Chapitre 4

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On s'approche d'un banc, le premier qui nous tombent sous les yeux. Je m'assois, M.Malik se met à ma droite.

« - Alors voilà, il s'appelle..
- Je préfère s'avoir le prénom apres si sa vous gênes pas. L'interrompais-je
- Euh non pas de soucis..

Il me regarde avec un regard étonné. Il y a rien de bizzare.

- Donc ? Repris-je
- Euh.. Oui, donc en faite ce mec là il fait parti des "populaires" mais en même temps non..
- D'ac..cord..
- En faite il veut se faire remarquer mais au fond c'est un ange. Il défend tout le monde, du moins il dit rien et il se dispute souvent avec le "chef " des "populaires".
- Ok.. Il est bizzare ce mec c'est fou.

Je ne voulais pas en s'avoir plus sur ce mec. Je ne voulais pas poser un prénom sur ça tête.

- Je ne le voit pas.. Il est priver de sorti ?
- Oui, il y a pas si longtemps il a voulu se casser. »

Je ne peut m'empêcher de sourire. C'est peut être un manque de respect mais tu fait pas ça pendant la sorti. Il est non seulement bizzare mais con.

Apres cette discussion s'installe un gros blanc.

Le gang des populaires était super mystérieux.

« - Je sais pas, un hôpital psychiatrique c'est fait pour aider les fous mais eux ils ne sont pas déprimer puisqu'ils ce moquent des autres. Moi j'trouve ça stupide. Sérieux mais les gens la ils méritent pas qu'on s'occupe d'eux.

- En faite aucun d'eux sont fous ou déprimé, tu sais un hôpital psychiatrique c'est aussi pour ceux qui ont vécu un traumatisme.

- Justement le traumatisme les fragilises ils deviennent peureux de tout.
- Pas forcément ils y en n'a des traumatisés qui n'ont peur que du traumatisme et pas de la vie, par exemple une femme violer, le viole procure de la peur en vers les hommes. Elles n'ont pas peur de la vie. Elles n'ont pas peur de manger par exemple.

- Ouais.. »

Juste à la fin de la discutions, Il est déjà l'heure de rentrer.
J'ai pas envie de m'enfermer dans ma chambre. Je ne le dit pas parce que ça ne changera rien. Enfin à ce que j'pense.

Il m'accompagne jusqu'à ma chambre. On fait le grand tour de l'hôpital.
Je voulais marché puis je ne vous cache pas que j'aimerais bien s'avoir ou se trouve ce gars tellement secret.

On se trouve dans un long couloir. C'est bizzare parce qu il est vide. Peut être qu'il est tard. Je n'en sais rien. M.Malik m'explique que c'est l'allé des fous extrêmes.
Ce therme est franchement chelou.
Je ne veux pas en s'avoir d'avantage. J'en est déjà les frissons dans le dos.

Ma bouteille commence a se faire lourde. Je commence a être fatiguée mais nous ne sommes qu'au quart d'avoir terminer la balade.

Ensuite, on arrive dans un haulle avec trois allés. Il dit que celle du milieu est l'allé des fous extrémiste.
Ok.

« - C'est quoi la différence entre fous extrême et fous extrémiste ?
- Des fous extrême c'est des fous énorme qu'on ne peut pas manipuler un peu comme des gorilles sauvages, enfin tu vois le genre de monstre quoi.

- Oui..
- Et des fous extrémistes se sont des fous qui en gros on leurs dit un truck il extrémiste et ils disent qu'on leur a fait du mal.
- Ok je vois.. »

Il m'explique que l'allé de droite est l'allé des fous hurlant. Ce sont des personnes qui entende des choses dans leur tête, et sa les fait criée.

Nous on prend l'allé de gauche celle des petits fous. Ils appellent les grands mères qui prennent tout le monde pour leurs petits enfants comme petits fous alors vous voyez un peut.

Puis on arrive enfin dans le couloir des traumatisés. M.Malik me dit que le personnage dont on parle depuis ce midi est ici. Mais il n'a pas le droit de me dire le numéro de ça porte.
A la fin du couloir arrive encore un haulle mais la rien d'intéressant juste une allé pour le sanitaire et une autre pour la salle du self. Nous on continu sur la troisième allé.

Après quelque mètre sans aucune porte, juste deux murs avec des cadres. Je me demande à quoi sert ce couloir, vraiment.
C'est la première fois qu'un blanc de discutions passé inaperçu cela fait presque dix minute qu'on ne parle pas mais j'explore la moindre chose. Je pense que M.Malik le voit dans mes yeux alors il ne m'interon pas.

Nous voila arriver dans un haulle, oui encore mais cette fois qu'avec une allé sinon il y a des portes amenent à plusieur pièces différentes.

Par exemple il y a une porte amenent à la salle des médicaments et une autre a un cabinet de soin.
Je me demande si il faudras que je marche aussi longtemps pour faire mes soins.
La dernière porte amènent au bureau du directeur de l'hôpital.

Je demande a M.Malik si c'est bientôt finit mais il me dit qu'on est à la moitier du chemin. Je réplique que ma bouteille se fait lourde et mes pied gonfle.
En générale mes pied gonfle quand je suis à bout de soufle mais la c'est parce que je marche beaucoup.
Mes converse se font petite.

M.Malik prend ma bouteille d'oxygène sur son dos.
Soulagement pour mes pieds.

On prend un couloir avec plusieur portes. M.Malik me dit que se sont que des salles d'urgences au cas où il y aurais des problèmes.
C'est ici que je me trouvais quand j'ai eu un problème de respiration hier.

Ensuite a un carfour de quatre allé on prend celle de droite pour commencer a ce rapprocher de ma chambre.

Je ne voyer pas l'hôpital aussi grand.

Après quelque minute supplémentaires on arrive enfin à ma chambre. M.Malik me redonne ma bouteille et me donne rendez vous demain matin a huite heure prête.
En r'entrent dans ma chambre, le silence est déjà dur à vivre. Pendant une journée c'est fou mais je n'est pas etais seul une seconde. Forcément quand on a pas l'habitude on s'attache.
J'enlève enfin mes converses, sa fait énormément de bien a mes pieds. Je les sens enfin.
Ils sont gonflée et rouge. Pas énormément mais quand même.

Je n'arrive pas à trouver la fatigue alors j'ouvre ma fenêtre en oxyllo-battant, je sort d'un tiroir une feuille avec un filtre et un peut de canabis. Je roule le tout et je commence à la fumer. Ça me fait beaucoup de bien. Puis sa me choute donc j'arriverais mieux à dormir. C'est ce que je disait tout le temps a mon père pour qu'il me laisse fumer avant de dormir.

Dernière late avant d'éteindre le join.
Je range tout, puis je sort un tee shirt loose ainsi qu'un short collant.
La nuit et le bain sont le seul à connaître mes cicatrices.
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J'espère que ce chapitre vous plaira, désolé pour les fautes d'orthographe je m'en excuse d'avance.  Ce chapitre je pense n'a pas beaucoup d'action mais le prochain va sans doute répondre a vos questions au niveau de l'homme inconnu.

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