacuer cette souffrance qui me ronge. Je suis sobre depuis que je suis revenu ici, devrais-je cédé à la tentation, me laisser submerger par la honte et la culpabilité qui viens après ? Oh, et puis qui s'en inquiéterais ? Personne.
Mon bras glisse doucement sous mon oreiller pour récupérer cette fameuse petite boîte. Mes mains tremblent légèrement. Après avoir sortie son contenu, je regarde mes cicatrices encore visible sur mes bras qui habituellement son camouflée par de longue manche. Ma main s'approche dangereusement de mon bras prête à y rajouter d'autre plaies.
Au moment où ma main allait toucher mon bras, mon téléphone sonne. Merde. Je vis un message de Thomas qui me propose de sortir. Je fixe son message pendant quelque minute, puis regarde la lame dans ma main. Mon cœur palpite, tout mon corps tremble. Je la re dépose dans sa boîte et accepte l'invitation de Thomas. Il ne le sait peut être pas mais il vient de me sauver de la rechute.
J'essuie les larmes qui s'écoulent doucement de mes joues et commence à me maquiller. Après cela je choisis mes habilles.
J'opte pour une petite robe, je la met et observe mon reflet dans le miroir. Ce bout de verre qui reflète mon corps que je trouve si laid. Le dégoût peut se lire sur mon visage. Au final, j'opte pour un jeans et un t-shirt large noir. Lorsque que je comptais sortir, j'entends quelqu'un toquer à la porte. J'ouvre celle-ci et vis Thomas.
- T'es prête ? Me demande-t-il un sourire angélique sur les lèvres. Il tend sa main vers moi.
- Oui, je le suis. Répondis-je affichant un grand sourire sur mon visage en attrapant sa main, nous marchons quelque minute main dans la main avant de se poser dans le parc près de chez moi. Nous nous asseyons sur un banc près des arbres, nos sourires toujours scotchée sur notre visage.
Malgré mon sourire, se cache de la tristesse mélangée à de la nostalgie en voyant le banc qu'il a choisi. Le fameux banc où Ezio et moi, nous sommes promis de s'aimer jusqu'à la fin. C'est peut être mal de pensée à lui dans un moment comme celui-ci, mais tout me ramène à nous. Notre relation est la seul que j'ai eu, je sais que jamais je n'aimerais un garçon comme je l'ai aimée, comme je l'aime. Il pourra me repousser, me détester voir même me remplacer, rien n'arrêtera l'amour que je ressentais à son égard.
Je sais qu'il m'aimait, mais sûrement pas autant que moi. Il m'a oubliée comme si j'étais juste de passage, je sais que j'ai contribuer à sa en partant, mais jamais je n'aurais pensée que tout sentiment qu'il ressentait à mon égard partirais. Peut être que moi aussi je devrais pensée à l'oublier, lui et notre passé. Toute nos soirées au bord du lac à regarder le coucher du soleil, lorsque qu'il me prêtait sa veste pour éviter que je tombe malade, nos câlins et nos baisers sur le pas de ma porte le soir, qui me faisais oublier que lorsque qu'il rentrerait chez lui et que je passerais le seuil de ma porte mon enfer commencerais.
Je dois tourner la page, le laisser partir, l'oublier.
Je sors de mes pensées et relève la tête pour regarder Thomas qui me fixe déjà. Sa main sur la mienne. Peut être qu'il est mon commencement.
Le commencement d'un nouveau chapitre de ma vie.———————————————
Point de vue de Ezio.La douleurs s'intensifie de jours en jours, je dois prendre 2 cachets par jours maintenant. Hadriel, continue à me supplier d'aller chez le médecin. Sa maman, elle s'inquiète pour moi. Pourtant c'est que des maux de tête, sa me passera. Je continue de me dire sa, pourtant ça fait maintenant deux ans que sa dur et que sa empire.
Toujours assis dans mon lit, je me demande si je devrais aller consulter chez un médecins. Et si c'était quelque chose de grave ? Et si ça avait un rapport avec se rêve qui est aussi un souvenir dont je me rappel pas de la suite ?
Pris d'adrénaline, je me lève et sors en direction du médecin le plus proche. Mes mains tremblent légèrement et mes maux de tête me donnes envie d'exploser mon crâne contre un mur. Malgré sa, j'arrive enfin devant le cabinet. J'entre dans celui-ci et attend dans la salle d'attente après m'être enregistrer à l'accueil.
- Monsieur Lucchese. Annonça le médecin. Je sais pas pourquoi mon corps se mis à trembler, peut être avais-je peur de découvrir la vérité sur ce que j'ai depuis plus de 2 ans. Et si j'avais une tumeur ? Un cancer ?
J'entre dans le cabinet du docteur et m'assois sur la table d'examen. J'explique mes symptômes à celui-ci et et il m'examine. Après quelque minute, il termine enfin.
- Donc vous m'avez dis avoir de la sensibilité à la lumière, de la fatigue et des maux de tête fréquent. C'est bien sa ?
- Oui docteur. Affirmais-je
- Vous avez les symptômes d'une commotion cérébrale, vous rappelez-vous avoir reçu un choque sur le crâne ou être tombée et vous m'aviez dis que cela dure depuis 2 ans c'est sa ? Me demanda-t'il
- Je ne m'en rappel pas et oui cela dure depuis 2 ans. Affirmai-je une seconde fois.
- La perte de mémoire est un des nombreux symptôme de la commotion cérébrale. Je peux vous prescrire d'autre médicament plus efficace pour vos maux de tête. Malheureusement, pour la mémoire je peux simplement vous conseiller de passer du temps avec les personnes présentes sur le moment, normalement votre mémoire reviendra petit à petit.
Après avoir terminée ma visite chez le médecin, je marche en direction de chez moi.
Une commotion cérébrale, perte de mémoire ? Alors c'est sans doute sa, j'ai perdu la mémoire suite à un choc.
Le docteur a dis que je devrais passer du temps avec la personne présente se jour la, Rosa. Celle que je déteste. Enfin, que j'essaye de détester. Ça devient compliquée, surtout quand je la vois se blottir dans les bras du garçon que je déteste. Autre fois, elle restait des heures et des heures dans mes bras à moi. Elle était ma seul source de bonheur, mais elle a était ma plus grande source de malheur, après le décès de mes parents évidemment. Rosa était l'amour de ma vie, la première femme que j'ai réellement aimé du plus profond de mon cœur. Dire que je ne l'aime plus serais mentir, mais je ne peux plus l'avoir. Elle m'a oubliée, elle s'est recréé une vie. My princesa.
Maintenant, elle sort avec Thomas. Je sais à quel point c'est un cretin, mais je vois aussi à quel point Rosa est heureuse avec lui. J'ai remarqué aussi à quel point elle me déteste.
Rosa est partit, elle m'a abandonnée. Je souhaite qu'elle revienne dans ma vie mais risquée de voir à nouveau mon premier amour s'en aller, me détruirait encore plus. Mon cœur se brise à chaque pensée. Rien qu'à l'imaginer heureuse avec un autre, vivre les mêmes moments qu'elle passait avec moi, ressentir les mêmes sensations qu'elle ressentait quand elle était dans mes bras, son magnifique sourire angélique qu'elle me faisait qui maintenant ne mais plus destinée.
Je dois tourner la page, mais dois découvrir ce qui s'est passée se jour là. Quitte à mettre ma haine de cotée.
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C'est pas le meilleur chapitre, mais j'espère qu'il vous a plu.
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Sálvame si puedes
RomansaAprès le décès de sa mère, Rosa n'a eu guère le choix de retourner dans son pays natal, l'Espagne. Là où elle avait laisser toute sa vie derrière elle, dont son père qu'elle n'avait plus vu depuis 2 ans. Tout avait changée à son retour, la maison...