Jordan Bardella
**3 mois plus tard**
Je crois que je dois quelques petites explications pour les personnes qui sont encore ici...
Il y a trois mois, quand Gaby et moi avons déposé tous les deux notre démission, aucun de nous deux ne voulaient plus de ce post de président de la République.
Nous nous étions trouver et cela nous suffisait à tous les deux.
Nous ne voulions que le bonheur de l'autre, et trop bornés pour changer d'avis, aucun de nous deux n'est devenu ce pourquoi il s'est battu pendant plusieurs semaines.
Au début, ma décision a été très mal accueilli dans nos familles. Ils ne comprenaient pas pourquoi nous avions démissionnés.
Ils pensaient que l'on s'amusait, qu'on voulait simplement nous rendre intéressant.
Ils sont loin de comprendre encore aujourd'hui, trois mois plus tard, mais ils tolèrent de nouveau notre présence.
Ça a été très compliqué pour Gabriel surtout, de ce faire à l'idée qu'il ai déçu sa famille.
Je crois que maintenant il va mieux.
En fait nous allons tous les deux beaucoup mieux.
Le poids que représentait nos campagnes respectives nous avaient encombré d'une énorme charge mental que nous ne pouvons éliminer qu'en prenant soin l'un de l'autre.
Nous avons quitté Paris pour s'installer dans ma maison de campagne.
On y est parfaitement déconnecté de la vue réelle, ce qui est une vraie délivrance pour Gabriel.
Je ne l'ai jamais vu aussi heureux et épanouie.
Le peuple français est dorénavant au courant pour nous deux. Nous l'avons annoncé tous les deux sur nos réseaux sociaux.
Les réactions sont très mitigées, mais lez critiques les plus dur sont celles qui viennent de mon propres parti politique.
Je ne peux pas m'empêcher d'y jeter un coup d'œil et ce que je lis me désole tellement !
Comment peux-t-on encore avoir une mentalité comme celle ci ?
Je ne comprends pas et je ne comprendrais probablement jamais.
Gaby est assis au soleil.
Les yeux fermés il rêvasse.
J'aime le regarder quand il est si détendu, je pourrais faire ça pendant des heures sans jamais me lacer.
J'aime Gabriel.
Cette vérité me frappe chaque jours un peu plus.
Ce que je ressens pour cet homme est bien au-delà de tout ce que j'ai pu ressentir avant.
Je continu de fixer sa siloihaite pendant encore quelques minutes avant de me décider à le rejoindre.
Nous n'avons pas encore décider quand nous rentrerons à Psris, mais nous sommes tous les deux conscients qu'on ne pourra pas se cacher ici éternellement sans faire face à toutes les questions que tout le monde se pose à notre sujet.
Nous savons très bien qu'un jour viendra, on sera obligé de clarifier la situation.
Mais pour l'instant, ma vie me convient comme elle est.
Gabriel Attal
Si quelqu'un m'avait dit que je serais ici avec Jordan au Gabriel d'il y a six mois, je crois que je lui aurais ris au nez...
Pourtant tout cela est bien vrai.
Je me surprends parfois à me pincer pour m'assurer que je ne rêve pas. A chaque fois une douleur sourde me rappelle que je suis bel et bien réveiller.
Je ne supporte pas l'idée de savoir Jordan loin de moi plus d'une heure c'est pourquoi on fait pratiquement tout ensemble, que ce soit les courses, le sport qu'il s'entête à faire et dans lequel je ne me donne qu'à moitier, et toutes les activités du quotidien que j'adore partager avec lui.
Ma vie est ce que je qualifie d'un compte de fée.
Tout est parfait.
Personne ne vient troubler mon jolie tableau.
Et j'aime ça.
Jordan me rejoint alors que je suis assis au soleil. Celui ci commence à décliner dans le ciel, signe de cette belle fin de journée.
Il s'assoit à mes côtés et me prend la main, je me laisse faire et pose même ma tête sur son épaule.
- Je t'aime Gabriel. Me confie Jordan en chuchotant, comme pour être sûr qu'il ne soit entendu que par moi, bien que nous soyons seuls.
- Je t'aime aussi Jordan.
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Ma vie pour la tienne
FanfictionY'a deux types de personne dans la vie : les personnes qui aiment et les personnes qui n'aiment pas. Y'a les Gabriel, et y'a les Jordan. Le soleil et la lune. Deux hommes que tout oppose : que ce soit les opinions politiques qu'ils défendent où...