Chapitre 8

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Ok si sa ne va pas il sera là pour moi mais se n'est pas très glamour de vomir devant un garçon d'autant plus charmant..

Je ne me sens pas super bien. J'ai mal a mon estomac enfin si on peut appeler ça comme ça.
Je pose mes paumes de main sur la table et me penche vers celle-ci, de façon à être juste au dessus de la table, la tête en bas.
Zayn me tient part les hanches, il se tient debout à côté de moi. Puis pendant qu'elle que instant je ne sens plus rien, je laisse place au grand vide. Je ferme les yeux et je m'apaise instantanément. Je relâche mes bras puis je me sens partir au plus profond de moi.

Je profite un instant d'être bien dans ma peau. Ça ne met pas arriver depuis tellement de temps. Je me décide de rouvrir les yeux et d'un coup toutes mes douleurs refond apparition.
Je suis allonger, en robe blanche, les yeux au plafond, je regarde la lumière allumer juste au dessus de moi.
Pourquoi suis-je plus dans la cafétéria accompagner de Zayn ?

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POINT DE VUE ~Zayn
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Elle se pencher sur la table, en qu'elle que seconde je me rend compte que je les pousser à bout. Je lui prend les hanches pour ne pas qu'elle tombe sur la table. Malheureusement, c'est arriver, elle s'écroule, je la sert contre mon torse.
Je lui fait pencher la tête en arrière et lui attrape les jambes. Elle est légère et tellement mince, je la regarde et pose ma main autour de son visage. Les larmes me monte, je ne supporte pas la voir dans cette état, elle est tellement fragile.
A genoux a terre, je la regarde impuissant, elle est allonger au sol, la tête sur mes cuisses. Je n'arrive pas à quitter son visage des yeux, je me répète infiniment que c'est ma faute, je n'aurais jamais du la pousser à bout en lui faisant avaler tout et n'importe quoi.
Mes yeux sont rouge et mes joue humide par le passage de chaudes larmes.
Des infirmiers et médecins viennent la secourir de mon impuissance. Je sais que je me ferais chauffer par mon patron mais franchement je m'en fou ce qui me fait peur c'est de perdre la patiente qui occupe mon temps. Je m'en étais pas franchement rendu compte mais cette fille me préoccupe. Son désespoir, elle a une putain de rage en elle qui me donne envie de la connaître plus, malgré son jeune âge, son corp mince, c'est cicatrices récentes et sa voix roque. Je veux être près d'elle, la protéger le jour, la nuit. Vivre ce qu'elle vit. Je n'est pas de pitié comme touts c'est hypocrite a la con. Je l'admire comme elle est.
Je ne veux pas gagner la punition de ne plus la voir du tout.

On me dit de patienter dans le couloir. Jeremy mon meilleur pote mais aussi mon collège vient s'assoir à côté de moi.

« - qu'est-ce qui t'a pris de faire une chose pareil. Tu sais qu'elle n'a pas besoin de toutes c'est merde, elle est déjà assez malade comme ça..

Je ne répond pas à ses déclarations alors il poursuit.

- écoute j'ai entendu dire que le patron va te faire un scandale, donc essai de te reprendre,tu va te faire r'envoyer, elle n'a pas bien réagit à la merde que tu lui a donner.

Je sais qu'il a réson mais je ne préfère pas m'en brouiller avec le seul homme que je fréquente ici. Mais il me pousse à bout :

- tu te serais vu, la assit au sol en pleurant sans rien faire. T'aurais pus doublement la tué, ils vont aussi te le reprocher. Et tu va dire quoi hein.. merde c'est qu'une patiente comme les autres, une singlé qui fait chier le monde.

- Putain tu sais elle a qu'elle âge ! Une singlé ? Pas vraiment non ! Tu sais pas ce qu'elle vit, tu ne la même jamais vu ! Alors me fait pas chier avec tes discourt de merde ! Si t'es venu là pour me dire que je vais me faire virée je le sais je suis pas aussi con et si c'est pour me consolé va voir tes putain de chats et me fait pas chié ! Putain..j'y crois pas. »

Je me lève en trombe pour entrer dans le bureau de monsieur le président de l'hôpital. Les yeux rouge, il a remarquer que je ne suis pas venu pour présenter des exuses.
Les médecins présent dans la salle parte et me laisse seul avec.

« - je vous en prie monsieur Malik, asseyez vous.

Je hurle.
- écouter je suis pas venu vous lécher les bottes pour vous supplier de me garder dans votre service mais cette patiente est très jeune, de un je n'aurais pas deviner qu'elle réagirais mal de deux si c'est médicament son considérer comme de la merde pourquoi en avez il un échantillon dans l'établissement et de trois j'étais impuissant par la gravité. Je n'aurais en aucun cas voulu la rendre encore plus malade.
Tout sa pour vous dire que si votre décision est de me garder mais de ne plus pourvoir m'en occuper je préfère démissionner. Combien de fois des infirmiers on fait des erreurs et on était séparer de leur patients. C'est pas que j'ai des relation avec la patiente mais en fonction de la personne mieux vos qu'elle qu'un en qui elle est confiance.

- merci je vais y penser. Veuillez retourner à vos occupation, je vous est donner la journée pour rentrer chez vous. Et je vous redirez pour notre décision demain matin a 7h dans mon bureau. Bonne journée monsieur Malik. »

Ouais c'est ça. Sale con.
En sortant je me dirige vers les salles d'urgences, ma colère c'est dissiper. J'ai une chose en tête, la voir. Je lui est déjà fait assez mal avec ce que je lui est dit le premier jour ou elle est entrer. J'ai mit énormément de temps à avoir sa confiance et de la reconquérir par la suite.
Je veux la voir respirer, les yeux ouvert, avec ce charmant sourire au lèvre quand je suis présent.
J'ai remarquer comme elle me regarde parler, rien qu'à la pépite de c'est yeux je pourrais définir ce qu'elle pense

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Donnez moi vos avis en commentaire et dite moi s'il vous a plus.

Le chapitre sera bientôt corriger !

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Merci.
Xx
Maria

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