Le sable fin, le sable chaud,
Le remous des vagues estivales,
Le soleil couleur festival
Et ce doux vent d'artichaut,
Ils me font penser à ta tendresse,
Ils me font voir ton sourire,
La couleur de tes yeux, de ton rire,
Celui de ta présence qui nous délaisse.Le soleil s'endort dans l'eau,
Et toi, ma tendre nostalgie,
Tu m'envahis de nouveau,
Tu me rappelles ce voyage plein de magie,
Et je revois Hossegor,
Cette ville au sable d'or,
Celui de mes beaux souvenirs,
Et j'ai envie d'y retourner, d'y aller et d'y venir.
La personne dont je parle, c'est la nostalgie. Et Hossegor a surement été mon plus beau voyage même si ce n'était que dans le sud de la France. La plage était magique, et le soir et le calme... Je me rappelle de ces après-midi à jouer avec mes frères, ces nuits à se tourner et se retourner dans nos lits pour savoir quoi faire le lendemain... Je me demande quel serait mon ressenti aujourd'hui, si j'y retournais avec mon âme de poète, d'écrivain, je me demande quels mots et quels maux je verrai autour de moi...
J'ai déjà traité de la Manche, des impressions qu'elle me donnait. En l'occurence, le froid, les émotions cachées, des blessures... Ici, l'Atlantique me fait penser à la douceur, au repos éternel, comme une caresse venue d'ailleurs. Il ne me reste donc plus que la Méditerranée à faire ! Et devinez quoi ? Je viens tout juste de me rendre compte que c'est déjà fait dans mon poème Étoiles, dans Sombre Oasis. Bien sûr, je n'y aborde que l'aspect tragique dont elle me donne l'impression, alors je vais voir si je peux pas développer ce que je ressens d'autre face à elle.
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