LE IKÉA DE LA TOURMENTE - [Tome 2] SCP 3008

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ELIAS

On a prit au moins 10 minutes pour mettre un plan en marche, Juan et Midnight vont passer en premier pour « assurer notre sécurité », tu crois que je sais pas assurer la sécurité moi ?

Enfin bref, moi et Diov' sommes derrière, la seule chose un peu compliqué c'est que je vais devoir bien tenir Rémy qui est sur mes épaules.
Je rappelle on va faire exploser le bâtiment après.

"J : On à tous une seule roquette chacun alors on ne doit pas rater notre coup ok ?

M : Attendez attendez...

D : Quoi ? On a pas le temps là

M : Je suis censé sortir tout le monde de ce Ikéa, on va tuer des gens là.

D : Tu penses qu'ils ont un comportement normal de nous enfermer ici ? Et t'as déjà du tuer des gens donc c'est rien.

M : Mouais mouais.

E : Bon on y va.

J : Oui."

On commence à courir sur la pointe des pieds (sauf pour Diovana qui doit se contenter de marcher) et on s'arrête devant une porte

"E : Qui l'ouvre ?

D : Perdons pas notre temps devant une porte stupide sérieux."

Il ouvre la porte sans même réfléchir et on voit encore une vingtaine de personnes armés jusqu'aux dents et qui n'hésitent pas à nous tirer dessus

"D : Aaarh ! ʻeha e like me he pō ! mais bordel mais vous allez arrêtez de me tirer dessus

E : Tout ça c'est ta faute sale con ! Maintenant j'ai un trou dans le ventre alors qu'avant c'était clean !

D : Mais qu'est ce que j'en savais qu'il y avait ces maudits ruskov fous !

M : Vite partons là bas avant qu'ils puissent nous rattraper !"

J'aide Diovana à courir et on suit Midnight qui nous emmène vers des escaliers en palettes.

"M : Je sais pas où ça emmène mais on devrait descendre.

J : C'est quoi cet endroit immense...

E : Aucunes idées mais c'est vraiment étrange..."

On commence à descendre les escaliers et on ouvre encore une porte qui nous mène vers ce qui semble être l'extérieur... il n'y à aucun meubles à vrai dire. Il y a juste des tonnes de neiges et de pics de glaces. Mais malgré la neige on pouvait voir les marquages des meubles au sol.

"D : Hein ? C'est du foutage de gueule ?

J : On est dans la vraie vie ?

E : Impossible, il y à toujours les marquages des sections.

M : C'est pas normal, dans les images du drone on a jamais vu de la neige présente."