Ma vie pour la tienne

1] Un president pour la France 🖱

Gabriel Attal

Aujourd'hui doit se dérouler le débat le plus déterminant pour ces élections présidentiels.

Deux ans sont passés depuis la victoire du nouveau front populaire aux élections législatives qui ont suivis la dissolution de l'assemblée nationale.

Mon partie n'en a pas vraiment tiré une grande victoire, mais face à la menace du Rassemblement National, je considère encore ces élections comme des élections réussis.

Après ma démission au post de premier ministre, notre cher président à décider de ne pas me renommer à ce post que je chéris pourtant tellement !

C'était une décision pourtant rechercher de la part d'Emmanuel : voyant que je suis apprécié par le peuple il a des ambitions plus grandes pour moi que la place de premier ministre.

Il veut faire de moi le président de la République.

C'est un honneur que je suis près à recevoir si le peuple français veut bien me l'accorder.

Pour l'instant tout se déroule comme monsieur Macron l'avait prévu. Le peuple m'adore et vote pour moi !

Je suis passé au premier tour avec un nombre de voix très encourageant pour la suite.

Ce qui me rend cependant de si mauvaise humeur est l'adversaire que je vais devoir écarté de mon chemin pour atteindre les sommets : Jordan Bardella.

Après sa "défaite" aux législatives ce dernier n'a pas cesser sa propagande auprès de la population.

Quand est venu le moment de présenter les candidats pour les élections présidentielles, j'ai été très confus lorsque j'ai vu son nom sur les listes.

Contre toute attente Mme Marine LePen lui a transmis le flambeau. Elle ne souhaite plus se présenter, restant plus discrète qu'elle ne l'a jamais été.

Je dois bien avouer que j'ai eu pendant une petite seconde des doutes : le RN ne cesse de monter en puissance et leur idéologie sont plus répandus qu'il ne serait préférable qu'elle le soit.

Plus rien ne va.

Le fait que ce dernier soit sélectionné pour le deuxième tour démontre bien que les français ont besoin de changement.

Je l'entends et je suis près à faire changer les choses, mais je ne pense pas que requérir aux extrêmes soit une bonne idée pour la santé de notre pays.

Je relis pour la centième fois au moins les notes que j'ai prise pendant les dernières interviews de Bardella.

Je connais chacun de ses points faibles, comme il connaît aussi très bien les miens.

A chaque rencontre, c'est une véritable joute verbale qui se déroule entre nous pour le plus grand plaisir des spectateurs.

Les réseaux sociaux se font un malin plaisir de ranimer ce ship malsain qu'ils avaient formé il y a deux ans entre moi et ce jeune homme pertubé.

Parfois cela me fait rire, mais dans les jours comme celui ci, je n'ai pas vraiment envie de rire d'un situation se critique pour l'avenir de la France.

Si un membre du Rassemblement National devient un jour président, alors la guerre régnera dans nos quartiers.

Nous ne connaîtrons pas de France en paix avec ce genre de personnes au pouvoir.

J'en suis convaincu.

Je suis sensé me trouver sur les plateaux de TF1 dans moins d'une demie heure, mais visiblement, mon chauffeur n'a pas l'air d'être très interresé par le fait de rouler un peu plus vite.

J'allais ouvrir la bouche pour me plaindre de sa lenteur quand Emmanuel me fait signe de me taire : il va s'en occuper.

Lui n'est pas aussi stresser que moi et parvient à mieux garder son sang froid.

Voilà quelque chose sur lequel je devrais travailler si je veux être un bon président pour le peuple français !

- Ne t'inquiète pas Gabriel, tout va bien se passer. Les français savent faire les bons choix. Me rassure l'ex-president.

J'essaye de me convaincre que ses paroles sont vraies mais j'ai beaucoup de mal contrôler mon côté pessimiste.

- Je suis sur que les estimations sont bonnes ! Claironne-t-il alors qu'il n'a aucune idée de quoi il parle.

Les premières estimations sont tombées, et les français ne savent visiblement pas dans quel catastrophe ils courent s'ils votent Jordan Bardella car les scores sont très serrés.

Je fais pars de ce fait à mon mentor avec une voix peu assurée.

- T'inquiète pas va, il reste encore deux semaines de campagnes, les français vont ouvrir les yeux !

Je ne comprends pas comment il parvient à rester si sûr de lui.

Je tremble littéralement comme une feuille à l'idée de ne pas être élu.

Je peux sauver la France !

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Heyy

Oui je sais, vous avez pas l habitude de me voir écrire des chapitre si cours mais cette histoire c vraiment que pr m amuser, j me mets aucune pression et j veux vraiment pas que se soit un fardeau pr moi donc voilà

C vrm juste pr déconner

D ailleurs j attends pas bcp de publique pr cette histoire

G déjà été comblé dans des projets bcp plus sérieux que celui là alors c cool

Bisous mes loulous
Le M