ROSALBA

XI. Jour 2 Tahiti

Hello mes stars ⭐️

On fait court, j'espère que ça va ! Que vous passez de bonnes vacances etc ( que du love et merci )

Merciii pour les 300 vuessss !!!!! 🫶🏽🫶🏽🫶🏽

Ah au fait n'hésitez pas à aller voir la playlist ROSALBA, qui est dispo uniquement sur Spotify .

                  Bonne lecture 📖

TW: crise de panique (hypoglycémie), chute de vision, enchères(trafic d'armes,enfants,femmes), mensonges
( JE SOUTIENS ABSOLUMENT PAS CE GENRE DE CHOSE, DE PLUS IL Y A TRÈS PEU DE DÉTAIL)

Après cette interaction avec cette fausse madame Ferry, j'ai dû rejoindre à nouveau la grande salle... et recommencer et encore recommencer de la danse. Après plusieurs tentatives de mon cavalier, j'ai pu m'éclipser pour rentrer à ma maison.

Avant ça, ma patience doit être longue, plus de vingt minutes avant que mes hommes arrivent. Alors je discute avec plusieurs membres et annonce mon départ à mon cavalier, qui souhaitait me déposer mais j'ai poliment refusé.

— Je vous souhaite une belle soirée.

— À vous aussi Rosalba

Mes membres me lâchent peu à peu, j'ai très chaud. C'est affreux, ça recommence... ma respiration ....

Des bras me saisit avant que je touche le sol, un homme grand et inconnu. Fin il me dit quelques choses... Il me suit partout celui là

Ma respiration se calme petit à petit, je retrouve une vision non trouble. C'est Aylhàn..
moi qui pensais être sauvée, de ce maudit défi

— Vous allez bien ? Heureusement que je vous ai suivi.

— Oui excusez-moi, ça fait beaucoup ce soir

— Pas de problème je vais attendre avec vous votre taxi

— Je veux pas gâcher votre soirée, allez-y

— Vous ne la gâchez pas !

S'ensuit un long moment de silence, avant que je croise les phares, qui m'éblouie un peu trop. Je lui souhaite à nouveau une bonne soirée et m'empresse de rejoindre ma voiture.

— Tu peux rouler ! Vous avez quelques choses de sucrés sur vous ?

— Sí

— Je peux te le prendre ?

Il me tend une barre de céréales, j'avale ce taux de sucre rapidement afin de me sentir totalement moi même.

— Demain restez dans les parages à environ quinze minutes de moi. Dis-je d'une voix basse mais ferme.

L'un des hommes se racla la gorge, visiblement mal à l'aise.

— Mais... votre père... commença-t-il, hésitant, son regard fuyant le mien

L'inquiétude perçait dans ses mots, comme s'il savait que l'autorité de mon père pesait bien plus lourd que n'importe quel ordre que je donnerai.

— Mon père est absent donc vous devez obtenir des instructions non ?

— Effectivement

— Alors l'affaire est réglée. Demain soir à quinze minutes de moi !

Le trajet ce fut silencieux après ces mots. À peine les murs de la maison apparaissent, que je m'empresse de quitter la voiture, pour une nuit de repos. Ou de torture me susurre une petite voix.