VIII ) CAUCHEMAR CHARNEL

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SCÈNE À CARACTÈRE EXPLICITE

Charles passe une main tremblante dans ses cheveux. Il sait que c'est une terrible idée. Carlos était convaincu que c'était lui qui reviendrait et maintenant, il a raison.

Carlos s'est rendu à Valence. Accompagné de plus. Reyes n'a pas voulu donné plus d'information.

Cela fait maintenant deux jours que Charles parcourt la ville, l'angoisse le rendant malade, à la recherche de son espagnol.

Est-il passé à autre chose ? Charles ne peut pas le concevoir. Leurs cœurs sont faits pour s'aimer, leurs corps sont faits pour s'aimer.

Il ne peut pas le remplacer.

– On avait dit pas de contact imbécile ! Hurle une voix familière à l'accent espagnol fort.

Charles semble sur le point de fondre en larmes, tenant ses tongues entre ses doigts, la plage est vide, ses pieds fondent dans le sol.

– Lando !

Il se fige. Sous ses yeux, une vue d'horreur.

Carlos pousse Lando dans le sable, le britannique trébuche, se retrouvant les fesses dans le sable, Carlos se jette sur lui.

– Tu as dit quoi ? Répète ! S'écrie Lando.

Ils sont proches. Bien trop proche. Cet imbécile de Lando ne surveille pas Carlos. Il le conquit.

Charles s'avance si vite que Carlos le remarque presque immédiatement.

D'un visage stricte et ferme, Charles se poste devant eux.

– Vous faites quoi ici ? Ment le monégasque, déterminé à ne pas admettre qu'il est venu pour Carlos.

– On te retourne la question, siffle l'espagnol en aidant Lando à se relever.

– Je suis parti de Madrid.

– Vraiment ? Souffle Carlos, incrédule. Tu sais Charles, je savais que tu reviendrais. C'est qu'une question de temps avec toi.

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