Chronique Ah si j'avais su...

Part 6

-Lui: Tu comprends pas le français, c'est bon c'était un accident tu m'as fait pitier avec tes larmes, t'as la dalle tu dois manquer de hob oula même d'autre chose Hachek mais c'est bon ça me dégoute allez vas-y pars


Je réponds pas sous le choque. J'attrape mon sac sors les affaires que j'avais mises dedans, je sens qu'il ne comprends pas mes actes mais je m'en fiche. Je pose mes clé de voiture sur la table de nuit.

-Moi: J'ai plus envie de partir.

Il a l'air choqué.

Lui: Pourquoi ?!

Moi: Par ce que tu m'as demandé de rester.

Il baisse la tête, respire fort j'ai l'impression qu'il va tout casser. Il tape fort dans l'armoire derrière lui je sursaute. J'avance doucement vers lui l'enlace, il reste passif ne bouge pas.

-Lui: Dounya..

Je le coupe -Moi: Demain on oublie, demain on se calculera plus, je cuisinerai pas, on parlera plus, on se regardera même plus, mais aujourd'hui on a qu'à finir cette journée tranquillement sans embrouille, sans problème, je demande juste ça, juste ce soir après on oublie.

Tout à coup il attrape ma main, mon sac mes clé, il marche vite je le suis on sort on prend les escalier il court je le suis comme je peux. Mais voilà qu'il lâche ma main. Et commence à remonter les escaliers.

-Moi: Mais où tu vas?

Sans se retourner il me répond.

-Lui: Je t'ai dis, Dounya je t'ai dis tu dégage

Il remonte tout les escaliers trois par trois je monte aussi vite que je peux. J'arrive au palier la porte est déjà fermé, je tape je tape je frappe je cogne contre cette porte.

-Moi: Samir ouvres ! Samir ouvres moi pourquoi pourquoi tu me fais ça

-Lui: Mais pars, casses toi Dounya je veux pas de toi !

-Moi: Mais où je vais aller ? Samir ouvres moi on va parler.

Il ouvre la porte, je prends une grande respiration.

-Moi: T'as peur que je m'attache ? T'as peur que je t'aime ? Je sais pas pourquoi mais je sais que c'est ça et je sais que tu me hais, je le vois chaque jour dans ton regard dans tes paroles mais Samir, ne t'inquiètes pas si j'ai accepter de t'epouser c'est pour oublier quelqu'un, quelqu'un avec qui j'aurai jamais pu me marier. J'ai voulu créer cette complicité entre nous, pour l'oublier mais à chaque moment ou tu me parles, à ces moment ou on s'effleur à peine c'est a lui que je pense. Je ne t'aime pas et je pourrai jamais t'aimer on est marié maintenant on est coincé y'a quelque chose que tu ne veux pas me dire sûrement toi aussi tu as une relation qui n'a pas pu aboutir et tu me déteste d'être à la place de celle que tu aime. Mais sache que toi aussi t'as pris la place de quelqu'un mais je ne te déteste pas pour ça j'aurai voulu qu'on soit des amis par ce que je te le répète on est marié, on est coincé et je ne veux pas divorcer pas maintenant c'est trop tôt.

J'avais mentis, tout le long de la tirade je mentais Samir ça avait était le seul pour qui mon cœur avait battu si vite, mais il fallait lui cacher, il ne voulait pas de mon amour alors je voulais qu'il croit celui-ci ne lui était pas destiné.

Il me fixait l'air assassin.

-Lui: C'est qui !

-Moi: De quoi ?

-Lui: Ce gars la c'est qui Dounya !

-Moi: Tu le connais pas

-Lui: Il s'appelle comment il est d'ici ?