Part 7

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Boule au ventre et le cœur serré je dois passez prendre des affaires dans cet appartement qui n'a jamais vraiment était chez moi, cet appartement qui était le sien.

Est-ce que je dois sonner ou utilisé mes clés ? Dans la situation bizarre ou l'on est je ne sais plus ce qui ne se fait pas et ce qui se fait. Sans réfléchir j'entre ma clé dans la serrure je me dis que c'est sûrement la dernière fois.

À peine le pas de porte passé j'entends dans sanglots dans le salon, les pleures d'une femme. Quel curieux et douloureux spectacle se présente devant moi. Une petite brune au yeux clair pleure dans les bras de mon mari, enfin de Samir plutôt. Pourquoi l'appeler mon mari il ne m'a jamais appartenu.

Ils paraissent si bouleversé tout les deux qu'ils non même pas remarqué mon entrée. Voilà que la femme se détache de lui.

La femme: Mais Samir ? Quand est-ce tu vas leur dire, un jour il sera trop tard! Il faut que tu parle à ta famille et à ta femme c'est important.

Lui: Non je veux pas faire ça, je vais pas voir l'expression de leur visage en annonçant ça et la tristesse qui va suivre surtout que je vais devoir leur dire la pour le divorce avec Dounya ça va être trop pour eux.

La femme pleure toujours.

La femme: Mais tu comptes pas lui dire ?

Lui: À Dounya ? Jamais tu crois quoi ? Ça va pas !

La femme: Je respect ce choix tu sais que moi je suis la je te soutiendrai, je te soutiendrai dans tout ça dans le divorce etc et même si quand tu l'annoncera à tes parents si tu veux je ferai le déplacement.

Alors c'était ça.. Devant moi se tenait Anaëlle, j'avais envie de la tuer de la frapper de la griffer de lui demander pour quoi elle me volait mon mari comme ça. C'est vrai qu'elle était belle, elle avait l'air gentille mais le pire c'est que je connaissais son visage mais je ne me souvenais plus d'où.

Je voulais pas en entendre plus alors j'ai parlé.

Moi: Salem Aleikoum Samir je suis venue chercher mes affaires comme convenue.

En me voyant il a fait les gros yeux.

Lui: Depuis combien de temps t'es la !

Moi: À peine une seconde.

La femme en séchant ses larmes: Bonjour Dounya je suis Anaëlle une amie de Samir, Ah... Mais je te reconnais tu es une Amie de Sarah !

Je n'avais aucune envie de lui parler mais tout s'éclairer son visage m'était familier car elle travailler avec Sarah.

Moi: Oui voilà.

Elle: Je suis infirmière dans son service je vous ai vu plusieurs fois manger au self.

Samir nous regardait béat ça avait l'air de beaucoup le déranger ce qu'Anaëlle racontait.

Lui: Bref Ana ma puce on fait comme on a dit (il lui fait un clin d'oeil et un sourire qu'elle n'a pas l'air de saisir ) tu peux partir ma femme est la.

Quelle contradiction mon Samir, tu l'appelle ma puce lui sourie lui fait un clin d'oeil devant moi mais tu finis ta phrase par "ma femme est la " pourquoi Samir pourquoi...


Ah si j'avais su frère

Il l'a raccompagne à la porte pendant que moi je vais à la chambre faire mes valises il ne tarde pas à me rejoindre.

Lui: Ça va ?

Moi: Bien et toi ?

Lui: Hm

Il s'assoit sur le lit me regarde faire mes bagages, demande le moi Samir, juste une fois demande moi de rester et je ne partirai pas.

Lui: Le boulot ça se passe ?

Moi: Mieux que jamais je ne fais plus que ça.

Mince! Je me suis trahis, oui je ne fais plus que ça pour ne pas penser à toi ! J'espère qu'il ne fera pas la liaison.

Moi: Eum et toi ?

Lui: Je fais que ça aussi

Il me donne un petit sourire qui me donne a moi l' envie de mourir. Je continue de faire mes valises, juste une fois Samir, demande le moi juste une fois.

Lui: Dounya tu veux pas me faire à manger stp ?

Quelle ironie, il a toujours agis comme le dernier des machos avec moi : pas de merci ni de s'il te plais et voilà que maintenant que nous allons divorcer c'est tout honteux et poliment qu'il me demande de le nourrir ! Mais entre nous ça me fait tellement plaisir je peu pas contenir mon sourire.

Moi: Bien sûre. Tu veux quoi ?

Lui: Ce que tu veux ça me va..

Je prépare donc un bon repas comme d'habitude je prends bien soin de chaque détail je fais même une tarte pour le dessert je peux pas m'en empêcher à chacun de mes geste je me dis "c'est la dernière fois" la dernière fois que je fais tout ça pour toi Samir.

On mange, on parle de beaucoup de chose, Samir me fait beaucoup rire. Ce soir bizarrement il se livre à moi me racontes ce qu'il faisait pendant ses années lycée j'apprenais plein de choses, comment il enchaînait les conquêtes, il me glisse même quelques mots de son passif avec Anaëlle avant de me racontait ses meilleurs souvenir.

Lui: Mais le pire on savait tous qu'il allait se cramer mais on attendait pour voir MDR D'un coup on se retourne on voit voilà la grosse flamme qui sort et qui revient sur lui et pendant un mois Hicham il avait plus de sourcil il avait etait cramé ça sentait le Bouzelouf (tete de mouton grillée ) comment on a rigolais staghf'Allah j'arrivais plus à m'arrêter.

J'avais tellement ris quand il me racontais ça que je pleurais de rire, et la il s'est passé quelques chose, il a fait un geste qui m'a chamboulé.

De sa main il a essuyé les larmes de rire de mon visage et des que sa main est entré au contact de ma peau, comme une habitude quand je le sentais près de moi je retrouvais les grésillons des frissons et dans le ventre plein de papillons.

Demande le moi, demande le moi juste fois et je ne partirai pas.
Lui retira sa main rapidement, il paraissait troublé tout autant que moi après un raclement de gorge me demanda le dessert. Le repas se termina dans un triste silence.

Après avoir fait la vaisselle je retournais à la chambre pour mes valises, lui était allé priait et quand il eut terminé, me rejoint.

Lui: Tiens comme demain on ne se verra pas sûrement pas.

Impossible comment il savait ? Et en plus il y avait pensé et avait fait ce geste pour moi ? Et oui demain j'aurai 24 ans déjà.

Il paraissait embarrassé

Lui: Eum j'savais pas si... Bref voilà

J'ouvre le paquet

D'abord un coffret et j'ouvre toute emerveillée, c'est un pendentif en forme de biche, les larmes montaient déjà a mes yeux. Mais surtout une petite carte accompagnait le coffret dessus une magnifique biche de dessins animé est dessinée elle a de grand yeux elle est magnifique.

-Lui: Eum je reviens

Il part embarrassé en se grattant la tête.

J'ouvre la carte, une seule phrase y est inscrite

Demande le moi, demande le moi qu'une seule fois et je ne partirai pas.

Une seule phrase est inscrite :

Joyeux anniversaire Bambi, s'il te plais ne pars pas.

Chronique Ah si j'avais su...Où les histoires vivent. Découvrez maintenant