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- Craig tu fous quoi ! 

C'était Clyde qui m'engueulait dans les vestiaires car j'avais très mal jouer ce match, à vrai dire j'étais pas très concentrer car je manquais de café tout cela à cause de Tweek. 

- C'est bon, je suis fatigué. Je lui fis un doigt d'honneur.

- Ouais, comme tout le monde mais il faut qu'on s'accroche. 

- Clyde a raison, dit mon ami Tolkien, dans deux mois on affronte l'autre école. 

- M'en parle pas, dit Clyde, je ne pense qu'à une chose, les défoncer. 

- Ouais, ça sera trop bien, pas vrai ? 

- Hein? Euh... ouais d'accord avec vous. 

- Tu étais entrain de penser à quoi ? Une fille ? Il ricana. 

- Fermes la, tu sais très bien que les filles ça m'intéresse pas. 

- Je sais, pourtant si tu savais combien de filles te tombent dans la main à l'université. Tiens prends Rose, elle t'as déjà dit qu'elle t'aimait de nombreuses fois.

- Je t'en prie, Rose, même si j'aimais les filles, je ne la prendrais même pas. 

- Ce n'est pas un objet, rappliqua Tolkien, c'est peut être pour ça que vous n'avez personne, vous prenez le partenaire pour un objet, que ce soit homme ou femme. 

- C'est pas vrai, je vais me faire Bébé. 

- Ouais non ta gueule, Tolkien a raison.

- Certes, mais ça ne réponds pas à ma question, tu pensais à qui ? 

-  A quelqu'un que tu connais pas.

- Je pourrais ? 

- Non.

- Tu vas le voir ce soir ? 

- Mais lâche moi, ça te regarde pas ! Il commençai à m'énerver.

- Calme toi super fucker, je te laisse. 

Clyde partit et on le suivit avec Tolkien pour notre prochain cour. 

Cette journée était comme les aitres en fin de compte, Tweek n'était pas venu à son café, donc je n'avais pas pu avoir de café, donc j'étais fatigué. Je vais y retourner juste après ce cour ci pour au moins un café, ou un chocolat chaud. Quand j'y repense, il était délicieux, l'envie ne manque pas. Je pense prendre aussi une pâtisserie s'il en fait. J'espère qu'il sera là et qu'il n'a dû fermer son café que pour une matinée.

- Nous avons terminé, à la semaine prochaine. Annonce enfin notre professeur.

Je m'empresse de partir de cet amphithéâtre pour aller voir ce cher Tweek. Je dis au revoir à mes amis et je pars pour ce chocolat chaud qui m'appelle.  S'il n'est encore pas ouvert je serai dévasté. Enfin pas vraiment parce que je m'en fou  un peu de lui. 

Arrivé devant le café je vois que les lumières sont allumées mais que personne n'est présent dans le bâtiment. Je décide d'y entrer pour voir si Tweek est là. Il arriva de derrière la boutique pour m'accueillir. Il fut un peu surpris de me voir.

- Bon-bonsoir Craig ? C-c'est ça ?   

- Effectivement, bonsoir Tweek. Je lui souriais gentiment.

- Qu-que puis-je pour toi ? 

- Tu te souviens du chocolat chaud que j'ai pris hier soir ? 

- Oui ? 

- Et bien, je voudrais la même chose s'il te plaît. 

Le garçon de café (creek)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant